intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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 Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.

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Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler. Empty
(#) Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Sam 15 Mai - 23:57



   
this is who I am this is my story
Estéban Soler
" Dilige, et quod vis fac."
(Aime et fais ce que tu veux).
NOM ET PRÉNOM : Estéban Soler DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 12 Juillet 1985  Jardin (Colombie) DATE DE LA PREMIÈRE MORT : 15 novembre 2021 ÂGE : 35 ans HABITATION : bas fonds de Tijuana PROFESSION : homme de main du cartel de Tijuana STATUT CIVIL : célibataire ORIENTATION SEXUELLE : non définie DONS ET CAPACITÉS : sens surdéveloppés et clairvoyance FACTION : Vagabons. GROUPE : Si Vis Pacem Para Bellum AVATAR : Kit Harrington CRÉDITS : ecodesplaines.
Estéban soler était un individu que d'autres qualifieraient de taciturne, de lointain, d'insensible et d’asocial, en d'autre termes une personne étrange et potentiellement dangereuse. De cela Estéban Soler leur en était gré.

[Indépendance : ]
Peu de temps après son arrivé à Tijuana Estéban a fait de cette valeur son étoile polaire. Livré très tôt à lui même, il a d'abord appris en observant la population au sein de laquelle il évoluait : violente, sale, tortueuse, intéressée, fausse...Pour lui tout se passait comme si la ville elle même pervertissait l'esprit de tout ses habitants sans exception.
Aussi, comment se protéger de cette action corrosive, de cette imprégnation nocive ? Estéban Soler avait choisi d'être une île, une terre que rien ni personne ne pourrait jamais atteindre.

[Solitude : ]
De fait Estéban vivait sa vie en solitaire, n'ayant eu que très peut l'occasion de faire confiance, il provoquait chez les autres une sorte de méfiance prudente qui lui conférait une aura protectrice. Ils le voulaient insaisissable et bien soit, cela lui allait très bien, il serait donc cet être insaisissable. Il n'en gagnerait que plus de liberté et d'amplitude d'actions.

[Combativité : ]
Ne jamais se laisser submerger, ne jamais laisser tomber. Cela Estéban le devait à son père. Pendant sa petite enfance il lui répétait à l'envie une de ses phrases favorite dont il avait fini par faire une loi : « Chuter est autoriser, se relever est une obligation ! »
C'est de cet idiome qu'il tirait toute sa force, une sorte de mantra qui jamais ne l'abandonnait et qui le poussait en avant.

[Force : ]
Une règle qu'il avait appris au contact des hommes de main du cartel mexicain : Toujours taper plus fort et toujours aller plus loin, qu'importe la mort ! C'était un spectacle qui devait laisser le publique hagard, hébété, saisis de stupeur. Seule comptait l'image, seule comptait l'aura que l'on se forgeait. Un signe de faiblesse et tout était à reconstruire (si cela était encore possible).

[Analytique et clairvoyant : ]
A force d'observations et par nécessité de survie Estéban Soler avait poussé ses capacités d'analyse à leurs extrêmes.
Plus qu'une rigueur qu'il s'imposait au quotidien, il en avait fait une habitude, un réflexe, une seconde nature. Il ne pouvait considérer la moindre personne que son milieu lui imposait d'approcher que par le biais de ce filtre. Capable de percevoir le cheminement de leurs pensés il allait jusqu'à pré-sentir leurs réactions, la stratégie de leurs choix et, de là, la logique associée à la réflexion offraient par simple déduction le seul avenir possible.

[Honneur : ]
Ce n'est pas l'honneur dans le sens commun qui imprégnait la philosophie d'Estéban Soler... En effet, ayant frayé très tôt avec le cartel de Tijuana et étant devenu un des ses hommes de main, sa conception de la moralité était, comme on peut aisément l'imaginer, biaisée et pervertie. Dans cet environnement ou tout semblait fuyant, traitrise, coups bas et complots il s'imposait une ligne de conduite à laquelle il estimait ne jamais devoir déroger. Là se trouvait son honneur : remplir sa fonction tenir son rôle sans jamais que sa réputation ou son professionnalisme ne puisse être entaché au sein du Cartel mexicain. Tous devaient savoir que le petit colombien devenu homme de main du cartel de Tijuana était un socle, une valeur sûre, un pilier dont on ne pouvait douter.

[Vertu : ]
Estéban Soler n'était pas à proprement parler "un homme vertueux". Il était plus proche de l'Enfer que du Paradis, et pour cause. La vie l'avait quasi guidé dans ce sens, elle lui avait fournie tout ce qu'il fallait pour qu'il soit forgé dans la douleur et la haine. La haine de l'existence, la haine de l'humain, la haine de lui-même. Cependant il exécrait ces hordes grouillantes qui constituaient la grande majorité de ce système quasi féodal qu'ils appelaient "Cartel". La seule idée de pouvoir tirer profit de son statu sous prétexte de supériorité de classe ou hiérarchique le révulsait et l'indignait au plus haut point. Ce n'était pas un "bon samaritain", il n'allait pas aider une vieille personne ou un aveugle à traverser la rue, mais...qu'un de ces cancrelats répugnant se permette d'avoir ce type de comportement sous ses yeux et alors une nouvelle place serait à pourvoir le lendemain. Après tout, tout et tous disparaissaient tellement vite à Tijuana!

[Élégance : ]
C'est dans l'exercice de sa fonction qu'il excellait, et plus particulièrement lorsqu'il tuait pour le compte du cartel. Estéban, dans ces cas là ne cherchait pas à créer un évènement remarquable, il ne cherchait pas à produire un effet spectaculaire. Il faisait disparaitre silencieusement, discrètement et surtout, autant qu'il le pouvait, il laissait l'intégrité de leur dignité à ses victimes. Sans pour autant nourrir une quelconque culpabilité (ici bas personne n'était innocent à ses yeux) il n'en retirait aucun plaisir sadique, aucune impression de supériorité malsaine ou de puissance puérile. IL était seulement là pour mettre un point final à une existence et il le faisait en toute simplicité.

[Noblesse : ]
Autant qu'il pouvait se le permettre Estéban Soler Avait ce petit quelque chose. Une sorte de bienveillance ou de tolérance envers les pauvres âmes qu'il croisait. Non pas qu'il s'astreignait à une charité ecclésiastique, mais il y avait ces bruits qui couraient parfois dans les rues et ruelles de la fange dans laquelle il évoluait. Des bruits sur tel individu ou telle personne qui aurait dû mourir, ou qui aurait dû tout perdre et qui miraculeusement n'avait plus de dettes ou d'obligations. Encore une fois Il exécrait ces hordes grouillantes et s'il pouvait leur retirer une proie de la gueule tout en soulageant un être qu'il estimait moins coupable...et bien soit, Il n'en dormirait que mieux.

[Guerre et paix : ]
Contrairement à ses "compagnons d'armes" Estéban Soler ne se pavanais pas en pleine lumière, il n'avait pas fait du premier rade venue son "QG", il ne s'affichait pas entouré de ses "boys" ni de ces filles qui savaient afficher et apprêter un physique avenant et alléchant. Estéban gravitait dans l'ombre, en périphérie, loin de tout ce qui brillait ou scintillait trop à son gout. Il avait toujours préféré la distance et la paix de l'observation silencieuse. Pourtant, en de rares occasions il avait été contraint de plonger dans la lumière, de s'exposer à la vue de tous. De prouver par l'exemple qu'aucun individu arborant les rues de Tijuana ne pouvait remettre en question sa loyauté et ses compétences. Alors, lorsqu'il était rendu à cette dernière extrémité, lorsque ce choix n'en était plus un et que cela lui était imposé, il se montrait d'une violence sans pareille. Il se jetait dans l'affrontement avec une telle débauche de brutalité que tous se souvenaient pourquoi ils se tenaient à distance de lui et surtout pourquoi ils continueraient à le faire.

PSEUDO : Peter PRÉNOM : Pierrick ÂGE : 42 ans. OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? C'est ma nana (Lethal Weapon 3). UN AVIS, UNE SUGGESTION ? Let's have fun. LE MOT DE LA FIN Tout sera dévoilé.
30 Juin 2021 Quand il n'y a plus de place en enfer, les morts reviennent sur Terre : Estéban Soler dérivait paresseusement dans la douceur feutré du néant. Il se délectait des privation sensorielles que lui offrait l'Au-delà, il pénétrait avec volupté dans l'obscurité silencieuse et salvatrice de l’oublie.
Soudain des images stroboscopiques et violentes vinrent l'assaillir. Des flashs de lumière, des échos de voix, des couleurs crues venaient perturber sa tranquillité. Des sons brutaux, des sensations incohérentes et anarchiques déferlaient sur lui.

Saccades agressives de paroles distordues, brouhaha croissant de sons cacophoniques. La conscience même d'Estéban Soler était dérangée, réveillée de force, frappée avec violence par ces électrochocs sonores et visuels dont il ne saisissait pas le sens.
Quelque chose semblait vouloir lui interdire le repos au fond duquel il s'était lové, quelque chose prétendait le soustraire à la douceur de l'oblivion.

Incapable d'éloigner ces démons venus le torturer, de faire taire ces harpies qui le le harcelaient, il essayait de se débattre, de fuir.
Il voulait se cacher, s'enfoncer au plus profond de ce néant qui lui servait d'écrin et de refuge.
Loin de le laisser en paix, sa perception s'affinait, s'aiguisait même. Il lui semblait que les bribes d'images et de sons se précisaient, devenaient irrémédiablement intelligibles.
Elles gagnaient en cohérence, imposant à son esprit des scènes, des paysages, des silhouettes qu'il ne reconnaissait pas. On lui implantait de force les souvenirs d'autres vies, les sensations d'autres individus ayant vécus en d'autres temps.

Étais-ce cela la mort, une brutale corrosion de l'individualité par un vortex qui vous noyait dans une infinité d'autres consciences, vous dilacérant au milieu d'autres existences. Étais-ce là le processus naturel, la concrétisation finale menant à la destruction définitive de l'esprit ? ...

Malgré cela sa conscience ne semblait pas se déliter. Au contraire il lui semblait que son intégrité mental lui était lentement restituée. Pire, il ressentait à nouveau.
Cela était diffus mais impossible à ignorer. La douleur dans ses membres montait crescendo, la sensation de froid commençait à le serrer dans son étau.
Soudain, un millier de volts se mirent à le traverser de part en part. Il eu l'impression que tout son corps n'était qu'une plaie béante hurlant de terreur face à l’indicible, face à l’incompréhensible.

Impossible! Je suis tombé au delà de la vie, au delà de l'existence, au delà de la matière. Je devrais me dissoudre et disparaître, Je devrais m'étirer à l’extrême jusquà me disloquer intégralement dans le vide. Cela ne se peut!

Roulé en boule Estéban Soler gisait sur les détritus qui formaient son lit de mort.
Difficilement, avec une lenteur infinie, ses paupières se soulevèrent. Des aiguilles de lumière lui vrillèrent les yeux. Ses tympans, au débuts comme enrobés de coton, se mirent à battre douloureusement lui arrachant des cris inarticulés. C'était comme s'ils étaient en feu, comme si un millier de soldats lui martelaient l'audition au rythme d'une marche infernale.

Il reprenait conscience.

Il était mort, il l'avait senti, c'était une certitude. Il avait suffisamment commis d'homicides pour savoir sans l'ombre d'un doute que cette blessure l'avait laissé exsangue, sans vie. Comment cela pouvait-il être ?
Ahurie, éreinté, désorienté, Estéban Soler se relevait au milieux des immondices qui avaient été à la fois les témoins de son trépas et de sa résurrection.
Tel un Golem s'extirpant lourdement de la glaise qui l'avait vue naître, il titubait, lutant pour son équilibre.
Il parcouru d'un regard circulaire cet endroit qui lui avait servit de tombeau et ne pus réprimer un rire sarcastique remplie d'ironie.
Trempé de la tête aux pieds, tremblant à la fois de froid et d'épuisement sa nuque bascula en arrière pour lui permettre de s'esclaffer de plus belle. Ses épaules avachies ne paraissaient plus être capables de soutenir ses bras devenus trop lourds. Ces derniers s'allongeaient jusqu'à pratiquement toucher le sol en pendant le long d'un tronc recroquevillé, affaissé.
Ses jambes écartées, mal assurées, étaient parcourues de soubresauts et n'arrivaient qu'à grand peine à le maintenir debout.

Dans la luminosité crue des lampadaire de la ville il faisait penser à un horrible jouet brisé, à un inquiétant pantin empêtré dans sa filerie, à une sordide marionnette dégingandée et désarticulée.
Seule, sous la pluie, au milieu d'une décharge, écorché et à vif cet ange déchue  crachait un rire sans joie vers le ciel nocturne.

Rompu, à bout de nerf, c'est là qu'il la vit : silhouette impassible sur laquelle pluie et  lumière jouaient à se mélanger pour lui conférer une iridescence mystique.
Enveloppée dans son aura fantastique, cette apparition divine le fixait, le toisait, l'examinait. Elle le jaugeait silencieusement.

Instant figé...

Ils étaient tous deux hors du temps. Cette scène pris à ses yeux les dimensions d'une parfaite révélation : elle sur les hauteurs de cette fosse, nimbée de lumière et lui monstre damné rampant au fond des ténèbres nauséabonds qui accueillait tout ce qui était usé, vidé, et en fin de vie à Tijuana.
Il percevait que quelque chose les avait réunis. Quelque chose dont il ne savait rien mais dont il avait éprouvé la force. Quelque chose d’impérieux. Quelque chose qui avait réussi à l'arraché aux limbes. Quelque chose qu'elle connaissait, un appel dont il ne pouvait se détourner.

C'en était trop pour lui. Aux portes de la folie Estéban Soler vacilla, ses forces l'abandonnèrent et, brutalement, sous le regard de cette femme qui ne cillait pas, il s'écroula, s'agenouilla.
Sa bouche s'ouvrit, puis après un long moment, il posa une unique question en un râle sortie d'outre tombe : Pourquoi ?

Comment aurait-il pu savoir ? Comment aurait-il pu concevoir un seul instant la présence de ces êtres venus du fond des âges, de ces demi-dieux ayant transcendé le temps ? Comment aurait-il pu imaginer l'existence d'une telle organisation : des factions, des ramifications, œuvrant dans l'ombre, depuis l'aube de l'humanité ?.
Il était face à un abîme vertigineux qu'il ne pouvait appréhender et dont il commençait à peine à effleurer la surface.

29 Juin 2021 Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme : Estéban Soler est allongé, la pluie ruisselle sur son visage, les lumières de la ville lointaine forment des taches floues qui envahissent peu à peu son champ visuel, les sons ne lui parviennent plus que difficilement comme à travers du coton, comme à travers le rêve de quelqu'un d'autre...Sa main droite est restée étrangement accrochée, comme collée à son cou, le vent joue dans ses cheveux trempés et il sourit là seul dans cette décharge.
C'est très bien...C'est très bien comme ça... se dit-il, pas de pleurs, pas de cris pas de peur, pas de colère. Juste cette brulure intense qui lui lacère le cou et qui déjà s'étiole, juste ce gout de fer qui lui envahit la bouche et qui déjà se perd dans le fond de sa gorge, juste la privation graduelle de ses sens (comme un effacement progressif de son être, de son existence).
C'est parfait! Constate t-il, un dénouement logique quasi inéluctable presque orchestré par une sorte de suite tout aussi logique d'événements et de choix.
Lentement la brume envahit son cerveau jusqu'à rendre difficile et incohérent le fil de ses pensés, de sa conscience même.
Nous somme le 15 novembre 2021 et Estéban Soler s'échappe, lentement du monde. Nous sommes le 15 novembre 2021 et Estéban Soler ne réussit pas à empêcher son sang de ruisseler le long de son cou et de s'échapper en borborygmes grenat de sa bouche.
Nous sommes le 15 novembre 2021 et Estéban Soler glisse lentement dans un néant apaisant et accueillant.

[20 Aout 2001] Le Diable lui même était un ange au commencement : Cela faisait une heure qu'Estéban Soler était affalé, nu dans le fauteuil voltaire de sa chambre. Le tissu lui irritait la peau alors que son regard restait fixé sur les draps emmêlés du lit. Quelque part un robinet fuyant marquait implacablement l'écoulement du temps dans cette chaleur pesante. Immobile, comme hypnotisé il repensait au parcours absurde qui l'avait conduit, lui, à scruter les méandres d'un lit en plein milieu de la nuit.
Il faisait chaud, trop chaud pour se sentir à l'aise dans ce fauteuil qui l'avalait, qui l'étouffait. La rue charriait sont brouhaha nocturne par les fenêtres ouvertes. La chaleur moite de la nuit lui collait à la peau et l'odeur de sa sueur, par trop présente commençait à l’écœurer. Tout à coup son ouïe fut attirée par un bruit plus discret, un grattement quasi inaudible comparé aux klaxons et au discutions grasses qui se faisaient entendre en contrebas.
Sa tête se tourna lentement vers la porte de la chambre. D'un geste absent presque désincarné il éteignit sa cigarette contre l'accoudoir du fauteuil comme pour imposer la marque de son passage au mobilier. Il posa la bouteille de bière fraîche qu'il sirotait sur le plancher et s'extirpa lentement de ce tissu qui semblait vouloir le retenir.
Arrivé près de la porte il tendit l'oreille, la colla à son bois et attendit. Un brussement suivit d'un murmure se firent entendre Estéban ? Estéban ? Todo està bien ?(...)
Il se détourna, s'adossa à la porte, son corps nu se crispant à la sensation plus froide de cette surface. Lentement il glissa pour s’asseoir sur ses talon et, en contemplant les dessins que forment les veines de bois du plancher répondit dans un soupir : Si, claro ! Todo està bien !(...)
Silence (...), la présence de l'autre côté s'éloigna discrètement tandis que, dans le calme feutré de la chambre Estéban Soler fini de s'affaler sur le sol, un bras tendu en appuie sur son genou replié.
Demain tout sera différent, demain il sera officiellement reconnu, demain les gamins des bas-fonds sauront en le croisant : Estéban Soler à « trempé la main », Estéban Soler a traverser, il a posé un acte irréversible qui l'a marqué de manière indélébile aux yeux de tous. Estéban Soler a tué.  

[6 février 1998] Si tu plonges trop longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi  : Les yeux brûlants, les joues ruisselantes de larmes acides Estéban Soler se tenait debout, droit comme un « i ».
Un soleil plombant écrasait la moindre particule alentour et lui, il serrait dans sa main une poignée de granules de terre aride. Dans l'autre pendait une rose blanche fraîchement taillée pour « l'occasion »...
Ses mâchoires étaient serrées, crispées jusqu'à atteindre un paroxysme de douleur. Ce matin là il était accompagné de ce qui lui servait de beau-père, L'homme qui avait rendu possible leur exile au Mexique et leur arrivé dans cette fange appelée Tijuana. C'est lui qui avait pris en charge l'avenir d'Estéban et de sa mère, lui qui leur avait offert asile, lui qui les avait accueillis.
C'était aussi, il l'avait appris plus tard, une ordure sans nom qui se repaissait avec délectation de la faiblesse et de la détresse qu'il percevait chez son prochain. Un virtuose sachant jouer sur les angoisses et les peurs de son entourage. Un opportuniste malsain qui symbolisait, pour Estéban la quintessence de l'humanité. Une sorte de prédateur-charognard près à tout pour s'adapter.
Loin de les secourir il avait rapidement jeté son dévolue sur Estrella, la mère d'Estéban.
Aidé par la nature humaine et s'en servant comme d'une laisse, il avait su trouver les failles, il les avait exploité, les avait fait jouer jusqu'à leurs dernières limites, jusqu'à atteindre cet équilibre précis entre fragilité extrême et rupture définitive de la conscience. Il avait réussi à la rendre soumise et docile à la moindre de ses volontés. Il l'avait asservie.
Avec horreur et désarroi Estéban avait vue cette figure divine et maternelle devenir en quelque années seulement une loque, une esclave malmenée par de trop nombreux clients imposés, une junky devenue accro à la moindre substance lui offrant un refuge, une échappatoire, l'oubli d'elle-même.
Tout cela pour acheter la protection de son enfant. C'est jusque là qu'allait sa dignité et son amour de mère : la destruction de sa propre personne, l’annihilation totale de sa fierté et de son intégrité. Elle n'avait pas vendu son âme, elle s'en était tout simplement délestée, l'abandonnant et la jetant à la charogne.
Pour moi, pour moi et seulement pour moi...
Ce jour là une tempête effrayante et destructrice avait assailli Estéban, un cataclysme irrépressible jetant à bas les restes des dernières barrières, des derniers interdits que sa naïveté avait tenté de protéger. Sa psyché avait irrémédiablement basculée : « Cette vie n'était qu'une mauvaise blague, une farce sinistre et cruelle. Rien ne durait, rien n'était vrai. On vous arrachait tout avant de vous laisser pourrir dans une ignominieuse déchéance ».
Plus rien ni personne n'avait d'importance, plus rien ni personne n'avait de consistance. Estéban Soler se libérait de toute entraves, il s'affranchissait de tout jugement. Il sera le tout de sa propre loi, le reste du monde ne fera que péricliter aux confins de son univers.
Ce matin là, accompagné de son tortionnaire, Estéban Soler enterrait sa vie, son enfance et sa mère.

[25 octobre 1993] Tu mangeras ton pain à la sueur de ton front jusqu'à ce que tu retournes dans la terre d'où tu as été tiré : Une tempête faisait rage dehors. La pluie formait un véritable rideau d'une densité peu commune. La lueur du jour elle même semblait fuir et s'effacer devant la colère des cieux.
Associé aux trombes d'eau, le vent en s'engouffrant dans les rues de Médéline, rabattait en véritables nappes la moindre précipitation. Ce vent hurlait, vociférait aux oreilles d'Estéban. Il était comme hypnotisé, interdit devant cette débauche de violence.
Observateur coi à la fenêtre, il s'abîmait, sans comprendre, dans la contemplation des avenues qui se transformaient sous ses yeux en de monstrueuses coulés brunâtres. Léviathan colossal défaisant lascivement ses innombrables anneaux, exposant paresseusement sa puissance de destruction sous le regard des Hommes. Le vent et la pluie agissait de concert pour tout effacer, tout emporter, pour tout raser.

Pourquoi fallait-il toujours un déchaînement aussi extraordinaire pour tout assainir ? Pourquoi fallait-il toujours une violence extrême pour tout nettoyer ? pourquoi fallait-il toujours que d'autres en subissent les conséquences ? Pourquoi fallait-il toujours qu'il y ai des victimes collatérales, prises entre deux feux, broyées entre le marteau et l'enclume, impuissantes devant des événements dont l'ampleur et l'intensité les dépassaient totalement...Fichus de pailles livrés en pâtures aux éléments, malmenés, déchirés et dispersés.

Mais déjà Estéban ne regardait plus vraiment ce spectacle diluvien, un autre cataclysme avait frappé et, comme une réplique de ce dernier, le déluge qui sévissait au dehors cristallisait dans sa conscience tout ce qu'il percevait en cet instant : Estrella, sa mère la bouche béante, hurlait comme le vent là dehors, son visage d'habitude si serein et si fière était comme affaissé, raviné par les torrents de larmes qui s'écoulaient de son âme, ses mains crispées à l’extrême étaient fermés en deux masses concentrant en une densité infinie toute la douleur que le reste de son corps n'avait pu expulser .
Des « amis » de Diego, de son père, étaient arrivés en trombes. Véritables tornades ils fouillaient sans ménagement la plus petite parcelle de leur appartement, jetant tout ce qui leur tombait sous la main dans les sacs disposés au sol : vêtements, manteau, chaussures, nourriture... et, au milieu de ce cyclone il y avait lui et sa mère.
Lui resté debout silencieux, immobile comme effrayé à la seule idée d'amorcer le moindre mouvement, comme terrorisé à la plus petite possibilité que ses lèvres émettent le moindre son.
La peur, ce démon ancestrale et primitif le submergeait.  Son ouï lui faisait défaut, ses membres engourdis ne répondaient plus à aucun stimuli, son esprit avait littéralement décroché. La peur ! C'était elle qui le guettait avec toute sa noirceur, avec toute sa malveillance, avec toute son obscénité. Elle était un gouffre insondable et gigantesque, une porte s'ouvrant tout droit sur l'enfer près à l'avaler et à l'anéantir.
Sa mère, elle, s'était agenouillée...écroulée serait plus adapté. Telle une "piéta" elle pleurait à s'en briser la voix, elle hurlait à s'en faire saigner les yeux.
Originaire de Denver (États Unis d'Amérique) cette femme avait tout affronté. Issue d'une famille touchée de plein fouet par la misère économique, elle s'était révoltée contre les règles archaïques d'une religion enjôleuse.
Elle avait lutté contre un intégrisme prônant la rédemption par l'abnégation et la contrition. Elle s'était érigée contre un avenir qui lui imposerait oublie de soi et soumission.
En désespoir de cause, et par instinct de survie, elle s'était amputée de sa propre famille.
Elle avait préféré fuir, tout détruire, tout quitter pour chercher sa terre promise : la Colombie.
Là, armée de sa nouvelle identité, elle espérait se trouver, se construire en toute liberté. Là elle avait connu Diego Soler, l'homme de sa vie. Là elle l'avait aimé, sincèrement, entièrement et avait donné naissance à leur enfant : Estéban, concrétisation d'un l'espoir radieux.
Cette femme qui avait eu le courage de sauter dans le vide, de tout risquer, d'affronter l'inconnu, de tenir bon contre vents et marrées venait de sombrer corps et âme, submergé, noyée sous un déluge de tristesse.


Le vent balayait tout sur son passage et la pluie combinée à son action irrépressible, engloutissait définitivement la moindre chose qui tombait dans le terrible bouillonnement qu'elle engendrait...

Il fallait partir... L'âge d'or était maintenant révolu. Le Père était mort et l'Eden leur était désormais à jamais interdit. Il fallait partir.



Dernière édition par Esteban Soler le Dim 27 Juin - 16:13, édité 57 fois
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Sam 15 Mai - 23:59

Preums !!!


kisskiss coeur coeur hearteyes hearteyes wow bed blueheart flotte teary marry marry kiss kiss kiss

Bienvenue beau gosse :) Je te réserve un rp d'office amore mio :)
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 0:08

Bienvenue a toi parmi nous hâte de voir ta fiche sourcil
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 2:20

Bienvenue sur le forum, bon courage pour la rédaction !
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 10:35

bienvenue sur le foruuum cutie & bon courage pour la rédaction de ta fiiiche super
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Caleb Faust
Caleb Faust
MORTAL — forget me not
pseudo : valkyrja (julia).
autres comptes : Astra Ackerman, Rosalyn blackthorn, Valentina Grimes, Jin Xialing.
crédits : ichi, valkyrja.
messages : 281
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 11:05

que de mystères dans cette fiche hmhm
bienvenue sur le forum keur Kit, olala, cette bouille wow bon courage pour la rédaction de ta fiche et si tu as des questions, n'hésite pas tinyheart
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 11:47

Bienvenue parmi nous !
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 12:49

Bienvenue parmis nous !
Amuse toi bien avec ce perso et dans cette constélation ^^
Bonne rédaction de ta fiche
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Eirik Aaronson
Eirik Aaronson
IMMORTAL — forever is not enough
pseudo : laura.
autres comptes : alma, ioan.
crédits : lux, drake,velarya.
messages : 215
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 14:59

Bienvenue parmi nous brille
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Maïa Moretti
Maïa Moretti
IMMORTAL — forever is not enough
pseudo : chewbi.
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 16:24

Bienvenue parmi nous, ce suspense est trop insoutenable, on veut la suite excited kisskiss . Courage pour la rédaction cutie .
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 18:14

Bienvenue par ici ! Hâte de voir ce que tu vas faire avec ce monsieur. brille Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 18:51

Bienvenue :)
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 16 Mai - 22:17

Bienvenue sur le forum ! coeur j'ai hâte d'en lire plus, trop de mystères encore cutie gros coup de coeur pour la citation de ta sign qui promet super bon courage pour la rédaction hi
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Mar 18 Mai - 11:48

Bienvenue sur le forum cutie je suis curieuse d'en apprendre plus sur ton personnage !  sourire bon courage pour la rédaction de ta fiche en tout cas super
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Dim 23 Mai - 17:51

coucou @Esteban Soler coeur
est-ce que tu as besoin d'encore un peu de temps pour terminer ta fiche ? tinyheart
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Lun 24 Mai - 20:25

mais pourquoi est-ce siiiii vide ? larmes larmes larmes
on veut tellement en savoir plus et t'aimer avec douceur pleading dans tous les cas sois bla bienvenue ici brille
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Lun 24 Mai - 22:19

Bonjour à tous !
Merci pour l'accueil,
Oui je veux bien un petit délai si possible, une semaine de plus c'est possible ? :)
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Mar 25 Mai - 9:55

pas de problème, tu as jusqu'au 1 juin coeur
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Mar 1 Juin - 23:14

Rebonjour,

Comme vous pouvez le voir, j'avance lentement sur ma fiche (petit bout a été malade...), du coup est-ce possible d'avoir un délai d'une semaine supplémentaire? Promis, je me dépêche ! :)
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Mer 2 Juin - 21:13

@Esteban Soler pas de souci, tu as jusqu'au 9 coeur
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Jeu 3 Juin - 23:00

Ok. Merci.
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Jeu 10 Juin - 16:42

coucou par ici @Esteban Soler tinyheart
ton délai est terminé, as-tu besoin d'un peu plus de temps pour finir ?
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Jeu 10 Juin - 22:16

Encore désolé.... J'ai quasiment terminé ma fiche mais le petit bout a des nuits agitées en ce moment, j'avance lentement Wink

Je me dépêche ! Je devrais finir d'ici lundi !
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Jeu 10 Juin - 22:31

pas de souci, c'est noté bril
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(#) Re: Tout est permis puisque tout est faux. - Esteban Soler.    Mar 15 Juin - 1:10

Coucou. j'ai "pondu" la dernière date importante de mon personnage. Si cela vous va je fais quelque chose de plus succins pour les anecdotes et je soumettrais ma fiche. fear
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