intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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 losing my religion (citlalli)

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Zyanya Sáenz
Zyanya Sáenz
IMMORTAL — forever is not enough
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(#) losing my religion (citlalli)    Lun 15 Mar - 19:34

@Citlalli Demaya

J'étais de passage, j'espère que tu vas bien. Je rentre bientôt. Te quiero. Sur un bout de papier froissé, il lui écrit deux lignes, histoire de la rassurer, si Aurora venait à passer dans le coin. Il voudrait lui en dire plus, lui raconter ses récentes découvertes, ses journées passées avec Lupe, il voudrait lui faire part d'un bonheur nouvellement trouvé et de sa future rencontre avec un membre de leur constellation. Tant d'évènements qui lui tombent sur le coin de la figure après trois décennies de léthargies à chouiner sur son triste sort. Quelques mots griffonnés à la hâte c'est tout ce qu'elle possède pour l'instant, en attendant de pouvoir l'entendre de vivre voix, de l'enlacer dans ses bras. Elle lui manque terriblement, chaque fois que leurs chemins s'écartent parce qu'ils ont des affaires à régler à l'autre bout du monde ,et surtout parce que lui à cette impulsivité. S'échapper, revenir, quand bien même il voudrait passer le restant de ses jours ici. Il ne sait même pas comment il pourrait concilier elle, les autres et lui. Il ne sait même pas dans quoi il se lance, seulement qu'il y va de bon coeur. Plus dure sera la chute, qui sait, Zyanya est déjà tombé, il s'est déjà relevé, c'est l'avantage d'être immortel. Même quand on pense mourir à l'intérieur on finit par renaître.
Il a l'impression de trop en demander, avec une âme-soeur, une famille et peut-être enfin une raison pour que son coeur batte plus fort. Trop d'espoir, il y a déjà goûté, ça lui laisse un goût amer sur la langue.

Bon. Il est vrai que si elle avait été présente, elle l'aurait probablement insulté, traité de tous les noms. Il le mérite, il mérite une bonne gifle pour avoir piqué un de ses tableaux avec la ferme intention de le vendre, un peu à son insu. Le mieux serait qu'elle n'en sache jamais rien. Si son plan se passe comme prévu, Aurora ne remarquera jamais qu'il a voyagé au delà de l'Atlantique. Elle saura simplement que son frère de coeur a laissé sa trace pour une courte durée, avant de retourner à ses affaires.
Son crochet a Medellin s'éternise depuis deux nuits. Son lit lui a manqué, sa maison et sa tequila. Il a passé la première soirée à relire des lettres, puis il a beaucoup écrit pendant la journée. Hier soir il s'est même roulé un petit pétard avant de s'endormir le coeur léger sur son téléphone. L'avantage c'est qu'il n'a pas de deadline à respecter. Une vraie vie de paresse, où il est seulement préoccupé par ses prochaines arnaques pour faire rentrer l'argent. Calme, troublé une fois de plus par la sonnette. Celle qu'il s'était promis de débrancher car il n'ouvre jamais la porte. Seuls les démarcheurs viennent frapper, c'est à croire que le voisinage ignore son existence. Ils savent qu'il est là, mais personne n'a envie de se faire crier dessus par l'hystérique du coin. Zyanya se lève de son canapé dans lequel il était affalé, les cheveux encore en bataille, il porte les vêtements de la veille et il n'a pas encore eu le temps de prendre sa douche.
Il n'attendait personne.

Comme une scène qui s'est déjà jouée dans le passé, il s'approche du carreau de la fenêtre pour zieuter l'extérieur, à l'origine de son trouble, puis s'agrippe à la poignée de porte qu'il malmène, jusqu'au jour où elle lui restera dans les mains. C'est une femme qui lui fait face, plus petite que lui, brune avec des beaux yeux, charmante dans l'allure générale ; qu'il n'a jamais vu surtout.  Mais un coup d'oeil suffit à lui confirmer qu'elle est du crû, ce qui l'adoucit légèrement. « Si c'est pour me vendre des conneries, je ne suis pas intéressé. » Coup d'oeil par dessus l'épaule de la demoiselle. Personne avec elle, son véhicule n'est pas de société et elle ne se trimbale pas avec des petits pubs qui finissent toujours dans sa poubelle. Louche. « J'ai pas toute la journée, j'espère que c'est important. Si vous avez perdu votre chat ou votre chien j'y peux rien. » Il a eu le coup, une fois. Il a hésité à garder le chat. Il s'inquiète, légèrement de ce qu'elle peut bien foutre ici.
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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Dim 21 Mar - 19:11

Losing my religion
On en revient toujours a nos racine. @"Zyanya saenz"

Elle en avait déjà entendu parler, il y a très longtemps, beaucoup trop longtemps surement, de ce combattant immortelle. Cet homme qui jamais ne semblait mourir, toujours se relevait. Elle en avait entendu parler  a cette époque où elle pensait encore qu’elle n’était qu’une personne lambda, ou plutôt qu’une batarde pas vraiment désiré sur cette terre. Et voila que maintenant elle recroisait le chemin de ce prénom : Zyanya.  Toujours le même semblait il. Elle se prit a s’amuser a le traquer dans les textes, les registres. Elle était amusée mais aussi curieuse et intriguée. Il était d’après les dire rattacher au Toltèques, mais ce peuple se rapprochait de son peuple a elle, et cela lui donnait le sourire. L’idée qu’elle ne soit plus la seule immortelle ayant vécu parmi ces civilisation, y étant née même, lui donnait presque du baume au cœur. Elle fini par prendre une décision : Le retrouver. Elle voulait savoir s’il était encore sur terre, où si la mort avait vraiment fini par l’emporter. Et s’il était en vie, elle voulait lui parler, le voir, le connaitre. Ils partageaient surement les même reste de religions, des souvenir des mêmes mondes.  Elle sourit en passant doucement le bout de ses doigts sur le prénom inscrit sur cette page et referma le gros manuscrit. Ses recherches allaient prendre une autre tournure.

Elle en avait mit du temps, ca n’avait pas était simple, mais elle avait prit pas mal de plaisir a traquer ce type. Elle avait même arrêter un instant pour se demander si elle ne faisait pas un peu peur a aimer traquer les gens comme cela. Mais elle avait fini par en conclure que non, elle ne faisait pas peur, et au pire si elle était un peu dérangée, elle pourrait mettre ca sur le compte du traumatisme de sa première mort. Et ne plus jamais en parler, comme de sa première mort en soit. De plus, elle avait ce petit rôle un peu d’espion, d’infiltré, pour les missions avec sa constellation, donc il était surement normal qu’elle finisse par aimer ce genre de chose.

Et donc, la voila a Madellin, en Colombie, lieu de vie de ce qui était jadis un guerrier immortelle qui avait conduit ses hommes a leurs perte. Elle aimait bien la Colombie, elle y faisait souvent des petits séjour car le pays lui plaisait.  Après avoir garer sa voiture de location devant l’adresse qu’elle avait trouver, elle hésita un moment.  Elle eu même envie de faire demi-tour, finalement ce n’était peut être pas une très bonne idée de débarquer dans la vie de cet homme. Et si elle se trompait de personne et dévoilait son secret a un mortel, et s’il était du conclave ou quelque chose comme cela. Elle était en proie a beaucoup de doute. Mais comme souvent, elle fini par les ballayer et sortie de la voiture d’un pas décidé, plein d’assurance. Elle n’avait jamais était timide, au contraire, l’Aztèque était pleine d’assurance, cela se voyait très vite. Elle toqua, et offrit son plus beau sourire a l’homme qui lui ouvrit. Elle ne s’était pas tromper, il correspondait aux description qu’elle avait lut de lui.  Grand, brun, plutôt charmant, les yeux noir. On voyait tout de suite qu’il était un latino.  Elle fut cependant un peu surprise par ses paroles, par le cynisme dans sa voix. Il était surement de ces immortelle qui sont lassé de vivre.  Elle comprenait, parfois elle aussi était lassée. Et il y en avait tellement dans son cas.  Mais elle ne se laissa pas démonter, Citlalli n’était pas du genre a se laisser faire, bien au contraire.

« Bonjour, je n’ai rien a vendre.  Et je n’ai pas de chat, ni de chien. Je ne vit même pas ici. » Dit elle simplement en posant ses yeux bleu dans ceux noir de l’homme. « En réalité, je suis là, car je sais qui vous êtes et ce que vous êtes. Et je suis pareil. » Dit elle simplement. De but en blanc, Citlalli tout cracher. « Alors, guerrier immortel, vous me laissez entrée, où on parle de cela sur le palier de votre porte ? » Demanda  t  elle en souriant.

Maintenant, elle était curieuse de voir sa réaction. Curieuse de voir ce qu’il dirait, s’il la croirait, si elle avait trouver l’homme qu’elle cherchait. Elle n’avait pas vraiment envie d’imaginer ce qu’il se passerait si elle s’était tromper.

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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Jeu 25 Mar - 17:31

@Citlalli Demaya tw : (light) agression

Il est presque certain que son coeur s'est arrêté de battre, à l'instant de même où elle grille sa couverture et lui expose tout ce qu'elle sait. Je sais qui vous êtes et ce que vous êtes. Lorsqu'il repart de plus belle, il bat trop rapidement et c'est la panique qui prend le dessus. Il a l'impression qu'il va exploser, il n'a pas ressenti d'angoisse pareille depuis des années. Il se revoit en larmes dans un cachot, dans une ville qu'il ne connait même pas (Madrid lui dira t-on). Il se revoit prostré devant les corps de ses camarades. Il se revoit dans les bras de la seule femme qui ait jamais compté dans sa vie. On dit qu'on voit sa vie défiler devant ses yeux quand on meurt, est-il en train de mourir ? Quelque chose se meurt au fond, ce reliquat d'innocence qu'il entretenait. Cette illusion d'avoir été un bon dieu à défaut d'un homme bon. Je suis pareil. Qu'elle lui dit et tout ce qu'il pense c'est menteuse. Impossible. C'est un piège et il ne doit pas tomber dedans. La main crispée sur l'encadrement de la porte, il pèse le pour et le contre. Il la laisse rentrer avec un faux sourire sur ses lèvres, s'efface et la regarde passer. « Pas ici. » Affirme t-il simplement, les yeux noircis par la colère et la douleur.
Son regard tombe sur la commode.

Il cache un couteau dans le tiroir de la commode d'entrée depuis qu'un type à qui il devait de l'argent a failli refaire le portrait d'Aurora. Il s'est agenouillé devant elle et a pansé ses plaies avant de lui expliquer qu'il allait garder des armes blanches chez eux. Par mesure de sécurité.
Il connait un peu trop bien cette dance et elle n'est pas sur ses gardes, il l'attrape par la nuque et la plaque contre le mur, la lame sous la jugulaire. Son coeur bat aussi vite que le sien. Peau contre peau, il ne contrôle pas son don. Il voit à travers ses yeux ce qu'elle vécu, il voit. Il voit. Il voit tout ce qu'il pensait ne jamais revoir et presque immédiatement il la relache, larme toujours pointée dans sa direction. « Qui es-tu ? Qu'est-ce que tu veux et comment tu m'as trouvé ? » Il l'assaille de questions. Elle a brisé son paradis, lui qui pensait s'être caché. Surtout il se demande comment est-ce possible que quelqu'un se souvienne de lui. A moins qu'elle n'était là, ou qu'elle soit morte peu de temps après. C'est inespéré. C'est un cauchemar et pourtant c'est un rêve.

Il n'a pas le droit d'y croire. Il n'a pas le droit d'espérer, parce qu'il n'a tout simplement plus le droit d'y penser. Il a causé des torts irréparables, il a trahi les siens,  s'est trahi lui même. « Qui. es-tu. » Il demande en Nahualt. sur le ton d'un ordre plus que d'une question. « Tu prétends être comme moi, tu veux qu'on vérifie ?! » Au fond. Il y a surtout la peur dans ses yeux, celle d'être vue. Il se demande ce que ferait Lupe dans cette situation, il peut voir son regard désapprobateur, la moue sur son visage. (Pourquoi cette violence). L'immortel prend une grande inspiration et desserre légèrement sur son couteau, sans baisser son arme. Ses paumes sont moites et la transpiration visible sur ses tempes, tout comme le soulèvement irrégulier de sa poitrine. Il doit apprendre à se maîtriser, mais elle vient de larguer une telle bombe. Zyanya se sent fébrile.
Evidemment.
Zyanya. La vérité est plus ou moins écrite sur ses papiers, mais son prénom n'a jamais été populaire au moment où il ne portait. Tout est d'une parfaite logique qu'il refuse de voir.
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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Dim 9 Mai - 15:52

Losing my religion
On en revient toujours a nos racine. @"Zyanya saenz"

Elle était face a cet homme qu’elle avait chercher durant tant de temps. Elle s’était bien amusée a le traquer, a le chercher, a lire tout ce qu’elle pouvait trouver sur lui. Et maintenant qu’elle était face a lui, elle n’avait pas sut faire autrement que faire du grand Citlalli, aller droit au but, sans prendre de pincettes.  Elle qui avait hâte de voir la réaction de l’homme, elle ne fut pas déçu.  A peine eu t elle passer le pas de la porte, qu’il l’attrapait par le cou pour la plaquer contre le mur pas loin d’elle et poser un couteau sur sa jugulaire. Elle n’avait pas peur de mourir, elle n’avait plus peur de cela depuis longtemps. Elle savait qu’un jour elle ne se releverait pas, mais elle savait aussi que tout ce qui était sur cette terre devait un jour ou l’autre en disparaitre, donc elle accepterait son heure, peut importe quand elle arriverait. Evidement, elle préférerait éviter de se faire tuer aujourd’hui, elle était quasiment sur qu’elle se relèverait, mais elle n’aimait tout de même pas cela, toute façon, personne n’aime mourir.

Elle restait très calme, elle ne se rendit pas vraiment compte qu’il avait utiliser un de ses don sur elle. Elle ne fit pas attention a cela, elle ne savait donc pas qu’il avait vue a travers ses yeux un peu de son vécu, un peu de ses tourments. Il comprendrait peut être un jour, mais pour l’instant il  voulait savoir qui elle était, et a raison. Elle ne bougeait pas, elle restait calme. Ce n’était pas la première fois qu’on l’agresser de la sorte. Et même si dans le fond elle avait peur, car l’idée de se faire égorgée réveiller de mauvais souvenir en elle, un profond traumatisme même peut être, elle ne devait pas lui montrer.  Il lui demanda qui elle était, tout naturellement, après tout, elle aurait réagit exactement pareil. Ses questions étaient tous ce qu’il y a de plus légitime. Elle n’eu pas le temps de répondre, qu’il enchainait déjà, lui redemandant qui elle était, mais en Nahualt ce qui la surpris en premier abord. Tout simplement car cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas entendu parler cette langue. Elle l’affectionnait tout particulièrement, c’était sa langue de naissance après tout, et si elle pester souvent dans cette langue, si elle parlait parfois pour elle-même dans cette langue, voila longtemps qu’elle n’avait pas tenue une conversation avec cette langue.  Alors c’est tout naturellement dans cette langue qu’elle allait lui répondre.

« Je m’appelle Citlalli Demaya. » Dit elle simplement pour commencer. « Merci de m’avoir lâcher, je n’aime pas vraiment être égorgée. » Dit elle simplement en montrant le couteau, puis elle se remit a parler Espagnol. « Pour la vérification, c’est okai. » Dit elle en allant prendre la lame du couteau dans  sa mains. Elle la serra se coupant assez profondément. Puis elle ouvrit la main pour lui montrer que la plaie cicatrisé déjà. « Je  suis cherche et j’ai trouver de nombreux texte sur toi, Zyanya, le guerrier immortel. » Elle marqua une pause et essuya sa main pleine de sang sur son jean avant de la passer dans ses cheveux. Elle préférait salir son pantalon que ses cheveux. « Je suis ici… Parce que je suis née en 1 520, là où se tien maintenant Mexico. » Dit elle de but en blanc. Elle lui avouer tout sans vraiment le faire. Il devait comprendre de lui-même. «  Et si les textes sont vrai, et je suis bien placer pour savoir qu’ils le sont très souvent, tu es… Toltèque. Nous avons connue presque les mêmes époques, les mêmes pays…Les même peuple et… » Elle baissa un peu les yeux. Elle était ici après tout car elle avait un peu le mal de son époque, et trouver quelqu’un qui l’avait connue aussi, était une bouffé d’air frais pour elle. « Je crois que..Cette époque me manque alors.. Te savoir encore là…Me dis qu’on peu partager quelque chose, toi et moi… Des souvenirs, tu as surement était élever dans les même croyances que moi… » Elle hésita un instant « Mais… Si tu trouve cela ridicule, je m’en vais. Je ne suis pas là pour déranger. »

Voila, elle avait tout dis, elle avait lâcher le morceau, la balle était dans son camps maintenant, a lui de faire un choix sur tout cela.

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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Ven 14 Mai - 22:22

@Citlalli Demaya
Zyanya a un mouvement de recul, comme si on venait de lui tirer une balle en plein coeur, ou qu'on l'avait poignardé. Il n'en est rien, physiquement en tout cas quand il s'ausculte, il n'a rien. A l'intérieur, c'est autre chose. En l'espace de quelques secondes, elle vient de lui clouer le bec. Larguer une bombe. Il ne sait plus quoi dire, quoi faire, il doute même de sa capacité  à inspirer et expirer. Son corps tremble et ses genoux menacent de le lâcher. Un frisson glacial le traverse de la pointe des pieds jusqu'aux cheveux ; la peur, la véritable peur qui ronge et se faufile partout pour le tremper jusqu'aux de son emprise malfaisante. Il l'observe s'ouvrir la paume de la main et faire la démonstration de son don de régénération, mais il n'a pas besoin de preuves. Il l'a entendue parler leur langue, et rien que son prénom est une clé qui ouvre des portes bien gardées. Elle ne ment pas, il en a la certitude. Ce serait impossible de mentir sur autant de détails. Chaque mot de plus est un poignard de plus. Il entend dans sa voix cette même urgence qu'il avait quand il a rencontré Izel. Il n'ose même pas imaginer ce que cela fait, de retrouver quelqu'un des siècles plus tard.
En fait si, il peut. Il est dans cette exacte situation, celui que l'on retrouve et qui doit le digérer.

Tout ce qu'elle sait... Elle n'est pas sensée le savoir. Cette fois, il a réellement peur. Peur de son savoir, de ce qu'elle pourrait en faire et même si la part plus rationnelle de son cerveau lui rappelle qu'elle est immortelle comme lui, n'ayant aucun intérêt à le balancer au conclave, il réalise toute l'étendue de son entêtement à vouloir garder son prénom. Il ne pensait pas que quelqu'un irait faire des recherches sur lui, il se pensait en sécurité huit cent ans plus tard, oublié. Il repense à tous ceux qui ont tenté de le décourager. Est-ce une chance inespérée ? Si il n'avait pas été aussi naïf, elle n'aurait peut-être pas su remonter jusqu'ici ? Mais veut-il seulement de se présence ? Il a l'impression d'être mit à nu devant une inconnue, elle sait tout.Elle connait son histoire et jamais il n'aurait pensé que ça le mettrait à ce point hors de lui. Il n'explose pas de colère, il continue à la fixer avec ses yeux ronds et sa bouchée bée. A vouloir crier, ou pleurer, tout se confond et rien ne fait sens. Il n'est pas  seul. L'espoir renait, maigre, mais présent.
Sauf que c'est impossible. Quelles étaient les chances qu'une autre personne survive ? Infimes, jusqu'alors il n'y avait eu qu'Izel qui avait partagé sa vie. Son amante qui avait disparu l'année dernière. Une troisième personne ? Impossible. Il a tiré une croix sur tout ça, il a assez versé de larmes, s'est assez détesté pour ce qu'il leur a fait. Impossible.
C'est impossible et en même temps si c'est vrai, et c'est vrai, alors c'est merveilleux.

« Citlalli. » Il ne se souvient pas d'elle. Elle est née à l'époque où lui est parti, embarqué sur un navire, sa nature mit à jour. Arraché aux siens après avoir causé la perte de sa petite secte, ses suppliques n'ont pas été entendues, ses explications refusées. Il n'était plus qu'un prisonnier, c'est le dernier souvenir du Zyanya du passé. Il ne reste plus rien du guerrier immortel, ce guerrier est une honte. Il ne veut pas être associé à ce titre, il a abandonné ses proches, ses mains sont tâchées de sang. Il n'a plus prié, ne  se sentant pas légitime de le faire encore. Lupe persiste à se moquer de son titre et ironiser dessus. C'est une blague entre eux et Zyanya ne lui en tient pas rigueur. Que cherche cette femme ? Parce que, si il veut rencontrer son guerrier immortel, elle risque d'être déçue, d'avoir fait la route pour rien. Il est toujours immortel, en revanche, le guerrier lui est tombé dans l'oubli. Il ne sera plus jamais digne de porter un tel titre.
Il n'aurait jamais du jouer aux dieux en premier long.
Zyanya retrouve son impassibilité. Son visage se referme, ne laissant plus passer la complexité de ses émotions. « Bien, vous l'avez devant vous. C'est assez pour satisfaire votre curiosité ou bien il vous faut une photo ? Oh. Un petit autographe peut-être ? On peut reproduire la scène de ma résurrection si vous voulez. » Il ricane, amer. « Tout ce chemin pour me rencontrer ? Vous devez en savoir des choses sur ma vie. Je suis flatté. Et il veut vomir. C'est fini tout ça. Si tu as si bien fait tes recherches, alors tu sais comment ça s'est terminé. Le passé, c'est le passé. Ca vaut mieux pour toi que tu n'y portes pas d'importance. » Sa gorge se serre et tous ses efforts sont vains pour cacher ses yeux brillants. Lui aussi, ça lui manque. Personne ne peut imaginer à quel point l'immortalité, aussi bénéfique a t-elle été, l'a arraché à ses croyances, a piétiné tout ce qu'il pensait acquis. Certains ont encore leur religion, que leur reste t-il ? Des légendes. Des légendes qui fascinent tout le monde. « C'est pas ridicule. Je suis- Je suis juste pas la bonne personne. » Il a abandonné. Comme des années auparavant. Il a baissé les bras, il a cessé de se battre. Il n'ose plus la regarder dans les yeux, baissant son regard.
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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Dim 4 Juil - 20:37

Losing my religion
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L’entendre prononcer son prénom lui avait fait une drôle de sensation.  Parce qu’il avait sut le prononcer avec la plus grande des justesses, en l’entendant, elle avait eu l’impression de revenir des années et des années, des siècles même, en arrière, quand son peuple l’appelait. Elle qui avait l’habitude qu’on écorche un peu son prénom cela lui fit une sensation un peu étrange. Mais après tout, ils parlaient la même langue.  Ca l’avait conforté dans ce qu’elle venait chercher aujourd’hui, auprès de lui : Un peu du gout du passé. Elle savait que certaine chose appartenait au passé et devait y rester, mais elle n’arrivait pas a se défaire de cette sensation, parfois oppressante, de nostalgie.  Il avait était la bouffé de nostalgie mais aussi d’air frai qu’elle était venue chercher, alors qu’il n’avait fait qu’une petite chose, aussi simple qu’insignifiante au final, il n’avait fait que prononcer son prénom.  Elle en avait souvent changé, elle était passer souvent d’une identité a l’autre, mais finalement, elle en revenait toujours a son prénom de naissance.  

Mais elle avait bien vue que cela ne faisait clairement pas le même effet a l’homme face a elle.  Elle avait l’impression qu’il était en lutte contre lui-même, ou quelque chose. Elle avait cette impression a cause de son expression sur le visage. Mais elle ne le connaissait pas, elle ne savait donc pas vraiment interpréter ses mimiques.  Elle pencha un peu la tête a ses paroles.  Elle ne voulait rien de tout ce qu’il disait. Elle ne voulait pas le mettre dans cet état. Elle, elle voulait juste partager un petit bout de ses souvenirs, de ses racines, de ses croyances avec quelqu’un. Quelqu’un qui était d’un peuple se rapprochant beaucoup du sien et qui avait connu son pays a la même époque qu’elle.  

« Tu as failli me rejouer ma première mort. » dit elle presque amuser en lui faisant signe vers son couteau, qui jusqu’à il y a peu était sur sa gorge, prêt a l’égorger.  Ainsi, elle lui avouer a demi-mot comment elle était morte, sans pour autant donner vraiment de détaille.  Surtout pas les plus sordides.  Oui, elle le tutoyait et cela ne la gênait pas. Il faut dire que Citlalli avait le tutoiement facile et se formalisait très peu de ce genre de chose.  Elle le fixait maintenant. « Alors tu abandonne ? Tu ne sait donc pas que si on ne se rappel pas le passé, on refait les même erreurs ? Pourquoi enseigne t on l’histoire aux jeune  selon toi ? Pour ne pas refaire les même erreurs, pour ne pas oublier ceux qui ne sont plus. Je pense que nos peuple ne mérite pas de tomber dans l’abandon. Nous en sommes des repressentant les plus légitime qu’il puisse y avoir sur cette terre a cet époque, nous devons les honoré. Peut importe les erreurs que tu as commis, peut importe celle que j’ai pu commettre. » Elle haussa les épaules. « Même si tu as peut être raison, je devrais pas y porter trop d’importance, je le fais quand même. Parce que c’est plus fort que moi, parce que je pense que c’est important ! »  

Elle se déplaça un peu, passant a coté de lui, se décollant du mur. Elle ne serait pas intrusive chez lui, elle n’allait pas faire comme chez elle alors qu’elle n’y avait pas était invité, mais elle voulait quand même ne plus être acculée contre le mur. Elle fit raisonné ses talons dans la petite pièce et se tourna a nouveau vers lui.

« Tu n’es peut être plus le « guerrier immortelle », mais tu est toujours Toltèque de naissance.  Tout comme je suis toujours Aztèque bien que bâtarde. » Dit elle dans sa langue de naissance. Elle voulait qu’il se rappel,  elle ne le connaissait pas, mais elle voulait qu’il soit fier, encore et toujours, de ses racines.

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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Sam 31 Juil - 21:22

@Citlalli Demaya
Il est en train de se faire sermonner.
A juste titre, mais tout de même. Il la fixe de ses yeux sombres toujours partagé entre l'urgence de la faire disparaître comme on glisserait sous le tapis la poussière de son passé, et le besoin presque viscéral de l'écouter. De croire ce qu'elle lui raconte. C'est le nerf de la guerre, le foi ; celle qui lui échappe, la foi en ses dieux et puis envers les autres, devenu la seule personne en qui il pouvait accorder sa confiance. Puis, il s'est tourné vers sa constellation, parce qu'il avait besoin de ne pas être totalement seul. Huit siècles de solitude auraient été trop long, peut-être aurait-il arpenté ce chemin si on ne lui avait pas apprit autrement. Parfois la vie vous pousse sur des chemins luxuriants, il n'y a pas que du mauvais, que des épreuves, même si le plus grand bonheur ne reste qu'une leçon supplémentaire. Mais Zyanya a été sauvé, Zyanya a eu la preuve qu'il n'existait pas que des personnes corrompues prêtes à le trahir et peut-être qu'il est aussi bénit qu'il le pensait, que quelque chose ou quelqu'un le protège, qu'il est aussi ardent que le soleil, qu'il ne pourra jamais s'éteindre. Croire en lui même a finalement été l'épreuve la plus difficile à surmonter et ça personne ne pourrait le savoir. Qui pourrait douter de son arrogance, de son assurance, de la ferveur avec laquelle il se vend et se cache, usant et abusant d'attaques mesquines. Parce qu'il a besoin d'y croire.
Il a besoin de croire que plus rien ne pourra lui faire du mal. Il a besoin de croire qu'il a la carrure de ce prétendu dieu qu'il a incarné, qu'il n'est pas, ne sera jamais. Il ne s'agit pas seulement de prétendre l'être, d'arriver en immortel invaincu. Il l'a comprit trop tard.
C'est tout ce qu'il a tiré de l'histoire et il se fiche du reste, des autres, des générations passées et futures, de ce qui a été et ne sera plus. Parce qu'ils ne sont plus là. Que reste  t-il à honorer ?

Ce bout de femme lui a cloué le bec, il se sent penaud et puis, il retrouve le masque d'indifférence qui garde ses traits figés dans le temps. Pas même la ride d'un sourire, d'un rire, ou d'une grimace. Même si elle a raison, ça n'a pas d'importance, ça ne lui fait plus rien. La honte, la colère, le deuil, tout ceci a noirci son coeur. « Très inspirant, ton discours. » Il est amer. Parce que l'histoire se répète, encore et encore, ils l'ont vu de leurs propres yeux. Il voudrait bien accorder un peu de crédit à ses belles paroles et se battre pour ceux qui sont morts, mais ils sont poussière, il n'en reste rien. Ils sont plus beaux dans un musée et lui, il ferait mieux de la fermer parce qu'il a contribué à sa propre chute et qu'il n'est pas tombé seul. Parfois, son existence même lui apparaît comme un déshonneur, parfois il se déteste et ne comprend pas pourquoi il est toujours vivant. « Tu dois être sacrément désespérée pour venir me trouver. » Et c'est tout. Sur ce, il retourne derrière le bar pour sortir une bouteille et deux verres. Il aurait préféré un pétard, ce serait plus de circonstances, il a surtout besoin de se calmer, pas de s'exploser le crâne, mais les convenances préfèrent l'alcool et il n'est ni trop tard, ni trop tôt. Pour les effets qu'ils ressentiront dans leurs carcasses immortelles. Il hésite à sortir une bouteille de soft et finalement lui ouvre la porte de son frigo et sort tout ce qu'il possède. Elle n'aura qu'à se servir. « Raconte moi ton histoire. » Il lui demande de but en blanc et sans considération pour la difficulté qu'elle pourrait éprouver à replonger dans sa mémoire. Morte égorgée, donc, il lui manque encore le contexte, qui elle était, quel était son rôle. Même les détails insignifiants et surtout eux, qui la rendraient plus humaines et moins comme un fantôme ressurgissant de son passé pour le narguer. « Tu connais la mienne, ou une partie, alors ça me semble juste. » Une autre tragédie. Un autre drame. Une autre souffrance qu'il pourra inscrire dans sa mémoire, pour la porter à jamais.
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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Ven 27 Aoû - 13:11

Losing my religion
On en revient toujours a nos racine. @"Zyanya Saenz"

Citlalli savait en général parler, elle était du genre a trouver les mots qu’il faut, a motivé facilement les troupe avec un petit discourt toujours plein d’espoir. Mais visiblement pas cette fois. Il était amère elle le voyait sur son visage et l’entendait dans le ton de sa voie.  Mais elle ne lui en voulait pas, après tout, elle connaissait un peu l’histoire de cet homme alors elle comprenait parfaitement qu’il soit amère et peu receptif a ce genre de petit discours. Seulement, Citlalli était du genre a ne rien lâcher, elle ferait tout pour lui faire entendre raison, pour lui montrer qu’ensemble, ils pouvaient partager quelque chose, un peut de souvenir, un peu de cette culture qui lui manquait tant. Et surtout, grâce a lui, elle pourrait avoir des conversation dans sa langue natale, cette langue qui lui manquait tant et qu’elle parlait régulièrement seule devant son miroir par peur de l’oublier en ne la pratiquant pas. Elle aimait l’espagnol, elle aimait le parler, mais ce n’était pas sa langue d’origine, elle n’y avait pas la même attache, elle n’avait pas le même amour pour cette langue. Alors elle voyait en Zaynya, une occasion de parler sa langue chérie, de partager un peu de sa religion qu’il avait surement pratiquer lui aussi.  Il était comme un vestige de son passé. Un souvenir qu’elle avait envie de conserver précieusement.

Un sourire fendit son visage quand il lui dit qu’elle devait être désespérée pour venir le retrouver. Non, elle n’était pas désespérée, mais elle était nostalgique des temps ancien, de son peuple, de son pays comme il était a l’époque.  Et aussi d’histoire, elle était envieuse de découvrir de nouvelle personne, si proche d’elle tout en étant encore un inconnue. Elle avait fait ses recherche sur cet homme et lui avait trouver quelque chose de fascinant chez cet homme, son histoire et ce qu’il était maintenant.  Elle avait donc ce sourire chaleureux sur son visage face a lui.

« Non, pas désespérée. Mais n’aurait tu pas envie de connaitre des gens immortelle du même peuple que toi, si tu savais qu’une tel personne existe ? »

Elle ne fut pas vraiment surprise de sa demande. C’est vrai que c’était une demande des plus légitime, elle, elle avait fait des recherche sur lui, lui, il ne savait rien d’elle. Alors, même si cela la fit un peu grimacer, elle consentait a lui raconter son histoire. Elle lui avait déjà rapporter comment elle était morte pour la première fois. Evidement elle avait obliger les détail sordide et elle allait probablement le faire une nouvelle fois.  

« Je suis née en Decembre de l’année 1 520, mon père…Est un colon qui a abuser de ma mère.  Je suis donc une batarde Espagnol et Aztèque. Mais j’ai était élever par une grande prêtresse Aztèque donc je me considère Aztèque et non espagnol. Bien que mes yeux ont toujours rappeler mes réel origines… » Dit elle en soupirant un peu la fin de sa phrase. « J’ai était mariée, j’ai eu un fils. Et un jour, des espagnols ont attaquer mon village. J’ai était… » Elle marqua une pause. Cela faisait longtemps qu’elle était morte pour la première fois, mais il lui était toujours compliqué de le dire a haute voix. « Agresser… Puis égorgée devant mon époux déjà blesser car guerrier et mon fils adolescent a cet époque… En me reveillant j’ai retrouver leurs corps proche du mien… Suite a cela j’ai errer un long moment, j’ai était recueilli par des gens adorable et ensuite retrouver par ma constellation. Et je suis là maintenant. Si tu as des questions, hésite pas, j’ai rien a cacher.»

Un résumé très rapide, qui oublier beaucoup de détails. Mais s’il en voulait des détails, il n’avait qu’a les demander. Elle lui donnerait surement pas tout, mais certain n’était pas trop horrible a entendre ou a prononcer a haute voix.  Et maintenant il en savait plus sur elle.  Peut être qu’il allait accepter de faire plus connaissance.

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Zyanya Sáenz
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(#) Re: losing my religion (citlalli)    Ven 17 Sep - 14:57

@Citlalli Demaya

« Je suis désolé. » Il lui dit, visiblement peiné et se trouvant stupide de l'avoir plongée de nouveau dans des souvenirs douloureux, forcée à lui dévoiler ses traumatismes. En arriver là n'était pas son but, il réalise qu'il est allé trop loin dans sa provocation et son besoin de réponses. Si ce qu'il voulait était une vérité choquante, il l'a maintenant. Elle n'invente pas ce qu'elle a traversé, ça il l'a vu de ses propres yeux et il en a fait les frais. « J'avais une femme aussi, nous avons été séparé avant que les espagnols n'arrivent. Je me dis aujourd'hui que si je l'avais suivie au lieu de vouloir jouer les héros, ça ne serait pas arrivé. » L'année dernière, il l'a perdue pour toujours. C'était un choc différent. Celui des regrets, du temps passé à entretenir de l'animosité envers quelqu'un de condamné, ça n'apporte rien. Juste de se sentir bête quand une fois le moment venu, on réalise qu'il y avait encore beaucoup de choses à se dire. Et pas uniquement des menaces. Zyanya soupire, fatigué et las. « Je me suis montré un discret. » Il a son mauvais caractère, ça ne l'empêche pas de savoir faire un pas en arrière quand il a fait une connerie. Soft, donc, il décide pour lui, en prenant une bouteille de jus de fruit et en venant s'asseoir dans son canapé.
Il ne sait pas quoi dire et mélanger son amertume et sa mélancolie avec de l'alcool ne fera pas un bon cocktail.

En même temps, après une telle révélation, difficile de mettre de l'ambiance, c'était déjà délétère avant, maintenant il a l'impression qu'un vent glacial souffle à l'intérieur de sa maison. Il ne sait pas comment on fait connaissance dans ce genre de circonstances. . « C'est bien que tu sois avec une constellation qui prenne soin de toi. » Il sourit. L'empathie, le réconfort, Il y a beaucoup de rage en lui, mais Zyanya est aussi reconnaissant envers toutes les personnes qui lui ont montré qu'il existe aussi d'autres émotions, sans minimiser ce qu'il a vécu et lui demander de pardonner. « J'ai eu aussi quelques déboires avec des Espagnols » Sa chaire a effacé les marques, pas ses souvenirs.

La honte ne devrait pas être de son coté, il n'est pas responsable de ce qui s'est passé, il a tenté de se défendre au moins. Ce que peuvent penser les autres, ça ne devrait pas l'impacter. Jusqu'à présent, il ne s'est jamais formalisé de l'opinion de gens sur lui. Qu'ils le haïsse ou l'apprécie, ça ne fait aucune différence. Zyanya n'a pas besoin qu'on approuve ses méthodes. Cette épisode de sa vie, qui a marqué le début comme la fin ne le quitte jamais vraiment. « J'ai des questions pour toi, effectivement... Juste, pas celles auxquelles elle doit s'attendre vu la manière dont leur échange a commencé. Tu te souviens... de quand tu étais petite ? » D'avant, bien avant tout ça, avant la désolation, avant qu'ils ne perdent leur repères. Et avant qu'ils ne soient projetés à travers les siècles, quand ils étaient encore innocents et qu'ils n'avaient pas tout ce poids sur leurs épaules. Personne ne pourrait comprendre ce qu'il ressent face à Citlali qui vient briser une solitude à laquelle il s'était habituée. Nombreux immortels peuvent se vanter d'avoir retrouvé les leurs, mais eux ? Il se pensait seul, il ne s'est jamais senti aussi seul quand Itzel a poussé son dernier soupir. C'est inespéré de pouvoir retrouver cette familiarité et c'est sans doute pour cette raison que sa réaction était aussi virulente.
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