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(#) Can you help me occupy my brain - Citlalli    Mar 16 Mar - 0:01

Il est venu là pour se détendre. Un verre de scotch à la main dont il fait tournoyer le liquide d’ambre dans son receptacle, l’oeil rivé sur le devant de la scène face à lui – et le regard noircit par de sombres pensées. Pourtant, y’a un truc qui l’chiffonne. Un truc qui lui fout serieusement le cardio au taquet. C’est ce mec, là,  derrière lui. Celui qui se fend la poire comme une baleine bourrée, assis sur son putain de tabouret qu’il fait claquer  sur le parquet à force de gesticuler dessus comme un connard. Et ça commence sérieusement à lui péter les bijoux d’famille. C’est vrai quoi,  Il est pas venu ici pour se farcir les beuglements de tout ces poivrots pas fichus de piter quoi que ce soit à la musique. Alors ouais, l’entendre pouffer comme une pucelle dévergondée, ça lui fout carrément les boules à Caïn. Faut entendre c’qu’il raconte aussi. Franchement ça vaut le détour ; Et va y que je te déblatère toutes les nanas que je soulève, et va y que je sifflote toutes les donzelles qui passent sous mes yeux – alors que je me paie une trogne à la elephant man. Ça lui donne la gerbe. Et a son énième discours de clebard en rut, ça finit par lui sortir du fond d’la carcasse. «  Mais tu vas la fermer ta putain de gueule ? » qu’il maugrée en se retournant enfin, les canines affûtés sur ses lippes retroussées d’une expression carnassière. «  Hop là mon gars ! Faut pas être aussi virulent, on est tous potes !  Trinque plutôt avec mes camarades et moi !» Le regard de l’homme se frotte à la silhouette de son interlocuteur avec mépris évident ; l’odeur de clopes froides et les effluves d’alcool qui s’accrochent au tissu de son veston bon marché lui renvoie l’image du genre de mec un peu paumé qui s’la raconte - ça excite peut être les lycéennes en chaleur, mais avec lui, ça prend pas : pas assez d’oestrogènes probablement et un peu trop de testostérones, sûrement. un rictus s’étire sur ses lèvres : pas qu’il trouve de l’intérêt à son soliloque phallocrate, mais bien parce qu’un tel discours pourrait lui provoquer une crise d'urticaire s’il n’était pas vacciné depuis longtemps contre la connerie humaine.  Il en connaît des tas, des types comme lui : ravagé du bulbe, pathétique jusque dans la moelle épinière - ouais, finalement, il le plaint - parce que sa misérable existence est tellement creuse à c’mec là, qu’il peut presque entendre l'écho de l’encéphalogramme plat résonner dans son crâne de piaf. «  En fait, j’t’entend parler depuis tout à l’heure tu vois. » Pupilles dilatée. Ni énervé, ni contrarié. Il est comme ça Caïn ; un ballon de baudruche empalé sur un cactus ». C’est avec sérieux, et le timbre aussi calme que la surface d’un lac qu’il assène. « P’t’être que y’a marqué salon du X sur l’enseigne à l’entrée, j’ai pas fait gaffe et en vrai j’m’en cogne. » Bah alors ? v’la que le gonze le regarde comme un abruti. Eho, y’a quelqu’un sous cette épaisse couche de débilité ?  Le sourire goguenard s’étire. Lui tout seul à l’allure d’une allumette, un seul coup d’tête et il serait mit au tapis. Quant à ses deux acolytes … Ils respirent pas trop la bravoure. «  C’est quoi ton problème ? » Dans un excès de … fierté (?) le pauvre type se met sur ses deux jambes. Caïn lui, ne bronche pas. Pas encore. Il aimerait bien finir de s’enfiler son verre tranquille avant d’avoir à lui en coller une dans l’pif. «  Mon problème ? Mon problème c’est que je suis venu ici pour écouter des grands morceaux de jazz, pas ta causette de pré pubère en chien. Alors j’crois que c’est l’heure pour toi de rentrer te toucher puisque que… surprise mon gars : les nanas, elles aiment pas les lourdingues dans ton genre. » Et c’est d’une traite, qu’il le vide, son foutu verre. Avant de se lever et d’écarter les bras face à la demie portion qui… Se ravise ? Pourtant, il est pas tanqué comme un gorille Caïn. Bah, c’est sûr qu’à côté de cette brindille, on pourrait croire qu’il est sponsorisé par malabar et puis vu la trombine qu’il se tire avec son expression redoutable flanqué sur ses traits, y’a moyen que ça refroidisse ses ardeurs au ptit gars. Mais tout de même. La dignité quoi. Un peu de dignité bordel !

C’est sans plus de dommages – ni de verve polissonnes - que l’inconnu se décidera finalement à changer de table, non sans mettre un violent coup d’épaule à Caïn au passage. Equilibre qu’il perd, ne s’attendant pas à une telle audace de la part d’un mec gaulé comme un coton tige. C’est contre le comptoir du bar qu’il s’écrasera dans un bruit sourd de verre qui casse. «  Fils de pute ! » qu’il s’exclame, en reprenant contenance, cherchant des yeux ce connard dans l’intention evidente de lui refaire le portrait. Rien. C’est qu’il a été rapide le salaud ! Alors, c’est en grommelant qu’il essuie la manche de sa veste en cuir, trempée par le whisky et autre liquides renversé sur la console, du bris de verre fiché dans le tissu. Y’a pas à dire, elle est surement foutue. «  Fait chier putain ! ». Son regard d’encre se relève alors sur la silhouette qu’il a lui même bousculé, réalisant soudain la position dans laquelle il se trouve. Si sur le moment il a pas pigé avoir causé du désagrément par corrélation, c’est le regard de la brune posée sur lui qui le rappelle à l’ordre. Oops. Le verre, c’était l’sien alors ? «  J’suis désolé. » qu’il marmonne, encore irrité du heurt de cette saloperie d’enfoiré. «  J’vous repaie un verre  à la place de celui -ci.» Injective ferme. il pointe du doigt le reste de morceaux de verre sur la surface du bar. «  Pour le dérangement. Prenez c’que vous voulez » Pas qu’il soit d’une courtoisie extrême, mais c’est quand même la moindre des choses quand un connard vous tombe sur la figure alors qu’vous avez rien demandé à personne. C’est un peu précipitamment qu’il ajoute d’ailleurs : «  J’vous promet c’est pas une technique d’approche à la con, je tenais vraiment à cette veste, j’aurais fait autrement si j’avais voulu vous baratiner. … Ptain de tocard... » baragouinant dans sa barbe, sa soirée est définitivement un fiasco. Va pas falloir qu’il traine trop s’il veut avoir espoir de pas finir la soirée les phalanges sur la machoire du premier v’nu.



@Citlalli Demaya
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(#) Re: Can you help me occupy my brain - Citlalli    Dim 28 Mar - 20:33

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New York, Citlalli avait décider de s’y rendre pour prendre une peu l’air, loin de Mexico et de l’université. Elle aimait cette ville, elle aimait sa résidence principale, elle aimait son pays de naissance, mais parfois elle avait besoin de changer d’air.  Parce que parfois cette ville devenait trop oppressente, le pays tout entier. Et puis Citlalli avait besoin de souvent bouger, de voir d’autre gens, de voir d’autre choses. Elle avait du mal a rester poser trop longtemps, et même si en soit elle vivait la plus part du temps a Mexico, si elle travaillait là bas, elle prenait très, peut être parfois trop, souvent l’avion pour d’autre horizon.  Toujours au soleil, sauf New York, c’était la seule ville où elle allait régulièrement qui n’était pas dans un pays latin ou au soleil réellement.  Elle râlait parfois du climat, mais en soit elle aimait bien cette ville. Et puis petit a petit, elle s’y était fait un petit cercles de connaissance.

A la base, elle aurait dut être accouder a ce comptoir avec une copine. Une fille qu’elle connaissait depuis quelques temps déjà et avec qui elle s’entendait bien. Elles auraient du écouter de la bonne musique, boire quelques verres -un seul pour Citlalli qui ne tien pas du tout l’alcool- et parler de mec, de travail et peut être s’échanger des ragot sur leurs connaissances communes. Une soirée normal entre copine. Sauf que le mec de son amie s’était invité et lasser de les voir se sucer la poire toutes les cinq minutes, Citlalli avait migré de la table où elles s’étaient posé jusqu’au bar. Elle avait commander une bière, et avait soupirer avant de rivé ses grand yeux bleu sur la scène.  Elle essayait de se concentrée sur la musique, histoire d’oublier les bavardages incessant et obscène de l’espèce de gros porc qui étaient derrière elle, a une table avec ses amis. Elle faisait fit d’eux, tout comme elle avait ignoré les sifflement et les commentaire déplacer qu’elle avait entendu quand elle était passer a coté d’eux pour poser son « jolie p’tit cul qui donne envie d’le prendre » sur un tabouret au bar. Pourtant ça l’avait démanger de lui dire qu’il pouvait toujours rêver pour la toucher ou même que c’était totalement déplacer et qu’il ferait mieux de la fermer.  Elle n’avait rien dit, l’ignorance étant la meilleure des méprises, elle l’avait appris au fils des années qu’elle avaient passer sur cette terre, et pour dire ca en faisait un paquet.  Alors, quand elle avait entendu le mec pas loin d’elle leurs dire de la fermer, l’aztèque n’avait put que sourire et se déconcentrée de la musique, pour du coin de l’œil et en sirotant sa bière, suivre la dispute.  Il avait du répondant le brun, et l’autre crétin semblait être le genre de gars qui n’on que de la gueule.

Enfin, jusqu’à ce qu’il bouscule le brun et que celui-ci ne vienne la heurté elle et brisé son verre. Citlalli regarda son verre et soupira doucement avant de poser les yeux sur le brun qui s’excusait déjà et lui proposait de lui payer un nouveau verre. Elle hésita un instant, ne disant rien. Elle reprennait un verre d’alcool, ou elle se la jouait sage et prenait une eau pétillante ou un soda ? Elle fit rapidement son choix et commanda un mojito. Ca va, c’était son deuxième verre elle tenait encore bien, elle pouvait se permettre.  Elle posa ensuite ses yeux bleu sur le brun quand il parla a nouveau et eu un petit rire amusée.

« Ah vraiment ? Et vous auriez fait comment si vous aviez voulut me baratiner ? »  Demanda t elle curieuse.

Son accent mexicain se faisait entendre a des kilomètre a la ronde, mais la brune assumé et en était même plutôt fière. Elle était prête a parier que le gros lourd que le brun a la veste en cuir foutu était capable de faire des commentaire raciste, mais il était loin et au pire, ce serait elle qui lui rentrerait dedans s’il s’avisait d’en faire.

« En tout cas, vous avez bien fait de lui demander de la fermer, il était vraiment trop lourd, alors merci. »Elle lui sourit « Citlalli, enchantée » dit elle en lui tendant son verre pour qu’ils trinquent.  

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(#) Re: Can you help me occupy my brain - Citlalli    Dim 4 Avr - 10:41

La raison de sa caboche qui tient bon. Faut dire que c’pas vraiment l’moment de péter une durite, qu’il se dit en avisant la porte avec l’envie presque foudroyante de s’y précipité pour déchiqueter la sale gueule de ce baltringue et des p’tits batards qui l’suivaient. littéralement. Faire gicler le sang de leur carotide pour leur apprendre les bonnes manières. Faut pas déconner hein. Ouais, il en a buté pour moins que ça ; un regard en croix, un frémissement de lippes de trop et quelques palabres mal foutues et c’était la fin. Bon, il abuse p’t’être un peu - probablement dû à son taux d’adrénaline qui vient de doubler dans son encéphale, et merci pour ça, connard - mais à peine. Caïn fait pas dans la dentelle. Suffit de voir la gueule qu’il se traine, il a pas vraiment la dégaine du type bon chic bon genre à l’argumentaire élitiste et chiant de la haute. Mais là, il a foutrement envie de leur déboiter leurs putains de mâchoire jusqu’à ce qu’il raque leurs propres dents et s’étouffent avec dans des effusions d’hémoglobine. C’est quand même dingue toute cette rage qui pullule en lui. La bête n’est jamais très loin sous son épiderme ; un cerbère aux abois dont le gardiennage consiste avant tout à juguler sa colère avant de l’exploiter de manière irascible lorsque les circonstances sont de mises. Et aujourd’hui, elles ne le sont pas. Alors il se mord la langue, presque jusqu’au sang - guidé par un bref éclair de lucidité. C’est que des fois, il patauge dans ses propres vicissitudes et c’est pas vraiment commode de tout arranger la dessous - quand bien même il fait des efforts pour pas vriller sa race. Avec plus de 300 ans au compteur et presque autant de jours passés à se vautrer dans sa haine de l’humanité, il prend plus vraiment soin d’articuler sa sagesse et sa patience autour du temps qui lui reste. Pas qu’il soit vraiment méchant, au fond, Caïn ; a bien y regarder il s’estime pas vraiment être le grand vilain de cette histoire, lui dont on a tout prit. C’est  par amour pour sa soeur qu’il a déraillé : ce qu’on lui a fait, il n’est pas capable de leur pardonner.

Lentement il reprend pieds. Réemboite lentement une raison passablement malmenée au profit d’une rogne dont il avorte les prémices, et avise la nana d’un air contrarié. Pas contre elle - faut dire qu’avec son minois, il serait bien con d’la jauger de la sorte - mais contre ces enfoirés qui ont niqué sa veste. Là, c’est son ego qui en prend un coup ; c’est qu’il aime pas trop se taper l’affiche de cette manière là, surtout devant les demoiselles aux allures remarquables. Il la gratifie d’un acquiescement de tête lorsqu’elle se décide à commander un mojito - dont il ne commentera pas le choix -  et quelques jurons dans sa barbe plus tard, voilà l’homme à nouveau sur ses pattes prêt à enlever sa veste pour en observer les lésions. Fait chier. Le vrai cuir tanné, ça coûte une blinde, il l’aimait bien. Un peu surprit par la question de la brune, Caïn hausse un sourcil et étrille un sourire goguenard sur ses babines retroussées. “ Pas comme ça.” qu’il se contente de souffler au travers ses crocs acérés. “ J’suis pas désespéré au point de compter sur la pitié des jolies demoiselle pour les aborder.” Il bute sur son regard - qu’elle a fort joli d’ailleurs, à n’en pas douter - et esquisse un petit rire bref. Il apprécie ce léger accent qu’il a senti dans sa parole au bagout certifié. D’un claquement d’un doigt et son expression placide parfaitement ancré sur sa trogne, Caïn avise le serveur et commande alors un double whisky - un Aberlour de 18 ans d’âge - et de quoi grailler quelques cacahuètes. “ Pas d’quoi pour ça. Vraiment. Tout le plaisir était pour moi j’crois. Si j'avais pu je lui aurais même foutu une branlée à ce c't'enflure” Bien qu’il ne se serait probablement pas arrêté à un simple échange d’injures s’il en avait eu l’occasion. Lui éclater la tête contre le comptoir du bar lui semblait une alternative tout aussi bienséante que celle de le remettre à sa place. “ Caïn. De même.” Qu’il rétorque en faisant tinter son verre sur celui de la femme avant d’en boire une gorgée. Son prénom est peu commun - et usurpé à une certaine histoire biblique - tout comme celui de la beauté à la silhouette gorgée d’un soleil qui ne brille pas de ce côté-ci des États unis. “ Z’êtes pas  d’ici vous hein?” qu’il demande en la regardant en biais en faisant tourner le liquide ambré dans le fond de son verre. “ Vous ressemblez pas aux gens du coin.”  qu’il argue en haussant les épaules. Non pour la catégoriser mais bien pour souligner l’originalité qu’elle porte dans la voix et sur le derme. “ J’vous rassure. C’est un compliment. Ici tout le monde tire la tronche. ” Lui y comprit. mais lui ça compte pas, il est pas de New York. Pourtant, malgré tout, c’est un léger sourire qui lui tord la bouche. Peut-être que cette soirée est rattrapable après tout. “ Alors... Qu’est ce qui vous amène ici, Citlalli ?”
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(#) Re: Can you help me occupy my brain - Citlalli    Ven 21 Mai - 23:07

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Vue comme cela, on pourrait croire que la brune aux yeux bleu était quelqu’un de sociable. Elle était souriante, elle était chaleureuse, elle riait, entamé facilement la conversation. Et pourtant ca n’avait pas toujours était le cas, il y a longtemps, très longtemps, la brune était très réserver, parfois même qualifier de sauvage. A une période, elle s’est même enfermer dans le mutisme et s’est parfois laisser mourir, par peur, par bêtise parfois elle dirait même. Elle en avait fait du chemin depuis sa première mort, elle en avait vécu des vies depuis sa première vie.   Elle avait traverser plusieurs siècle, elle avait perdue des proches, elle en avait fait des deuils. Et si certains n’était pas totalement fait, si elle n’avait encore pas résolut tous ses problèmes, si elle n’avait pas accepter toutes ces pertes, pardonner toutes les erreurs qu’elle avait put faire, elle donnait plutôt bien le change. Elle semblait être sociable, elle semblait être sympa et surtout elle semblait heureuse et s’aimer. En réalité…Elle s’autorisait juste a vivre un peu.  Alors  elle était là, dans ce bar, et si elle n’était pas avec cette amie avec qui elle avait prévu initialement de passer la soirée, le revirement de situation semblait des plus interessante. Pendant que sa pote se sucer le museau avec son petit ami, Citlalli faisait la connaissance d’un homme, avec qui elle avait bien plus en commun qu’elle ne pouvait l’imaginer.

Elle avait sourit un peu plus a la réponse du brun a l’air ténébreux. Il semblait savoir comment répondre dans le bon sens a ce genre de questions sans passer pour un gros lourd ou un beau parleur. Un bon point pour lui, car la mexicaine avait horreur de ce genre de types.  Elle rit un peu quand il parla de mettre une raclé a l’enflure qu’il avait remballer. Elle aurait aimer voir cela. Citlalli n’était pas vraiment violente, elle ne savait même pas bien se battre, elle avait appris les bases grâce a son cher Dante, mais sans plus, cependant, elle aurait prit part a la raclé si elle avait put, juste pour faire fermer sa bouche a ce type qui semblait plus bête que le manche du ballai de ce bar.

« Je crois que je t’aurais volontiers aider… Un p’tit croche pied ni vue ni connue. » Dit elle en lui faisant un clin d’œil complice.

Oui, Citlalli l’avait tutoyer. Parce qu’elle avait tendance a très vite oublier de vovoyez les gens, même ceux qu’elle ne connaissait pas,  quand elle se sentait a l’aise. Et là, avec ce mec qui semblait pourtant ne pas être le genre de mec bien qu’on veux comme gendre, bien au contraire, elle se sentait a l’aise. Elle lui annonca son prénom, sans aucune honte même si on entendait très bien que c’était loin d’un prénom ordinaire et encore moins américain. Toute façon, chez Citla, tout semblait crier qu’elle n’était pas américaine.  Elle sourit un peu en entendant son prénom. Caïn. Elle connaissait la bible, comme tout le monde, bien qu’elle avait toujours refuser d’adopter cette religion. Elle avait mit la religion derrière elle depuis quelque siècle déjà, mais elle aimait en apprendre d’autre, alors évidement elle connaissait l’histoire d’où provenait ce prénom.

« J’aime beaucoup ce prénom. Il  te va bien. » Dit elle en buvant une gorgée une fois qu’il eu fait tinté son verre contre le sien. « C’est un compliment,  au cas où tu te demande. » Elle lui offrit un sourire. « D’ailleurs, j’espère que ca te gêne pas que j’te tutoie. Fait en de même si tu veux. »

Elle ne fut pas surprise qu’il lui fasse remarquer qu’elle n’était pas d’ici, et qu’elle ne ressemblait pas aux gens d’ici.  Un fin rire passa ses lèvres quand il lui assura que c’était un compliments, et encore plus quand elle l’entendit ajouter qu’ici, tout le monde faisait la tête. Elle avait remarquer cela aussi. Tous parlait du rêve américain, qu’ici tout réussissait aux gens et qu’on pouvait être heureux. Pourtant, la brune quand elle venait ici, elle voyait en effet que des gens qui faisait la tête, tous stressé, déprimé, préoccupé. Toujours presser par le temps, toujours au travail, toujours a courir après l’argent et un semblant de ce qu’ils pensait être le bonheur, afin d’être « heureux ». Elle secoua doucement la tête et sourit a l’homme.

« En effet, je suis pas américaine, et je ne le prend pas mal, au contraire, j’crois que j’aurais plutôt mal pris que tu me pense américaine. » Dit elle en riant doucement a nouveau. « Mais, j’suis joueuse, j’vais te laisser deviner d’où je viens. Tu as des indices, rien que dans mon prénom. »

Elle était joueuse, et en soit, le jeu n’était pas compliqué. Il allait surement très vite trouver.  L’Amérique Latine était comme marquer sur sa peau, sur ses courbe et même dans son sourire.  Elle eu besoin d’un moment pour répondre a la question du brun. Qu’es ce qui l’amener ici ?  Bonne question. Elle n’était pas vraiment sur en fait de ce qu’elle était venue faire a New York. Ni maintenant, ni même la première fois qu’elle avait mis les pieds dans cette ville qui, d’après la rumeur, ne dort jamais.   Elle but une gorgée et soupira doucement en reposant son verre pour regarder le brun a coté d’elle.

« J’avoue que je ne suis pas certaine de la réponse a te donner a cette question. » Elle soupira a nouveau « Je crois que j’ai juste besoin d’un peu d’air, loin du travail et de la routine. Et toi ? »Demanda t elle un peu curieuse



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