intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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 Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.

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(#) Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Mer 27 Oct - 21:13



this is who I am this is my story
Javier Aguilar
I swore I’d never stray from you
NOM ET PRÉNOM : Javier Aguilar, des papiers officiels, des habitudes conciliées sur son passeport et sa carte d’identité. Un moule pour la société où rien ne l’attend. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 25 Octobre 1975 à dans une caravane de la banlieue de Talca, au Chili. Deux gros bébés dans la tôle froissée par les déplacements incessants.  ÂGE : 46 ans, pas beaucoup de cheveux blancs, et même pas toutes ses dents, certaines sont plombées et une molaire est cassée. HABITATION : New-York, sans y être né, la ville l'a adopté. Il la parcoure en long et en large depuis qu'il est en âge de s'enfuir. PROFESSION : Ex-policier, le badge rendu avec les coups renvoyés au gré des années. Pas encore pourri par le système à l'époque, il instaure aujourd'hui pourtant la loi de ceux qui payent et négocient ses mains meurtrières. Mercenaire, main armée du Conclave depuis dix ans, il essuie le sang qu’il verse pour de l’argent. STATUT CIVIL : Ça l’étonne lui-même, parfois. Mais il est en couple depuis six mois, avec son partenaire de chasse depuis dix ans, son traqueur pendant les missions qui s’assure que son comportement de chien fou ne lui explose pas le cou. Kaz l’a sauvé plus d’une fois, et en l’aimant, c’est un peu de lui-même aussi qu’il le protège. ORIENTATION SEXUELLE : Sans étiquette, une énorme, une incroyable flemme de se définir pour plaire à tout un panel de bien-pensants. Il n’a pas envie de réfléchir aux normes, ça l’emmerde. Alors il se contentera de dire qu’il se donne corps et âme pour une seule personne dés lors qu’il parvient à tomber amoureux. Ce qui n’est pas arrivé très souvent, jusqu’à récemment. ORGANISATION: Conclave écarlate, sans vergogne, ni honneur. Un échange de bons procédés pour tenter de se relever. GROUPE : Carpe Diem, se jeter d'abord et réfléchir ensuite. AVATAR : Pedro Pascal CRÉDITS : l’étrangère (avatar), the exies (citation)
[001] C’est en pleine rue qu’il l’a entendu pour la première fois, le son d’un saxophone à l’angle d’une boucherie et d’un kiosque à journaux. Un grand type maigre qui soufflait sa musique à pleins poumons comme si sa vie en dépendait. Javier n’avait pas plus de cinq ou six ans, la main serrée par une nurse de l’orphelinat. Elle lui a intimé d’avancer, quand lui a cessé pour écouter, longtemps, trop longtemps, jusqu’à ce que le temps lui-même s’arrête. Une transcendance dans les notes de cuivre. Quarante ans plus tard, il a encore son vieux modèle acheté auprès d’un brocanteur de Soho, un alto poussiéreux qu’il considère comme un ami fidèle. Il en joue, encore parfois, en dépit des couacs et des cours de solfèges oubliés. [002] Elle était tout. Elle était tout, bien plus que lui pouvait l’être à ses yeux. Malia s’était trouvée une autre forme de famille dans le confort illusoire des Adorateurs, loin des idéaux de son jumeau, loin de la violence de la ville qu’il s’évertuait de combattre. En partie pour elle, pour lui offrir un monde meilleur, plus radieux que ce qu’ils avaient connu en venant au monde. Une communication difficile dans les derniers mois. Des œillères portées en étendard jusqu’au bout par le frère et la soeur, jusqu’au regret ultime. Attirée par la lumière, la force de Javier s’est jetée dans le vide en essayant de s’envoler, sans espoir de retour. S’il frappe aujourd’hui, ce n’est plus avec la même volonté d’antan. Protéger ne signifie plus rien. Pas quand il n’y a plus personne. [003] De ses quatre ans jusqu’à sa majorité, Javier a connu la vie en orphelinat, en foyer éducatif, et trois familles d’accueil différentes. Toujours séparé de sa sœur dés lors qu’un simulacre de parents ont bien voulu s’occuper d’eux contre un peu d’argent : mais on en veut qu’un par contre, sinon c’est trop de boulot. Information avérée pour les deux premières, là où la troisième n’a agi que par bonté d’âme. Un couple avec déjà deux autres enfants à charge, petit clan qu’il a rejoint à ses quatorze ans, après une énième fugue de son foyer transitoire. Une parenthèse d’amour vrai, dans une chaleur que Javier a presque fuit, de peur de la briser. Mais dont il se souvient encore aujourd’hui, au point de donner des nouvelles encore, de temps à autre. [004] Il a grandi dans l’imagerie populaire du film de cowboys, des western en noir et blanc, et des héros modernes sur les pages de papier glacé achetées pour une poignée de dollars avec des chewing-gums. Des héros qu’il trouvait ridicules au fur et à mesure qu’il se confrontait à la réalité.  Gamin pavetant les rues de ses envies d’indépendance, il a travaillé tôt, séchant l’école un nombre incalculable de fois. Des journaux livrés, des services rendus à droite ou à gauche, des petits trafics vite démantelés par les autorités de ses quartiers. C’est presque par envie de provocation qu’il a voulu devenir flic, parce que l’uniforme avait plus de gueule que le slip de Superman ou le latex des X-Men. Et qu’au quotidien, c’était plus simple d’étancher sa soif de justice avec des protocoles d’arrestations que de payer des millions en gadgets pour attraper des criminels. Son super pouvoir à lui, c’était ressortir major de promo à l’école de police quand ses maîtres de primaire ne misaient pas un centime sur son avenir. [005] Dix ans qu’il ne supporte plus les hauteurs. Un haut le coeur qui le pousse à s’assoir au plus près du tangible quand il se retrouve trop près du ciel. Il déteste les immeubles, la montagne, les horizons trop grands. Un défaut qu’il tente de gommer lors de séances de psy imposées, pour ne pas perdre le contrôle durant ses missions. Paraît que ce serait lié à la mort de Malia. Paraît qu’il ne veut pas en parler non plus, et que c’est que des conneries, et que de toutes manières il n’a pas le temps de soigner cette phobie.  [006] Un art de cogner, sans reflexion, sans expression autre que sa puissance brute, canalisée dans ses poings. Penser après l’impact, après les risques pris et les blessures, et constater que ses méthodes brutales marchent à tout les coups. Presque un jeu de rendre dingues tout ceux qui essaient de lui intimer plus de prudence. Kaz s’y casse les dents, et ça lui plaît presque un peu. Il n’est pas fou, juste inconséquent. On tente pourtant de l’enrayer, avec succès, dans la pratique de techniques martiales d’auto-défense, et dans une utilisation raisonnée de son besoin de violence. C’est ce manque de limite qui lui a valu trop de blâmes, de son enfance jusqu’à aujourd’hui. Un peu d’admiration aussi. Ce n’est pas pour rien que l’homme est considéré comme l’élément le plus dangereux dans les traques d’immortels : à considérer sa vie trop légèrement, son comportement s’approche de ceux qui l’ont déjà perdu. [007] Presque paradoxal dans le personnage, mais Javier peut se vanter d’être un fin cordon bleu. Une passion instiguée à l’adolescence, qui ne l’a pas quitté depuis. C’est instinctivement qu’il tient une pratique rigoureuse, méticuleuse, dans l’élaboration de recettes techniques, de gastronomies des quatre coins du monde. Une pile de carnets plein de notes, soigneusement élaborés, qui le suivent dans ses moindres déménagements, d’un studio à un autre, d’une cuisine à une autre. Quand on le sait aussi bourrin et désordonné au quotidien, c’est un détail qui dénote chez lui. Mais qui ravit les papilles pour ceux qui ont la chance d’y goûter. [008] Ce n’est pas un sociable, pas vraiment un souriant, pas ce genre de type à prendre des gants. Les paroles sont franches et tranchantes, maladroites et impatientes. Les rapports sociaux l’ennuient, le fatiguent, il n’a pas plus l’âge d’obéir sans un bon coup de bâton, ou des arguments de poids. Alors quand on lui demande de faire preuve de délicatesse, il s’y brûle les doigts. C’esgt pas son truc, même s’il apprend, petit à petit, à se comporter autrement que comme un vieil ours qui parle fort. Sortir en cachette avec un père de deux adolescents, ça fait un peu parti de sa formation. [009] Il n’a pratiquement rien connu du Chili, et ne ressent aucune fierté patriote, contrairement à sa sœur qui y est retournée y vivre une partie de sa vie. Il se sent déconnecté de ses propres racines, surtout quand on lui pose des questions à ce sujet. Pas qu’il n’a pas voulu s’y intéresser, simplement qu’il s’y sent étranger, et presque illégitime compte tenu les propos de son père à ce sujet. Pour lui, il n’y eut que les quartiers latinos de New-York auxquels s’identifier un tant soit peu, et apprendre l’espagnol dés son plus jeune âge. Mais rien de plus. [010] Toujours le plus grand sur les photos, le géant pas forcément gentil qu’on utilise dans les cours d’école pour se protéger du soleil ou rassembler les plus petits. Une condition qu’il renvoie aujourd’hui avec un grognement, même s’il vit très bien son mètre quatre-vingt dix. Pratique pour impressionner, moins pour les plafonniers et autres encadrures de portes.
PSEUDO : Syato PRÉNOM : Aurore ÂGE : 27 ans OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? Alors c'est l'histoire d'un écossais... Arrow UN AVIS, UNE SUGGESTION ? Je vous aime  eyes  LE MOT DE LA FIN Je vous aime TRES FORT.  eyes  eyes


TW : violence, langage grossier, mention d'assassinat, abandon d'enfants, cadre familial décousu, aliénation mentale. Autres sections de l'histoire particulièrement sensibles sous spoiler.

[25 Octobre 1975] Josefa tient encore ses bébés dans ses bras quand la balle creuse son front. Les pleurs des jumeaux à peine nés se mêlent aux aboiements des chiens à l’extérieur de la caravane, un nid de fortune où elle a pu accoucher en secret. Elle donne la vie, et une heure plus tard, on lui prend la sienne. On lui a dit, répété un millier de fois, qu’elle n’était pas tombée amoureuse du bon gars. Que c’est un de ceux qui attirent les ennuis comme les moustiques aiment la lumière et les peaux sucrées. Il est un de ceux-là, qui charment et espèrent échapper à leurs problèmes dans des bras innocents. Cristobal avait les poches pleines de dettes. Contractées auprès des pires. Et Josefa, sa femme depuis quelques mois, a payé pour lui. Un échange équivalent, une justice pour les brigands. C’est au moment où ses enfants s’apprêtent à servir d’avertissement que d’autres coups sont tirés. Le jeune père tremble, et sauve la vie de sa progéniture en deuil. In extremis, son pistolet gît au pied de celui qui lui a pris l’amour de sa vie.
La fuite en avant, la nuit le porte, il roule, roule de toutes ses forces jusqu’à la frontière, les états défilant sous ses pneus comme les kilomètres d’asphalte.
New-York, il songe, l’Amérique du Nord en ligne de mire. New-York, il l’a vue dans des tas de reportages, entendue dans des tas de rumeurs. Une terre de promesses, pour le gamin de la campagne chilienne. Là-bas, il pourra s’y fondre, s’y cacher, élevé ses deux petits endormis à l’arrière de son vieux camion, emmitouflés dans des édredons.
Ils nous trouveront pas, ses yeux fixent la route sans s’en détourner. Ils me les prendront pas.
Il est encore jeune, mais songe déjà grand, pour ne pas flancher. Avoir l’espoir de recommencer.

[Juin 1979] C’est arrivé. Sans drame ni fracas, sans éclat, aussi facilement que lorsqu’on perd une chaussette. Papa n’est pas rentré. Javier et Malia sont restés à l’attendre toute la soirée, du haut de leur quatre ans et sans comprendre que le temps pouvait être trop long quand on est tout seuls. C’est la voisine du dessous qui s’est inquiétée en premier, dés le lendemain matin. Les bambins sont venus à sa porte, questionnant tout les voisins. Personne n’a vu Cristobal. Tout le monde se doute, sans l’avouer, de ce qui s’est probablement passé.
« On sait pas », ont confié les jumeaux en boucle aux autorités. « Il est parti mais pas revenu. »
On lance des recherches, on appelle partout, on laisse les enfants aux mains des services sociaux. Puis de l’orphelinat de quartier, quand on au bout d’un an, le père est officiellement déclaré disparu.

[1980 - 1992] Séparés, ballottés, Malia et Javier grandissent chacun de leur côté. Si la petite fille est rapidement adoptée par une famille huppée de Brooklyn, les choses sont plus difficiles pour son frère. D’un comportement compliqué, il passera d’une première famille d’accueil à une autre, des allées et des retours, entre foyers et détours. C’est à quatorze ans qu’on prendra finalement soin de lui plus correctement, au sein d’un noyau solide : les Miller, un père, une mère, et deux autres enfants dans la même situation que lui. Javier y grandit, y passent ses années les plus sages et apaisées. Si ses résultats scolaires ne remontent pas tant, et qu’il décide de rejoindre l’armée à la fin du lycée pour s’y trouver une place, il affirme que c’est bel et bien grâce à eux que c’est amorcé son tremplin vers l’avenir. Que sans leurs mains tendues, il n’aurait jamais réussi à s’en sortir.

[1992 - 1996] Années de service pour la mère patrie, la contrée d’adoption, où le gosse Aguilar n’est qu’insolence et insubordination. Le cadre de l’armée lui tape sur les doigts et sur le système, et au bout d’une montagne de blâmes, il finit par quitter les rangs. Réformé sur le papier, inadapté, la camaraderie est une notion qu’il a du mal à intégrer. L’équipe finit par le délaisser, son treillis finit au placard, et quelques mois plus tard, c’est un autre type d’uniforme qu’il veut enfiler. La police l’attire. Elle a plus de portée, à ses yeux de gamin de vingt-et-un ans, que le service de soldats mouillés comme chair à canon à l’autre bout du monde. Il ne défendra pas le pays entier, mais au moins sa ville. Pour que Malia, avec qui il n’a jamais perdu contact, puisse s’y promener en toute sécurité.

[1996] Personne n’aurait misé sur lui, pas un centime sur ce type sorti de nulle part. Et pourtant Javier réussit brillamment le concours d’entrée à l’école de police, en ressort major de promotion avec d’excellents résultats, et trouve rapidement une place au sein de la NYPD. Un travail acharné, qui trouve du sens pour lui. Un gamin transformé, épris de justice et d’une volonté farouche d’aider ses concitoyens, un cœur jeune à modeler, pas prêt à être piétiné. Mais le système est difficile, demande des concessions, un endurcissement différent de celui des garnisons du corps d’état. Au plus près des violences de ses quartiers d’enfance, Javier les combat avec la sienne, pas toujours en accord avec les doctrines des plus hauts placés. Toujours pour protéger les faibles, clâme-t-il. Toujours pour rétablir la justice, crie-t-il. Parce qu’il y croit, plus que jamais. Il croit qu’elle existe, et qu’il est là pour la faire régner.

/!\ Evocation de : terrorisme, crimes, violences, racisme et corruption au sein du milieu policier, délation, description d'un suicide:

[2011 - 2021] Les immortels.
Des fables de sa sœur, pour lesquelles elle a donné son avenir, dans l’espoir de les rejoindre.
Des fables lointaines auxquelles Javier ne peut que croire, sans rien d’autre à quoi se rattacher.
D’une certaine façon, il a exaucé la volonté de Malia : il y croit. Il y croit, à cette réalité où il prévoit de tous les anéantir, jusqu’au dernier, jusqu’à celui ou celle qui a poussé sa jumelle à commettre l’irréparable.
Parce qu’elle n’a pas pu y penser seule. Javier ne peut pas se résoudre à laisser ce geste sans réponse. Il lui faut un coupable. Il en a besoin. Il le trouvera dans son propre charnier de cadavres réanimés.
Ses premières enquêtes relèvent que Malia fréquentait l’un d’eux. Une identité impossible à détecter pour l’instant, avec ses maigres ressources et ses poings en avant.
Et c’est ainsi qu’on vient le chercher.
Des membres du Conclave Ecarlate, attirés par sa fureur, où elle trouve écho. Des gens qui se targuent de le comprendre, là où il reste seul. C’est sans trop de résistance qu’il les rejoint, prenant acte de leur force de frappe et de leurs moyens bien plus élevés. Avec leur aide, il exécutera sa vengeance.
Depuis dix ans qu’on l’utilise, qu’on se sert de sa rage et lui des visages collectés, dix ans qu’on le teste, à le mettre en partenariat avec un autre membre : « Kaz » Lindeberg, un rat fouineur de première catégorie, un sale petit con qu’il ne supporte pas. Du moins, c’est la pensée qui lui vient le jour de leur rencontre.

[Aujourd’hui] Des entraînements à l’arme blanche, des rapports à remplir, des recrues à vérifier, des réservations à booker pour des traques prévues à l’étranger. Pas envie d’aller bosser. Viens, on reste là. L’idée spontanée émerge avec l’odeur de café, mélangé au parfum des draps. Il voudrait bien, vraiment. La peau de son partenaire est brûlante au soleil, la matinée est à peine entamée. Ils devraient se lever, et commencer à se préparer. Il n’y songe pas. Il préfère se rendormir, profiter de l’occasion, oublier les batailles à mener et les corps à ramener. Ce qui se passe depuis ces derniers mois est bien trop rare, parfois bien plus précieux que sa croisade personnelle.

Parce que blotti contre Kaz, Javier rêve.
Et c’est bien la première fois.

 


Dernière édition par Javier Aguilar le Mer 3 Nov - 15:55, édité 2 fois
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Mer 27 Oct - 21:14

herguihreugheirhg

You're here finally.

ohno ohno ohno
Du drama everywhere, du love, du... rp yeet
omg je suis trop contente que tu sois enfin là avec ce compte
et surtout PEDRO OH LALALA...!!!!!!!!!!!
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Charles Otago
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Mer 27 Oct - 21:17

Coucou par ici !!

Déjà le FC est à tombé par terre, moi j'adore trop ! wow

Sinon ça va encore envoyé votre duo là ... j'espère que vous resterez cependant assez loin de moi hahahahah.

A plusse dans le busse. sexy
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Caleb Faust
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Mer 27 Oct - 21:45

CONCLABROS UNITED elmo elmo elmo
re-bienvenue avec ce personnage déjà fabuleux keur excited et puis cet avatar, Pedro ohno shook la perfection, partout, partout hmhm on va pouvoir se trouver de beaux liens, c'est sûr brows bonne rédaction et si tu as besoin d'un coup de pouce, tu sais où me trouver burn
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Jeu 28 Oct - 9:19

finallyyyyyyy excited (on m'avait soufflé dans l'oreillette - @Kaz Lindeberg - que quelque chose de cool se préparait sourcil )

rebienvenue avec ce nouveau bb ohno trop hâte de découvrir la suite de ta fiche et ce que vous nous prépareeeez

super fc, of course ohno et bon courage à toi pour la suite de la rédaction de ta fichetteeeeeee super
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Keira Teirborn
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Jeu 28 Oct - 10:15

Oh tiens bonjour lui pomme
Bon retour avec ce nouveau bb. J'ai hâte de le voir en entier. En plus l'est beau eheh
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Jeu 28 Oct - 18:18

Oh, Pedro hot bag bbyoda

You know we know va falloir se trouver du lien ! sexy bril  
Tellement hâte d'en découvrir plus blueheart
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Maïa Moretti
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Ven 29 Oct - 20:33

T'es beau mais t'es vilain, comment tu peux me faire ça? teary En tout cas, je suis vraiment contente de te voir continuer l'aventure et de t'essayer dans ce clan blueheart . Oui je te pardonne parce que t'es mi tresoro kisskiss . Re bienvenue à la maison et hâte de découvrir tout ça cutie .
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Chiranth Pasavan
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Sam 30 Oct - 10:24

Ce fc... Ce perso... Ancien flic en plus ohno J'aime tout, même si je suis pas surprise venant de toi, mais c'est un peu pas très juste d'être aussi parfait what

J'ai hâte de lire la suite pour apprendre plus de petits détails croustillants, mais en même temps le ptit Ben en moi craint le drama bag cold
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Shani Ackerman
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Sam 30 Oct - 13:51

Re 😏
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Dim 31 Oct - 13:43

Ouuuh JJJJJavier (oui désolé, ce prénom ça me fait tripper, j'adore moustache sac )

Re-bienvenue brille tous ces conclaviens et ces amareuthiens qui arrivent là, oulalala ca sent le roussi pour les immortels excited
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Lun 1 Nov - 19:36

Pedro Pascal brille ça fait plaisir de voir ce FC
Hâte de lire tout ça~ ré bienvenue à toi
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Mar 2 Nov - 18:57

ldjsnfkj mais tout ces petits mots doux jpp, vous êtes trop gnions là tinyheart

@Kaz Lindeberg Oui, ENFIN. eheh C'est l'heure du drama, du sel et des bisous, les trois ingrédients magiques de ce duo de galériens ->
On va bien s'amuser blblblbl joy
(Et Pedro x Daniel, moi je dis :
Javier • chaque heure blesse, la dernière tue. Beau-quand-meme)


@Charles Otago Hey uuuu tinyheart Oh bah si Charles le surfeur fait pas de vagues, on devrait pas nager trop près de lui eheh /PAN
Merciiii coeur

@Caleb Faust CONCLABROS UNIDO JAMAS SERA VENCIDO
elmo elmo elmo
Evidemment qu'on va se trouver quelque chose, entre vilains écarlates ça va couler de source :3
Merci bichette, au plaisir de jouer avec toiiii bril

@Rahim Gupta Javier confirme, que Kaz aime bien marmonner des trucs à l'oreillette... Arrow /PAN
Merci beaucoup blblbl, je m'attaque à la suite dés ce soir normalement shook

@Keira Teirborn Bonjour miss, vous, je vous connais eheh trop hâte de jouer ce qu'on a prévu, ça promet du bon drama ça aussi uhuh
La full version arrive... très bientôt, promis laugh huhuhu

@Lova Pavlenko Tu m'as fais découvrir la brique de gif avec McAvoy, omg, je vais l'utiliser H24 avec Antho maintenant laugh laugh laugh
Et oui, un lien va me paraître indispensable, surtout vu tes futurs projets blblb Arrow

@Maïa Moretti Mi tresora tinyheart AVA c'est trop le paradis, je ne peux que vouloir y poser mes valises pour longtemps et avec pleins de gens tinyheart bon là c'est un vilain pas beau (quoique ->), mais peut-être qu'il viendra pas trop embêter Maïa... enfin... j'espère pour elle eheh merci beaucoup kisskiss

@Chiranth Pasavan Blblbl c'est ça, couvre moi de compliments (alors que c'est toi la parfaite) pour que le UBER DRAMA avec Ben passe mieux uh laugh /PAN non mais en vrai j'ai trop hâte, même si mon inner Jav, well, moins ->
Huhuhu la suite arrive vite, promiiiis hi

@Shani Ackerman Re gni

@Lucian Blackthorn Non mais, il existe une autre prononciation ? laugh C'est la meilleure, avec le JJJJJJJJJJJJJJ râclé là eheh
Et j'avoue, planquez vous les pamorts là, on arrive pour vous botter le derrière avec amour et entrain Arrow

@Camille Kergoat Bichou tinyheart Oui Pedrooo, j'avais trop envie de le jouer depuis un moment, et bim, j'ai sauté le pas !
Merci beaucoup blblblbl kisskiss
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Mar 2 Nov - 22:30

Rebienvenuuue excited Yeah, un nouveau Conclaviste brille

Et ce choix de FC hi

Bon courage pour la rédaction super (J'ajouterais aussi : je serais ravi d'en savoir plus sur Javi eheh Arrow )
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Astra Ackerman
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.    Dim 7 Nov - 12:11



fiche validée
- félicitations ! -

Oh là là, mais quelle fiche eyes J'ai (encore une fois) adoré te lire, j'adore le personnage de Javier, il est génial fall J'ai hâte de voir ce que vous allez faire avec Kaz, ça promet excited Je viendrai te poker pour un lien ou deux, héhé hmhm Amuse-toi bien avec ce charmant bonhomme evil

Les petites choses à faire après sa validation :

Maintenant que votre personnage a été validé, il ne vous reste plus que quelques petites choses à faire avant de pouvoir vous lancer dans l'aventure en RP tinyheart Tout d'abord, n'oubliez pas de remplir tous les champs de votre profil (sauf ceux ne vous concernant pas, évidemment). Ensuite n'oubliez pas de créer votre fiche de liens, très importante pour que nous puissions vous demander de super liens et des RPs owi Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi créer un téléphone, pratique quand on veut communiquer avec quelqu'un qui ne se trouve pas sur le même continent hi Et, pour les immortels, rendez-vous ici pour proposer vos constellations cutie Et voilà, vous n'avez plus qu'à vous amuser, bon jeu sur Ad Vitam Aeternam wow
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(#) Re: Javier • chaque heure blesse, la dernière tue.   

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