intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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 i never said I was a role model. • Javier

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(#) i never said I was a role model. • Javier    Dim 7 Nov - 18:48



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NOM ET PRÉNOM : Javier Aguilar, des papiers officiels, des habitudes conciliées sur son passeport et sa carte d’identité. Un moule pour la société où rien ne l’attend. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 25 Octobre 1975 à dans une caravane de la banlieue de Talca, au Chili. Deux gros bébés dans la tôle froissée par les déplacements incessants.  ÂGE : 46 ans. HABITATION : New-York. PROFESSION : Ex-policier, le badge rendu avec les coups renvoyés au gré des années. Pas encore pourri par le système, il instaure la loi de ceux qui payent et négocient ses mains meurtrières. Mercenaire, main armée du Conclave depuis dix ans, il essuie le sang qu’il verse pour de l’argent. STATUT CIVIL : Ça l’étonne lui-même, parfois. Mais il est en couple depuis six mois, avec son partenaire de chasse depuis dix ans, son traqueur pendant les missions qui s’assure que son comportement de chien fou ne lui explose pas le cou. Kaz l’a sauvé plus d’une fois, et en l’aimant, c’est un peu de lui-même aussi qu’il le protège. ORIENTATION SEXUELLE : Sans étiquette, une énorme, une incroyable flemme de se définir pour plaire à tout un panel de bien-pensants. Il n’a pas envie de réfléchir aux normes, ça l’emmerde. Alors il se contentera de dire qu’il se donne corps et âme pour une seule personne dés lors qu’il parvient à tomber amoureux. Ce qui n’est pas arrivé très souvent, jusqu’à récemment. ORGANISATION: Conclave écarlate, sans vergogne, ni honneur. Un échange de bons procédés pour tenter de se relever. GROUPE : Carpe Diem AVATAR : Pedro Pascal CRÉDITS : kaotika. (av)
[001]  C’est en pleine rue qu’il l’a entendu pour la première fois, le son d’un saxophone à l’angle d’une boucherie et d’un kiosque à journaux. Un grand type maigre qui soufflait sa musique à pleins poumons comme si sa vie en dépendait. Javier n’avait pas plus de cinq ou six ans, la main serrée par une nurse de l’orphelinat. Elle lui a intimé d’avancer, quand lui a cessé pour écouter, longtemps, trop longtemps, jusqu’à ce que le temps lui-même s’arrête. Une transcendance dans les notes de cuivre. Quarante ans plus tard, il a encore son vieux modèle acheté auprès d’un brocanteur de Soho, un alto poussiéreux qu’il considère comme un ami fidèle. Il en joue, encore parfois, en dépit des couacs et des cours de solfèges oubliés. [002] Elle était tout. Elle était tout, bien plus que lui pouvait l’être à ses yeux. Malia s’était trouvée une autre forme de famille dans le confort illusoire des Adorateurs, loin des idéaux de son jumeau, loin de la violence de la ville qu’il s’évertuait de combattre. En partie pour elle, pour lui offrir un monde meilleur, plus radieux que ce qu’ils avaient connu en venant au monde. Une communication difficile dans les derniers mois. Des œillères portées en étendard jusqu’au bout par le frère et la soeur, jusqu’au regret ultime. Attirée par la lumière, la force de Javier s’est jetée dans le vide en essayant de s’envoler, sans espoir de retour. S’il frappe aujourd’hui, ce n’est plus avec la même volonté d’antan. Protéger ne signifie plus rien. Pas quand il n’y a plus personne. [003] De ses quatre ans jusqu’à sa majorité, Javier a connu la vie en orphelinat, en foyer éducatif, et trois familles d’accueil différentes. Toujours séparé de sa sœur dés lors qu’un simulacre de parents ont bien voulu s’occuper d’eux contre un peu d’argent : mais on en veut qu’un par contre, sinon c’est trop de boulot. Information avérée pour les deux premières, là où la troisième n’a agi que par bonté d’âme. Un couple avec déjà deux autres enfants à charge, petit clan qu’il a rejoint à ses quatorze ans, après une énième fugue de son foyer transitoire. Une parenthèse d’amour vrai, dans une chaleur que Javier a presque fuit, de peur de la briser. Mais dont il se souvient encore aujourd’hui, au point de donner des nouvelles encore, de temps à autre. [004] Il a grandi dans l’imagerie populaire du film de cowboys, des western en noir et blanc, et des héros modernes sur les pages de papier glacé achetées pour une poignée de dollars avec des chewing-gums. Des héros qu’il trouvait ridicules au fur et à mesure qu’il se confrontait à la réalité.  Gamin pavetant les rues de ses envies d’indépendance, il a travaillé tôt, séchant l’école un nombre incalculable de fois. Des journaux livrés, des services rendus à droite ou à gauche, des petits trafics vite démantelés par les autorités de ses quartiers. C’est presque par envie de provocation qu’il a voulu devenir flic, parce que l’uniforme avait plus de gueule que le slip de Superman ou le latex des X-Men. Et qu’au quotidien, c’était plus simple d’étancher sa soif de justice avec des protocoles d’arrestations que de payer des millions en gadgets pour attraper des criminels. Son super pouvoir à lui, c’était ressortir major de promo à l’école de police quand ses maîtres de primaire ne misaient pas un centime sur son avenir. [005]  Dix ans qu’il ne supporte plus les hauteurs. Un haut le coeur qui le pousse à s’assoir au plus près du tangible quand il se retrouve trop près du ciel. Il déteste les immeubles, la montagne, les horizons trop grands. Un défaut qu’il tente de gommer lors de séances de psy imposées, pour ne pas perdre le contrôle durant ses missions. Paraît que ce serait lié à la mort de Malia. Paraît qu’il ne veut pas en parler non plus, et que c’est que des conneries, et que de toutes manières il n’a pas le temps de soigner cette phobie. [006] Un art de cogner, sans reflexion, sans expression autre que sa puissance brute, canalisée dans ses poings. Penser après l’impact, après les risques pris et les blessures, et constater que ses méthodes brutales marchent à tout les coups. Presque un jeu de rendre dingues tout ceux qui essaient de lui intimer plus de prudence. Kaz s’y casse les dents, et ça lui plaît presque un peu. Il n’est pas fou, juste inconséquent. On tente pourtant de l’enrayer, avec succès, dans la pratique de techniques martiales d’auto-défense, et dans une utilisation raisonnée de son besoin de violence. C’est ce manque de limite qui lui a valu trop de blâmes, de son enfance jusqu’à aujourd’hui. Un peu d’admiration aussi. Ce n’est pas pour rien que l’homme est considéré comme l’élément le plus dangereux dans les traques d’immortels : à considérer sa vie trop légèrement, son comportement s’approche de ceux qui l’ont déjà perdu. [007] Presque paradoxal dans le personnage, mais Javier peut se vanter d’être un fin cordon bleu. Une passion instiguée à l’adolescence, qui ne l’a pas quitté depuis. C’est instinctivement qu’il tient une pratique rigoureuse, méticuleuse, dans l’élaboration de recettes techniques, de gastronomies des quatre coins du monde. Une pile de carnets plein de notes, soigneusement élaborés, qui le suivent dans ses moindres déménagements, d’un studio à un autre, d’une cuisine à une autre. Quand on le sait aussi bourrin et désordonné au quotidien, c’est un détail qui dénote chez lui. Mais qui ravit les papilles pour ceux qui ont la chance d’y goûter. [008] Ce n’est pas un sociable, pas vraiment un souriant, pas ce genre de type à prendre des gants. Les paroles sont franches et tranchantes, maladroites et impatientes. Les rapports sociaux l’ennuient, le fatiguent, il n’a pas plus l’âge d’obéir sans un bon coup de bâton, ou des arguments de poids. Alors quand on lui demande de faire preuve de délicatesse, il s’y brûle les doigts. C’est pas son truc, même s’il apprend, petit à petit, à se comporter autrement que comme un vieil ours qui parle fort. Sortir en cachette avec un père de deux adolescents, ça fait un peu parti de sa formation. [009] Il n’a pratiquement rien connu du Chili, et ne ressent aucune fierté patriote, contrairement à sa sœur qui y est retournée y vivre une partie de sa vie. Il se sent déconnecté de ses propres racines, surtout quand on lui pose des questions à ce sujet. Pas qu’il n’a pas voulu s’y intéresser, simplement qu’il s’y sent étranger, et presque illégitime compte tenu les propos de son père à ce sujet. Pour lui, il n’y eut que les quartiers latinos de New-York auxquels s’identifier un tant soit peu, et apprendre l’espagnol dés son plus jeune âge. Mais rien de plus. [010] Toujours le plus grand sur les photos, le géant pas forcément gentil qu’on utilise dans les cours d’école pour se protéger du soleil ou rassembler les plus petits. Une condition qu’il renvoie aujourd’hui avec un grognement, même s’il vit très bien son mètre quatre-vingt dix. Pratique pour impressionner, moins pour les plafonniers et autres encadrures de portes.

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(#) Re: i never said I was a role model. • Javier    Dim 7 Nov - 18:49


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(#) Re: i never said I was a role model. • Javier    Mer 10 Nov - 10:06

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