intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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 soft hearted & strong minded ; ziya

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(#) soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 18:12



this is who I am this is my story
ziya tawfiq
I'll follow my heart.
NOM ET PRÉNOM : Les identités furent nombreuses, multiples. Parfois éphémères. Parfois, tu les as emprunté plus longuement. Il en est resté une, ancrée :Salim Al-Amin. La première vie était fragile, à une époque où la violence, les guerres de religions furent la norme. La première existence fut heureuse ; tu as eu une femme, une descendance. Mais Allah avait d'autres plans pour toi. Alors tu as embrassé une autre existence. Tu en as eu tellement mais aujourd'hui tu es (ZIYA TAWFIQ). Ziya (ضياء) pour attirer la lumière d'Allah sur toi, pour qu'Il guide inlassablement tes pas. Tawfiq (وفق) pour demander, quémander Sa bonne fortune, Ses graces.  Tu en es persuadé ; Il te regarde, Il t'accompagne. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Né le (5 OCTOBRE 1149 A TUNIS), tu es leur quatrième fils sur neuf enfants. La maison est rempli de bonheur à ta naissance, Allah est remercié pour la bénédiction d'un fils fort et en pleine santé. Et il y a toujours un peu de nostalgie quand tes pas te ramènent à Tunis. Toujours un peu d'émerveillement à voir le temps faire son œuvre ; ta ville a bien changé, les odeurs sont, elles, toujours un peu les même. DATE DE LA PREMIÈRE MORT : La première vie s'est achevé sur les remparts de Jérusalem, le (30 SEPTEMBRE 1187). Poussé dans le vide par un croisé alors que tu hissais les couleurs du Sultan, ton corps s'est fracassé en contrebas, criblé de carreaux. Ta mort fut lente, particulièrement douloureuse et tu te souviens du réveil et de l'odeur des corps t'entourant dans la fosse commune. Tu te souviens de la peur. Tu te souviens de l'incompréhension alors que tu as rampé pour t'extraire de là. Allah t'avait-Il puni ? Allah t'avait-Il refusé le Paradis ? « Ce n’est pas ton heure, mon enfant» t’a glissé l’Immam « Allah sait ce qu’Il fait. » Et tu as eu confiance, tu sais qu'il y a une raison à tout ça. Tu sais qu'Il a voulu ça. ÂGE : On te donne trente-huit ans, l'âge que tu avais quand la mort t'a fauché pour la première fois. En réalité, tu arpentes la Terre depuis (872 ans).  Les siècles ont côtoyés l'émerveillement et l'effroi ; tu sais bien comme les mortels peuvent être autant capable du meilleur comme du pire mais tu as toujours eu foi en eux. Tu as toujours cru en eux.  HABITATION : Ta longue vie t'a offert le luxe de vivre un peu partout, d'aller plus loin que Tunis et Jérusalem. Tu as eu soif de voyager, d'explorer, de goûter aux cultures que tu ne connaissais pas, que tu ne pouvais qu'effleurer. Aujourd'hui, c'est à (ANCHORAGE) en Alaska que tu t'es installé, accompagné de ta moitié d'âme. Elle t'a rejoint dans cette grande maison que tu ne partageais qu'avec toi-même ou avec quelques enfants de Prométhée lorsque le besoin s'en fait sentir. Tu ne t'es jamais senti seul, ta constellation est toujours à quelques battements de coeur de toi mais il y a quelque chose de plus depuis que Tuyên est ici. Il y a comme une impression que tout est à sa place. PROFESSION : Tu as adopté de nombreux métiers au gré de tes identités : Imam, théologien, musicien, poète, collectionneur d'art, mécène.  Au gré des identités, tu as vécu mille vies, tu as aimé, tu as perdu ceux que tu aimais aussi. Aujourd'hui, tu t'es dédié à une de tes nombreuses  passions : la peinture. Tu as toujours été doué, tu as même vendu certaines toiles mais c'est bien la première fois que tu embrasses pleinement ta volonté d'être (ARTISTE-PEINTRE). Ton nom d'emprunt est encore un peu confidentiel dans le milieu mais il enfle comme une étoile montante dans les milieux artistiques : Salim Hashimi. Comme un clin d'oeil à ta première existence. Comme une envie de chérir tes origines. Mais tu es aussi et surtout depuis ta première vie : (MEDECIN). Tu as traversé les siècles en perfectionnant ton art, en te modernisant avec la médecine. Et tu es sans cesse associé à de nombreuses organisations humanitaires pour aller où personne ne va.   STATUT CIVIL : Marié une première fois aux yeux d'Allah, le serment s'est arrêté lorsque la mort a emporté ton épouse. Les papiers abordent d'ailleurs toujours la mention (VEUF) malgré les siècles écoulés. Aujourd'hui, tu te considères le coeur accroché, complété par celui de ton âme soeur, par Tuyên. Tu n'as pas honte d'être en (COUPLE) avec elle, même si tu ne dis rien, même si tu ne forces rien. Tu as appris la patience et tu l'es infiniment avec la jeune immortelle.  ORIENTATION SEXUELLE : L'évidence a toujours été là  : il te faut un vrai lien émotionnel avec quelqu'un avant d'aimer physiquement. Le désir ne fleurit que lorsque tu te sens bien, tu te sens en symbiose avec ton.ta partenaire. La jeune génération a fini par trouver un terme pour toi : (DEMISEXUEL). Tes histoires d'amour sont donc peu nombreuses parce qu'il n'est pas aisé de faire confiance en son prochain. Tu aimes aimer mais il a été compliqué de s'en rendre digne, d'entrer profondément dans ton cercle intime. Et peut-être que la seule personne réellement digne de loger dans ton coeur est celle faite pour toi. Peut-être que seul cet amour absolu restera gravé en toi. Peut-être que c'est ce qui t'as toujours manqué. DONS ET CAPACITÉS : Ta renaissance t'a offerte deux dons. (METAMORPHOSE LEGERE) que tu as appris à maitriser au fil des siècles, du temps qui passe. Ta première métamorphose fut brouillonne et n'a duré que quelques minutes pour te permettre de fuir une situation périlleuse. Tu l'as perfectionné au fil du temps, des expériences. Les changements sont des détails qui te permettent de soutenir que non, cette personne qui t'a croisé il y a dix ans se trompe. Mais parfois changer la longueur de ses cheveux, de sa barbe peut s'avérer terriblement utile pour disparaître et tu le sais mieux que personne. Maintenant, tu es capable de maintenir une métamorphose pendant 10 heures au prix d'une certaine dépense d'énergie. (PERSUASION) Tu as toujours été un amoureux des mots, leur beauté, leur douceur. Quel ne fut pas ta surprise de constater que ta renaissance t'a accordé une facilité avec ceux-ci et une inclinaison à calmer tes patient. Mais il est vrai que sous le coup des émotions, ce talent peut t'échapper et que tu as eu peur de manipuler, de trancher le libre arbitre des autres. Tu as longtemps été pris de remords avant de l'utiliser maintenant tu en as une maîtrise très bonne. Si tu sais certains immortels plus habiles avec, tu n'as pas à rougir de la maitrise que tu en as. Il y a même quelque chose d'impressionnant à te voir soutenir que non, iel ne t'a jamais rencontré et que c'est bien la première fois que vous vous voyez. Et pouf, tu deviens un inconnu. FACTION : Tu as lié tes mains à celles des (ENFANTS DE PROMETHEE) depuis de nombreux siècles. Tu as à coeur de protéger les mortels, tu as à coeur d'œuvrer dans le secret pour ton prochain et tu as la bonté sur le bord des lèvres. Tu penses juste que les choses n'ont pas à se faire dans le sang. Toi qui l'as vu trop couler, tu sais que ce sang poisseux est le terreau de tous les maux, de tous le chaos, de toutes les destructions. Rien ne se lave dans le sang, tout s'y souille. GROUPE : AMOR VINCIT OMNIA. AVATAR : Marwan Kenzari. CRÉDITS : jenesaispas (avatar), eternal-rpg (icons).
(01. ALLAH IS ENOUGH) Elevé dans la foi musulmane, tu as été bercé par les principes de la Sunna. Si ta religion est critiquée, parfois chassée aujourd’hui, si d’autres immortels ont perdus leur Dieu au fil des siècles, tu n’as jamais cessé de croire en Allah. Il a toujours accompagné tes pas, Il a toujours veillé sur toi. Tu L’as toujours aimé. Tu ne cesses de Le prier. Si beaucoup ne comprenne pas ta foi, d’autres immortels sont fascinés de ton inébranlable croyance. Respectueux des piliers de l’Islam, tu n’as pas honte de ton appartenance à l’islam sunnite. Tu dis même qu’Allah est le seul à régner sur ton cœur.  Les prières quotidiennes sont des rendez-vous que tu ne loupes jamais où que tu sois. Il en va de même pour la période de ramadan. Tu as toujours à cœur de faire l’aumône aux plus nécessiteux. Fervent défenseur de ta religion, tu y vois une religion d’amour, de bonté et non de haine, de violence, d’oppression. L’amour qu’Allah t’a donné, tu le rends à tous. Et tu es persuadé que c’est là ton devoir ; aimer comme Lui t’a aimé. Si, à l’époque, tu étais déjà un peu en avance sur les mœurs de ton temps, tu crois que chacun est égaux. Tu crois que la place des femmes est plus grande que ce que les hommes leur laissent. Tu en as longuement débattu, sans cesse discuté au sein des mosquées, des institutions. Tes idées en ont hérissé certains, en ont intéressé d’autres. Mais une chose est certaine ; tu n’as jamais tourné le dos à tes croyances. Inébranlable, indestructible, infaillible, Allah t’accompagne où que tu ailles. (02. STAY CLOSE TO PEOPLE WHO FEEL LIKE SUNLIGHT) Si la mort a frappé, aurait dû t’emporter dans les bras d’Allah, tu as rouvert les yeux, ne comprenant pas ce qu’il s’est passé. Allah t’avait-Il refusé la mort ? Allah t’avait-Il maudit ? Après avoir parlé à un imam, tu as compris qu’Il a voulu ça. Tu as aussi compris qu’Il t’a changé. Soudainement, tu n’étais plus seul face à toi-même. Soudainement, il y avait cet homme grand et blond peuplant tes rêves, te poussant à lui. Eirik n’a pas tardé à te rejoindre alors que Jérusalem se paraît d’odeurs de roses pour couvrir le sang versé. Et tu as senti comme vous étiez liés, comme il t’était indispensable, comme il était un morceau de toi. Allah t’a choisi, tu le sais, tu le sens à ce moment-là. Et tu sens que ta vie ne sera plus jamais la même. Ta constellation est ta nouvelle famille et l’amour que tu ressens pour eux est tellement dans chaque fibre de ton corps. Chaque arrivée t’a attiré un sourire, des étoiles dans les yeux. Chaque danger est un crève-cœur, une blessure à l’âme indélébile. Tu ne peux vivre sans eux, tu ne peux pas respirer si l’un d’entre vous à mal. C’est, sans doute, ce qui ne te fait jamais hésiter à traverser la planète pour eux. Comme tu l’as déjà fait pour rejoindre Eirik lorsqu’il fut capturé. Comme tu le referais encore, les yeux fermés, pour chacun de vous. Ta constellation est un cadeau, et tu remercies chaque jour Allah pour ça. Tu aimerais, certes, que Santiago soit un peu moins impulsif ou que Tuyên ait moins peur des autres. Mais tu chéris chacun d’eux, tu les aimes tellement. Tu ne sais plus ce que c’est la vie sans eux.  Tu ne veux plus savoir. Tu veux juste continuer à les aimer. (03. HUMANITY LOVER) Tout ceux qui t'ont côtoyés savent comme tu as un coeur doux, tendre. Tout ceux qui te sont proches savent aussi l'amour que tu dédies aux autres et à la promesse que tu as fait : tu protégeras l'humanité. Le temps qui passe, émousse les volontés, n'a pas abîmé ta foi dans la mortalité. Et tu n'as pas cessé d'intervenir pour prendre des balles pour eux, pour sauver ceux persécutés, pour soigner ceux qui n'en ont pas les moyens. Et en plus de ton implication dans les Enfants de Prométhée, tu ne rechignes pas à rejoindre nombre d'organisations humanitaires. Tu iras où les autres ne veulent pas aller. Tu iras pour prendre soin de ceux qui en ont besoins. Tu iras parce que si le monde souffre, tu es persuadé de pouvoir aider à en faire un meilleur endroit. Tu es persuadé que c'est ton devoir et jamais, tu n'en dévies. (04. CONFIDENCE AND KINDNESS) Ta douceur, ta gentillesse sont des évidences qui sautent au visage quand on te rencontre. Ce ne sont pas des faiblesses d'être bon avec les autres, de les écouter, de prendre ton temps pour les guider. Ce n'est pas une faiblesse d'être doux. C'est, au contraire, tes plus belles forces. Et la confiance que tu dégages est apaisante, tranquillisante. Quand certains doutent de tout, tu fais confiance, tu as confiance. Pas aveuglément. Mais tu sais que tout ira bien. Tu sais que rien n'est immuable, mais tu peux prendre le temps de découvrir, d'apaiser, de laisser une sensation agréable sur ton passage. Et tous sont d'accord pour dire que tu es une force tranquille, l'oeil du cyclone où au milieu du chaos, tout est calme. Tous sont d'accord pour dire qu'on est bien avec toi. (05. ACROPHOBIA) Une peur savamment camouflée, doucement voilée dont tu ne parles que peu. Ta première mort a laissé la cicatrice de ce traumatisme : la peur des hauteurs, du vide. Comme si la mort, en ne te volant pas ton âme, avait laissé sa marque dans l'emballement du coeur, dans la terreur qui s'installe face au vide. Et tu sais que les ascenseurs de verre, où tout se voit, sont des épreuves pour toi. Il en va de même pour ces foutus escaliers transparents qui te filent des palpitations alors que tu montes. Ne parlons pas non plus des ponts ou des buildings surplombant les villes modernes. (06. IF YOU CAN DREAM IT, YOU CAN DO IT) Il y a un certain idéalisme, une utopie en toi. Des immortel.le.s s'étonnent d'ailleurs que ça ne se soit pas fané avec les années, les évènements, tout ce qu'on vit et voit en étant si vieux.vieilles. Mais tu n'as jamais cessé de rêver d'un monde plus doux, d'un monde de paix où chacun à sa place et la mérite. Et tu le portes en étendant tout en long de tes voyages, de tes actions, de tes paroles : si tu en rêves encore, c'est que c'est possible, c'est que c'est à porter de mains. Tu n'as jamais dit que ce serait facile mais tu fais tout pour rendre tout ça possible : engagement humanitaire, protection des vies sur ton chemin, soins, bienveillance, douceur. Là où certains ravagent, tu diffuses de l'espoir. Et certain.e.s trouvent ça naïf, inutile ou que tu te fourvoies complétement. Mais tu es de ceux à ne pas avoir arrêter de croire, tu es de ceux à tendre la main qu'importe le prix à payer. La seule exception c'est la sécurité des tiens, de ta constellation. (07. COLLECTING (EVERY)THING) Tu n'as pas toujours été si matérialiste mais tu l'es devenu. Parce que tu sais mieux que personne que lorsqu'on est éternel.le.s, les souvenirs s'effacent, trépassent alors tu chéris les objets qu'ils ont laissés derrière eux. Tu as récupéré l'instrument de musique favori de ta mère, les mémoires d'un de tes descendants, les œuvres d'une artiste qui fut ton amante. Chaque objet que tu possèdes est synonyme de souvenirs, de mémoires que tu ne parviens pas à laisser s'en aller. Comme si, même toi, après tout ce temps, tous ces évènements, tu cherchais à laisser une trace silencieuse, précieuse de ton passage et que tu la voyais à travers tout ce que tu as. (08. COOKING IS LOVE MADE VISIBLE) Tu ne savais pas cuisiner lors de ta première mort mais tu as appris. Parce que ce sont dans les plats de ta mère que tu as les meilleurs souvenirs, parce que c'est au détour d'un plat que tu as aussi le coeur qui se tend vers ta constellation. Tu as appris par amour des tiens, pour chérir chaque petites choses qu'iels aiment. Tu apprends encore à cuisiner vietnamien pour ta moitié, tu sais, connais les goûts des tiens, pouvant retracer les plats par coeur, les yeux fermés. Et lorsque tu te mets aux fourneaux, il y a toujours un air de fête, un air de tour du monde aussi car tu veux que chacun ait exactement ce qu'iel aime. C'est ta façon de prendre soin des autres, de leur dire qu'ils sont importants pour toi. (09. PEACFUL MIND) Tu es en paix avec toi-même. Mais tu n'as jamais pu vraiment te pardonner d'avoir pris tant de vie lors du siège de Jérusalem. Tu n'as jamais pu te pardonner d'avoir tué. Et encore aujourd'hui, il t'est inconcevable de prendre la vie de quoique ce soit. Tu es un grand humaniste et surtout un grand pacifiste. Verser le sang te dégoûte alors que tu débordes d'un altruisme tendre, d'une bienveillance à toute épreuve. Tu préfères te faire tuer plutôt que de prendre des vies. Ca ne veut pas dire que tu es sans défense mais tu préfères manipuler de quelques mots, endormir d'une piqure de somnifère ou de calmant ou encore assommer plutôt que de prendre la vie de quoique ce soit. Allah ne t'a pas permis de te faire juge, après tout. (10. MONEY IS NOT AN ISSUE) L'argent n'est plus un soucis pour toi. Tu as accumulé tellement de biens, acheté tant de propriétés à travers le globe ou de richesses que tu sais que tu es à l'abri du besoin. Tu en fais d'ailleurs profiter qui en a besoin au sein de ta constellation. Tu n'as jamais été du genre à tout garder pour toi.
PSEUDO : lionheart.  brille   PRÉNOM : lucie. ÂGE : 25 bientôt 26 ans. OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? par le discord des rpgistes.  tinyheart  UN AVIS, UNE SUGGESTION ? écrire ici. LE MOT DE LA FIN on a l'air bien ici, j'y installe ma petite tente.  coeur
5 OCTOBRE 1149 – TUNIS ; Naissance de Salim, fils de Basir, Al-Amin.
Ils s’appelaient Husni, fille d’Ibrahim, et Basir, fils de Zaheer, Al-Amin. Issus du peuple Zinite, ton père est un soldat blessé, abandonné dans la ville prise d’assaut par les siciliens normands. La famille aurait pu suivre son maître à Mahdia mais la blessure de ton père a poussé tout le monde à rester dans la cité. Et depuis une année, il n’y a plus rien à sauver. La grossesse d’Husni est une surprise. Au milieu de la guerre, des exactions des siciliens sur les musulmans, ta naissance est une accalmie au milieu de la chute de ton peuple. Ta naissance est un bonheur inattendu donné par Allah. Sixième enfant, quatrième fils, tu pleures à la lueur des bougies mais tu es le signe que tout ira bien mieux, qu’Allah te sourit.

JUIN 1153 – TUNIS ; Hamza Al-Amin est tué par la garnison sicilienne.
Les souvenirs s’entremêlent lorsque tu repenses à ce frère. Ses traits sont flous tant tu étais jeune, tant la mémoire dévie loin. Mais ce grand frère, tu l’aimais tant. Il t’embêtait, certes, se moquait du fait que tu sois dans les jupes de ta mère si souvent, que l’arme de bois faite pour toi soit trop lourde, trop inintéressante à tes yeux. Hamza avait 10 ans, Hamza a assisté à la grandeur des Zirides et à leur chute, Hamza a toujours été trop en colère pour tout son être. Hamza se croyait grand, fort, inébranlable quand il lance cette pierre sur un soldat norman-sicilien avec sa fronde. Mais il ne court pas assez vite et il se fait attraper alors on lui apprend, alors on le torture et on en fait un exemple. Husni est inconsolable, Basir bouillonne et le deuil s’installe et toi, tu demandes : « Il est où Hamza ? Il est où mon grand frère ? ». Tu ne comprends pas, tu ne sais pas et tu pleures, pleures quand Mama t’explique qu’il ne reviendra pas, qu’il est retourné à Allah.

SEPTEMBRE 1154 – TUNIS ; La foi s’installe.
Tu agaces ton père. Basir se désole que son quatrième fils soit si peu doué avec les armes, si désintéressé par les chevaux, si piètre cavalier. Ils te font peur ces animaux de malheur. « Que vais-je faire de toi, mon fils ? », il se couvre les mains plusieurs fois et tu baisses les yeux. Tu ne le fais pas exprès, tu jures que tu ne le fais pas exprès. Et tu pleures quand il élève la voix, tu cours vers ta mère, tu te caches contre elle. Et Husni tourne des yeux noirs sur ton père : « Qu’as-tu fait à mon fils, Basir ? ». Il en frémit, ton père. Il ouvre la bouche mais elle crie de te laisser tranquille, que tu n’es qu’un enfant, que la guerre – sa guerre – lui a déjà pris un enfant. Elle le prévient, il ne te prendra pas non plus. Il bredouille qu’il ne cherche qu’à faire un homme de toi, qu’à te protéger. Et ta mère est implacable lorsqu’elle lui dit de te laisser tranquille, que tu es trop jeune pour ça. Alors ton père abandonne et te laisse. Husni t’emmène à la Mosquée, Husni t’apprend à lire, à écrire. Husni te parle d’Allah, elle peuple ton cœur d’un amour tendre pour Lui. Et tu te mets à Le prier de toutes tes forces, de tout ton être. Qu’Il veille sur Maman, Papa et puis tes frères et tes sœurs. Qu’Il n’oublie pas de serrer Hamza contre son cœur. Qu’Il vous aime pour toujours, oui, toujours.

DECEMBRE 1154 – TUNIS-LE CAIRE ; Fuite des Al-Amin vers Le Caire.
Husni te réveille au milieu de la nuit, elle te fait signe de te taire, de ne pas faire un bruit. Dans la pénombre, les Al-Amin s’active sous tes yeux juvéniles. On prend les rares objets précieux que les siciliens n’ont pas pillés, on emballe des affaires, de la nourriture. Et on fuit, fuit la maison trop petite. On fuit Tunis à prix d’or pour embarquer sur un navire marchand qui étire ses voiles jusqu’au Caire. Dans les cales, le voyage est rude, te rend malade. Husni prie pour ne pas perdre un autre enfant. Basir a peur, tu maigris à vue d’œil. Mais Le Caire pointe bientôt le bout de son nez, vous débarquez. Tu respires. Tu serres fort la main d’Husni et de ta sœur ainée. Vous n’êtes pas totalement la bienvenue en Egypte mais mieux vaut les Fatimides que les norman-siciliens, mieux vaut un ancien peuple allié plutôt qu’un joug qui finira par vous tuez tous.

FEVRIER 1155 – LE CAIRE ; Second souffle pour les tiens.
La dynastie Fatimide a toujours été éprise de culture, d’art, de science. Le calife Al-Fâ’iz n’est pas une exception ; ta mère est une musicienne et chanteuse de talent. Ses compositions, ses mots attirent l’aristocratie en place qui l’invite à ses salons. Elle finit par attirer l’attention du calife qui l’invite, propose d’en faire une de ses protégées. Sa popularité sort votre famille de la pauvreté, du besoin. Même ton père finit par trouver une place chez un aristocrate. Un second souffle vous est accordé. Tu découvres la bibliothèque du palais quand ta mère joue pour un calife qui s’endort sous ses compositions. Un monde s’ouvre à toi alors que tu côtoies des poètes, des musiciens, des scientifiques, des penseurs. Tu as les yeux qui brillent, tu parles à ta mère, à ta fratrie de tout ce que tu vois, apprends. Tu es intarissable, tu loues la chance qu’Il t’a offert.

1155-1160 – LE CAIRE ; « Tu seras un homme, mon fils. »
Tu grandis bien et vite, profitant de tes visites au palais pour dévorer des livres parfois plus grands, plus anciens que toi. Husni retombe enceinte, tu auras un autre frère et deux autres sœurs. La maison se remplit de gazouillements de bébés et tu regardes émerveiller ces petits êtres grandir. « Moi aussi, j’étais petit comme ça, Mama ? » « Oui, Salim. Maintenant regardes, tu ne tiens même plus dans mes bras. Tu seras bientôt un homme », glisse ta mère les yeux un peu fatigués alors qu’elle donne le sein à Aliyah, la dernière-née. Une moue se dessine, tu n’es pas sûr de vouloir être un homme quand tout ce que tu sais d’eux, c’est la guerre qu’ils livrent. Tu n’as jamais voulu devenu Basir ou ton plus grand frère enrôlé dans l’armée du calife. Basir essaie, d’ailleurs, de te faire remonter en cheval – un nouvel échec qui se soldera par une blessure. Cette fois, il renonce. Il comprend ; tu n’es pas fait pour la guerre. La musique, les poèmes t’attirent tellement plus. Ta mère t’apprend la musique. Tu te rends souvent à la mosquée pour écouter les penseurs, les philosophes. La bibliothèque du palais te nourrit et bientôt, tu attires l’attention du médecin du calife qui te prend sous son aile. Le vieil homme te trouve la tête bien faite, quelque chose dans le regard qui l’interpelle et un phrasé qui lui plait, il s’appelait Abdul. La seule chose qu’il te reproche c’est ton sunnisme. Mais toujours à demi-mots. Comme si, au fond, le médecin en avait trop vu. Comme si ça n’avait pas tant d’importance pour Abdul. Il paraît même que grâce à la ruse de l’homme, tu échappes à ton service militaire. « Par Allah, avec leur guerre stupide, ils vont me prendre un bon apprenti ! Ah non, ça ne se passera pas comme ça ! », a-t-il crié dans le palais quand il appris la nouvelle. Et il y a, comme un soulagement, de toute ta famille de savoir que tu y échappes. Comme si ils savaient que tu n’allais pas y survivre.

NOVEMBRE 1161-AOUT 1169 – LE CAIRE ; Fayza Hashimi, invasion par les francs de l’Egypte, Saladin vizir.
Tu as 13 ans et les yeux verts de Fayza attire ton regard. Elle est belle, si belle. Belle comme un des huit anges autour d’Allah. Tu en as les joues qui chauffent, un sourire timide lorsqu’elle t’adresse la parole de sa voix chantante. C’est la fille d’un émissaire de Bagdad, venu négocier avec le calife une paix relative. Elle est âgée de deux ans de plus que toi et tu en tombes éperdument amoureux à chaque rencontre. Son intelligence, sa voix chantante, sa musique t’attirent. Un baiser sera échangé dans une alcôve du palais, sans un témoin, tant l’amour est tendre, palpable. Rien de plus avant un mariage, célébré en JUIN 1163 qui tire quelques larmes à ta mère. La même année, une première expédition de Nud ad-Din sauve l’Egypte des francs.
Lors de la seconde excursion des francs en 1167, ta famille pleure Ismail, ton troisième frère, emporté par la guerre dans les troupes du calife. Tu comprends que le califat fatimide est en train de tomber en ruine et que les drames de Tunis risquent de se reproduire. Tu comprends qu’il faut partir. Fayza porte votre second enfant quand vous décidez de partir vers la cour du jeune vizir Saladin en 1169. Vos pas vous mènent jusqu’à Alexandrie ; tu es accueilli au sein de sa cour en tant que son médecin personnel, Fayza joue pour son épouse. Peu à peu, vous vous attirez ses faveurs, ses confidences.

FIN D’ANNEE 1169 – ALEXANDRIE ; Siège de Damiette par les francs et les byzantins, Saladin les écrase.
Votre second enfant, un fils, nommé Hamza Al-Hamin, né dans les nouvelles anxieuses que vous attendez du siège de Damiette. Tu pries Allah de veiller sur toi, ta famille. Tu as peur de voir ta vie s’effondrer de nouveau, de connaître un nouvel exil. Mais Saladin gagne et vous soupirez de soulagement.

1171 – ALEXANDRIE ; Fin du califat fatimide, prise de pouvoir de Saladin.

1172 – ALEXANDRIE ; Naissance de ta fille, Husni Al-Amin. Mort de ton père dans les conquêtes de Saladin.

1174 – ALEXANDRIE ; Saladin consolide son pouvoir et fonde sa dynastie.

1175-1187 – DAMAS, ALEP ; La famille suit Saladin et ses conquêtes.
Saladin décide de poursuivre ses conquêtes alors tu le suis. Tu emportes avec toi, femme et enfants, suivant son armée. Tes enfants (au nombre de six), grandissent entre les guerres, la religion et la musique que leur mère joue dans les camps, les villes où vous passez. Tu soignes Saladin, ses proches sans te plaindre, ni objecter. Au contraire, tu l’admires en l’écoutant. Il est las des guerres mais veut unifier les tribus en guerre depuis de trop nombreuses décennies. Il veut solidifier un royaume que les francs ne pourront prendre. Tu perçois le leader, l’unificateur, l’infatigable. Ton premier fils, Hamza, tombe amoureux à Damas et s’y installe, quittant brièvement Saladin pour fonder sa famille. Alors que vous repassez par Damas, Saladin ordonne à Hamza de rejoindre son armée. Tu t’y opposes, tu batailles avec le Sultan. Il finit par ne pas prendre ton fils mais il te prend toi. Tu mets Fayza et le reste de ta progéniture à l’abri à Damas avant de descendre dans l’armée de Saladin vers Jérusalem. Les tiens pleurent lorsque tu pars. Ils savent que tu n’es pas né guerrier, ils savent que c’est la dernière fois qu’ils te voient mais c’est ainsi ; ce sera une vie pour une vie.

30 SEPTEMBRE 1187 – JERUSALEM ; Première mort, renaissance.
C’est un miracle que lors du siège de la ville triplement sainte, tu ne sois pas un des premiers à mourir. C’est un miracle que tu arrives à tenir le sabre, à le brandir, à tailler les chaires des croisés. L’armée est en liesse et toi, tu supplies Allah de te pardonner cette violence. Tu Le supplies de pardonner les vies que tu prends alors que tu avais juré de les protéger.

Tu es envoyé par un officier au sommet des remparts de la ville pour brandir les couleurs du Sultan avec d’autres hommes alors qu’il négocie avec Balian d’Ibelin. Les croisés, d’un coup d’épée ; te coupent le souffle alors que tu bascules dans le vide, atterrissant lourdement. Tu te sens mourir, tu sens la vie s’échapper et les cieux t’ouvrir les bras. Tu fermes les yeux, certain de ta fin, sentant Allah t’embrasser comme son fils.

Et puis, il y a ce nouveau souffle de vie, deux jours plus tard. Tu ouvres les yeux, tu vois les morts tout autour de toi, tu te crois rejeté par Allah, tu te crois bannis aux enfers alors que tu rampes hors de la fosse commune. Tu finis par en sortir, les hommes jetant les cadavres prennent peur en te voyant et tu files vers la mosquée sans comprendre. Un Imam te rassure alors qu’il répand des odeurs de rose sur le sang laissé. Il t’embrasse, il te dit qu’Allah sait, qu’Allah a juste décidé que ton heure n’est pas venue. Mais tu es si perdu. Il te faudra les rêves, ce sentiment spécial, le visage de cet homme blond et grand qui finit par se matérialiser avant de comprendre. Tu as vécu une seconde naissance. Ta vie n’est pas finie et Il l’a décidé ainsi. Eirik y met des mots. Tu te sens tellement rassuré, apaisé alors qu’il n’est qu’un inconnu. Mais tu le sais, tu le sens ; cet homme est ta nouvelle famille. Le lien qui vous unit te dépasse. La peur, l’incompréhension font place à l’apaisement, à des mots que tu n’aurais jamais cru prononcer : « J’ai l’impression de te connaître comme mon propre frère. » Tu as l’impression qu’une éternité vous lie. Et tu n’as plus peur.  Tu n'auras plus jamais peur.

FIN DU XIIEME SIECLE-XVEME SIECLE – IFRIQYA, ANDALOUSIE, DAMAS ; Voyager pour se nourrir du savoir. Voyager pour oublier ceux qu'on a laissé.
Après 5 années passées au côté d'Eirik pour apprendre, soigner les blessures de savoir que tu ne pourras pas dire adieu aux tiens, tu décides de revenir vers l'Ifriqiya (le royaume d'Afrique du Nord englobant la Tunisie, un morceau de l'Algérie puis le Maroc). Tu pousses jusqu'à Marrakech, redescendant par l'Andalousie. Tu changes d'identité pour travailler à la cours du calife almoravide et aussi dans l'hôpital érigé spécialement dans la Casbah. Si tu trouves la philosophie almoravide trop austère, trop empreinte de persécution envers les religions soeurs de l'islam et leurs savants. Tu apprends énormément, tu savoures les connaissances, tu philosophes, batailles dans les mosquées. Tes idées t'attireront les foudres du régime en place et tu seras égorgé un soir en quittant la mosquée. Coup de chance ou de malchance, lorsque tu te réveilles, tu as légèrement changé d'apparence (des cheveux plus courts, une barbe plus foisonnante), c'est ce qui te permets d'en réchapper. Tu changes une nouvelle fois d'identité, de vie et tu retournes à Tunis. Là-bas, tu te lies d'amitié avec un homme qui deviendra ensuite ton amant avant de se faire dévorer par une maladie dont tu n'arriveras pas à le sauver. Tu le pleures mais tu ne veux pas renoncer à soigner, guérir, lutter pour les vies qu'Allah chérit.

C'est une folie quand tu retournes à Damas pour voir comment vont les tiens. C'est une folie quand une de tes filles te reconnaît et hurle au djinn. Tu t'enfuis mais ce sont les racines d'une rumeur qui a survécu parmi les tiens : un djinn veille sur eux. Faiblesse à l'âme ou au coeur, tu ne saurais dire mais ils sont ce lien qui t'ancre encore parmi les mortels. Et inlassablement, tu cherches à prendre soin des vies qui te sont confiés. Tu cherches à en garder le maximum, quand bien même, tu dois parfois déterrer les corps pour les examiner, comprendre les mécanismes, comprendre les maladies en les attrapant toi-même pour en mourir pour renaître.   Tu es persuadé que c'est là ton devoir, ta mission. Tu es persuadé que c'est là ta mission sur cette terre. Et tu la poursuis, ne cessant pourtant pas ton contact avec Eirik, te débrouillant pour le retrouver à certains moments. Tu ne sais pas rester loin des tiens.

1492 – GRENADE ; Prise de Grenade par les rois catholiques d'Espagne, recul des musulmans.

18 AVRIL 1563-XVIIIEME SIECLE - ENTRE L'EGYPTE ET L'EUROPE  ; Première mort de Santiago.
Tu le sens mourir. Tu l'entends mourir alors que ta main se porte à ta gorge à ton réveil, que la sueur, l'angoisse se répandent dans tout ton système. Tu sais, vous le savez tous les deux avec Eirik : une autre âme a rejoint votre constellation. Les rêves, les souvenirs se mêlent. Son visage se tisse et tu abandonnes tout du jour au lendemain pour le rejoindre. Eirik est poussé à la même chose. Vous mettrez un an à le retrouver. Santiago est si différent de vous deux. La première rencontre t'étire un sourire ; il est si différent d'Eirik, de toi. Tu sens l'impulsivité, la fougue, l'action avant la réflexion mais tu en ris de ce frère si différent. Tu l'aimeras comme tu aimes chacun des tiens. Et si tu aimerais que les siècles lui apprennent, tu sais qu'il n'en est rien. Tu sais qu'il est impossible de changer une âme. Mais tu acceptes, tu le serres contre ton coeur, tu l'accueilles avant que vos chemins se séparent - pas pour l'éternité - juste pour quelques années. Tu en profites pour aller voir l'Europe, cueillir des cultures que tu n'as fait qu'effleurer dans les histoires des marins. Tu es émerveillé par les langues, les saveurs, les savoirs que tu apprends. Tu écris des poèmes au nom d'Allah, au nom de Tunis, au nom des siens qui te manquent. Tu écris beaucoup aussi sur ce que tu vois, vis, tu dessines énormément. Tu noircis des pages et des pages. Tu commences aussi à récolter des choses ici et là, des objets de collections, des objets moins précieux que tu chéris, qui sont tes souvenirs.  

Grâce à Eirik, tu as un premier contact avec les enfants de Prométhée et tu les rejoindras. Tu y crois, tu veux faire le bien et le cultiver. Tu veux prendre soin des vies si fragiles. Et plus le temps avance, plus tu assistes aux plus belles prouesses de l'humanité mais aussi ses pires sévices. L'Europe te dégoute à se déchirer en guerres intestines que tu connais trop bien. Tu essaies de sauver des vies tant bien que mal, tu meurs pour eux parfois (trop souvent). Et puis tu as envie d'autres choses, tu embarques pour le nouveau monde, curieux de voir, découvrir.

1710 - CANADA  ; Première mort d'Ekaterina.
Tu es installé depuis une dizaine d'année à Montréal, participant à sa construction, en te faisant passé pour un médecin venu aider les colons. Et cette nuit là, tu rêves d'elle, tu rêves que tu t'enfonces dans l'eau glacée de la Neva avec elle. Tu rêves que tu meurs avec cette femme blonde alors qu'une autre étoile se met à briller parmi vous.  Tu sais au réveil, au rythme affolé de ton coeur, qu'il te faut partir, qu'il te faut la retrouver. Et comme un seul être, vous la cherchez. Vous la trouvez, vous l'accueillez. Tu tentes de la rassurer, de l'apaiser mais il y a quelque chose de terriblement fragile en Ekaterina. Il y a quelque chose qui te pousse à la protéger plus que les autres. Il lui faudra du temps, tu le sais. Mais vous décidez de ne pas la laisser mourir une seconde fois pour la protéger, pour la garder de l'horreur d'un autre traumatisme. Tu perçois pourtant bien l'intelligence de la jeune femme quand tu discutes avec elle. Tu perçois de la vivacité, de la curiosité et vous discutez longuement. Il y a beaucoup à apprendre de l'un et l'autre, il y a tant à cultiver dans ta nouvelle famille.

Après quelques temps passés à ses côtés, à vous retrouver, tu choisis de t'enfoncer en Asie, allant jusqu'en Inde pour y découvrir un peu plus, apprendre un peu plus sur la médecine, le monde si vaste, si grand qui change si vite. Tellement vite.

XVIIIEME SIECLE - 1980 - RETOUR EN EUROPE ; Les guerres, l'engagement dans la Croix-Rouge puis dans médecin du monde.
Le monde évolue, se modernise. L'humain construit des choses incroyables pour améliorer les vies (les chemins de fer, l'électricité, les avions) mais ils inventent aussi pour tuer. Tu pries Allah, tu le supplies de sauver les mortels de leur propre folie, de voir qu'ils sont nés frères et non, ennemis. Tu t'engages contre l'esclavage, tu t'engages à sauver tout ceux que tu peux sauver, rechignant toujours à te battre, refusant de tuer, blesser. Tu retournes à l'université pour compléter ta formation. Tu apprends, tu dévores et où que tu passes tu répands le bien autant que tu le peux.

Et tu t'engages dans les associations humanitaires qui naissent avec les ravages des Hommes. D'abord la Croix-Rouge, qui ne portaient pas ce nom, avec lequel tu deviens médecin dans un des hôpitaux en marge des tranchées durant la première guerre mondiale. Tu sauves qu'importe le nom, qu'importe l'origine. A un moment, tu passes à l'ennemi et tu les sauves aussi. Et tu ne renonces pas. Tu refuses d'abandonner ces gueules cassées, cette misère humaine qui supplie, qui quémande. Lors de la seconde Guerre Mondiale, tu caches les minorités persécutées, tu les aides à passer sous les radars avec ton don de persuasion jusqu'en Algérie ou en Angleterre. Tu es certain que c'est ce qu'Allah voudrait. Comme tu es certain que c'est Sa volonté de t'impliquer dans la décolonisation des différents pays sous le joug des occidentaux. Mais tu es incapable de tuer, de t'impliquer dans des guérillas sanglantes. Tu milites pacifiquement, tu te fais tuer à certains moments mais tu acceptes.

Tu rejoins Médecin sans frontières à sa création et tu les quittes avec une poignée de dignitaire français lorsqu'ils refusent d'intervenir pour les people boat. Tu feras parti de la création de Médecin du Monde et tu embarques pour le Viêt-Nam pour sauver ces gens qui fuient l'horreur. Tu les soignes, tu dénonces les sévices faits aux droits humains. Il y a même une photo où on peut te voir dans les archives, tenant une enfant dans tes bras, pansant ses plaies.

PRINTEMPS 1995 - PARIS ; Mort de Pham Tuyên.
Comme pour toutes les âmes vous rejoignant, tu la sens mourir. Et tu rêves d'elle, de son visage, de ses yeux, de sa peur. Résidant à Alger à l'époque, tu n'as qu'une mer à traverser pour la rejoindre à Paris. Tu te mets en marche sentant un lien plus fort, sentant quelque chose se nouer entre vous d'irrépressible, d'incroyable. Depuis longtemps, tu as peur, peur qu'elle ait peur de toi, peur qu'elle ait mal, d'avoir mal. Allah te susurre, pourtant, qu'il faut y aller. Qu'elle est ta prochaine destinée.

Tu trouves Tuyên après des longs mois de recherche, refusant de faire appel à un détective privé mais te fiant à ta constellation et aux enfants de Prométhée pour y arriver. Tu es anxieux lorsque tu entres dans l'immeuble, tu n'as pas eu le coeur qui tanguait autant depuis des siècles - ta constellation le sait. La petite voix féminine le fait d'ailleurs bondir lorsqu'elle demande : « Qui êtes-vous ? ». « Un ami. Un ami qui vous veut du bien. », tu murmures avec calme et douceur. Elle fronce les sourcils, elle hésite, se demande et tu lui susurres pour la convaincre que tu sais ce qu’elle est, ce qu’elle vit, qu’elle est morte et que tu ne veux que l’aider. Elle te laisse entrer et tu remercies Allah.

Ces dons se sont déclarés et tu perçois la fatigue, l’absence de soin de son logement, l’angoisse qui la mastique et la dévore. « Je suis là pour t’aider. Allonge-toi, je vais prendre soin de toi. » et d’une piqure de somnifère, de bouchons glissés dans les oreilles, elle s’endort. Tu prends soin du ménage, de la cuisine pendant qu’elle rêve. De temps en temps, tu passes ta main dans ses cheveux pour la rassurer, murmurant en arabe que « Tout va bien. Je suis là. Rien ne t’arrivera. ». Promesse doucement glissée dans une langue qu’elle ne peut comprendre. Promesse gravée depuis qu’elle s’est éveillée en tant que l’une des vôtres.

Le temps est doux à ses côtés alors que tu lui apprends qui elle est, que tu montres sur des pages noircies à quoi ressemble Eirik, Santiago, Ekaterina et Annabelle. Alors que tu la rassures sur ses capacités, que tu lui apprends aussi. Et puis, tu lui dis de partir de Paris, de ne surtout pas y rester. Les dangers sont nombreux pour les immortels. Un instant, tu hésites à lui demander de te suivre, de rester à tes côtés mais il est trop tôt et tu n’es pas homme à insister, à t’imposer. Alors elle s’évade mais vous restez en contact. Vous parlez énormément. Et de la pointe d’un pinceau, tu retraces ses traits une fois rentrée. Et il y a comme un troisième éveil ; tu as tant aimé durant tes si nombreuses vies, tu as tant perdu aussi mais cette fois, ton coeur est terriblement lié à celui de Tuyên. Cette fois, Allah te susurre qu'elle est faite pour toi. Qu'il n'y aura plus qu'elle. Et que c'est le plus beau cadeau qu'Il puisse te faire.

TW: islamophobie.
2000- 2020 - TUNIS ; Luttes contre le terrorisme, islamophobie, Astra et Eirik.
Les attentats du 11 SEPTEMBRE 2001 précipitent le monde dans l'horreur. Il y a comme un avant et comme un après à cette date. Il y a comme une peur de l'islam qui s'installe et avec elle, un rejet qui fait mal. Toi qui as tant vu, tant vécu, tu sais comme les divisions sur les religions, entre les êtres fait mal. Toi qui sais, tu sens se précipiter l'horreur lorsque qu'en 2002, on te refuse l'accès aux Etats-Unis parce que tu n'as pas la bonne religion, le bon passeport, que ton accent est trop marqué. Alors tu restes un moment à Tunis. Et avec Tuyên, vous prenez la décision de te créer deux identités : une pour les pays du Maghreb dont tu ne sais rester éloigné et une autre pour les Etats-Unis, les pays européens. Et tu t'inscris dans des luttes pacifiques pour faire valoir les droits des musulmans qui n'ont pas demandés à être associés aux organisations terroristes, qui ne demandent que la paix.

En 2011, tu assistes au soulèvement des tunisiens lors du premier printemps arabe. Tu y participeras, descendant dans la rue, scandant avec eux les "Dégages" pour faire partir le dictateur tunisien qui bouffe depuis de trop nombreuses années ton peuple. Tu soignes les militants tombés lors des manifestations. Tu soignes, même ceux qui n'ont pas les moyens d'accéder aux soins que tu prodigues. Mais toi qui avais tant d'espérances, tant de foi en ces révolutions, tu assistes, impuissant à la prise de pouvoir d'un parti islamiste, enfermant un peu plus ton pays dans un hiver profond, glacial. Alors, tu renoues avec tes engagements humanitaires. Tu sauves les naufragés de la Méditerranée, fuyant pour leurs vies. Tu essaies tant bien que mal de sauver autant de vies que possibles : infatigable, inarrêtable, y croyant encore et encore. Oui, tu crois en l'Humanité, en sa mortalité. Oui, tu crois que tu peux encore les protéger, les aider. Et si tu ne le fais pas, que pourrais-tu te dire à toi-même ? Pourrais-tu dormir la nuit en sachant que tu en as laissé mourir ?

En 2017, tu changes de nouveau d'identité et tu immigres vers l'Europe. Le temps court et tu sais qu'il te faut préserver ton secret. Tu deviens Ziya Tawfiq, médecin du monde, ayant fait des études prestigieuses en Angleterre, allant découvrir les Pays-Bas pour finir par en tomber amoureux.

Tu entends parler des projets d'Eirik de se rendre à New-York pour une exposition sur les vikings. Un SMS est simplement envoyé : « Nous avons tous nos faiblesses. L’exposition sera intéressante. Prends soin de toi et retrouvons-nous, akhi (mon frère), après ça ? Ta présence me manque déjà. » Tu ignorerais que vos vies basculeraient tant en 2020. Mais tu sais qu'il y a un problème quand tu rêves de nouveau d'Eirik, accroché au brancard, mourant plus ou moins lentement. Tu t'éveilles en sueur, le coeur battant à tout rompre. Tu appelles les tiens ; Eirik a été capturé, Eirik est torturé et vous le sentez tous. Et vous ne resterez pas les bras croisés. Il faut d'abord tempérer, calmer Santiago pour l'empêcher de foncer tête baissée et puis, il faut s'organiser. Le plan se tisse et un à un, vous arrivez à New-York. Vous foncez vers Amaranth Pharmaceuticals. Et si tu ne tues pas, tu endors de seringues remplis de somnifères. Tu fais oublier de quelques paroles avisées. Santiago préfère la violence, toi, le pacifisme. Et enfin, vous tirez Eirik de ce fichu brancard. Vous saccagez le laboratoire, effacez toutes traces de votre passage grâce à Tuyên. Si tu restes quelques jours à ses côtés, veillant un moment, tu sais qu'il te faut vite partir vers l'Alaska pour y retrouver Tuyên. Tu essaies de convaincre Eirik de partir sans se retourner. Parce qu'ils vont le chercher, parce qu'ils sont sur ses traces. Et tu es terriblement inquiet ; sa douleur fut tienne. Mais il y a quelque chose qui l'ancre et il ne peut partir sans. Un sourire s'étire, sans autres mots, tu comprends ; l'amour est imprévisible et terriblement irrésistible. « Présente-la-moi, un jour. Je suis curieux. » Curieux de savoir qui a fait fondre le calme, le stoïcisme du viking.

Et cette fois, tu le quittes pour rejoindre Tuyên. Tu la serres contre ton coeur, tu la serres tellement fort quand tu l'as face à toi. Les vidéos, les brefs moments d'accalmie ne sont jamais suffisants mais tu as appris à ne pas être trop gourmand, envahissant. Tu as appris à être patient parce que si elle est ta destinée, si tu le sais, tu sais comme les vertiges du coeur donnent le tournis, des palpitations. Il y a une peur féroce, véloce de la faire fuir, de la terroriser en parlant de ce qui t'enracine à ton âme quand tu es face à elle, quand tu penses à elle. Et pourtant, la proposition qu'elle reste dans cette grande maison en périphérie d'Anchorage avec toi demeure. Tu as envie que plus rien ne vous sépare. Un rougissement, elle hoche la tête, elle accepte et tu ne peux que l'embrasser avec douceur, lenteur.

Cette nuit-là, alors que Tuyên et toi, vous vous êtes endormis dans le canapé du salon, le visage d'Astra se dessine. Son âme rejoint silencieusement les vôtres, liant son destin aux vôtres. Le regard que vous échangez avec Tuyên est sans questions : une autre étoile est née au sein de la Grande Ours. Et vous avez bien vus Eirik la tenir, la voir mourir puis revivre. Vous savez alors que vous faites vos bagages pour Saint-Pétersbourg pour la retrouver, la rencontrer ; elle est le dernier amour d'Eirik, le seul qui mérite d'être vécu pour des milliers d'années. Et autant, il y a l'excitation, la curiosité de la connaître. Autant, tu sais comme elle doit être perdu, comme on l'arrache à son monde pour la propulser dans un autre : inconnu, terrifiant, amer. Et en prenant l'avion, les doigts caressant le poignet de Tuyên, tu te demandes si elle n'aura pas trop peur. Tu te demandes si elle verra, saisira la beauté de ce qui vous lie, vous unit. « Elle doit avoir si peur. », laisses-tu échapper, évader dans des pensées distraites. Comme vous l'avez tous eu cette peur dévorante, brûlante. Et pourtant, le destin vous pousse les uns vers les autres. Et pourtant, tu ne cesses de les aimer, de les adorer.


Dernière édition par Ziya Tawfiq le Lun 5 Avr - 16:30, édité 20 fois
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 18:16

hello you joy
trop hâte de lire la suite coeur
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 18:53

Ahh voilà le second !!

Hâte de voir ce que tout ça va donner excited

Bon courage pour l'écriture ! joy
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 18:57

Bienvenue parmi nouuuus ! Hate de lire cette fiche au complet, alors bon courage pour la fin de rédaction excited
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 19:06

IL EST SI DOUX feels precious
bienvenue dans la constellation des plus doux tinyheart keur et puis ce choix d'avatar, Marwan a toujours été mon premier choix pour ce rôle, je suis ravie que tu l'aies choisi wow le début de ta fiche, olala keur bril j'ai hâte de lire la suite tinyheart bon courage pour la rédaction et si tu as des questions, n'hésite surtout pas wow
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 20:56

Bienvenue à toi, hâte de découvrir ton personnage angel
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 21:45

déjà les Lucie sont les meilleures, juste voilà ça commence bien uhuh
je te souhaite la bienvenue parmi nouuuuus hi
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mar 30 Mar - 21:50

Je suis déjà tellement fan de ce début de fiche, il est si doux eyes eyes bienvenue parmi nous ! Je suis contente de voir que tu as craqué pour notre Salim et j'ai déjà hâte qu'on puisse rp ensemble keur keur
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mer 31 Mar - 1:54

Non mais ce personnage ? Cet avatar ? Cette perfection ? pleure

Hâte de lire les aventures de cette nouvelle addition à la grande Ourse hmhm

Bienvenue sur le forum !
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Mer 31 Mar - 14:56

Bienvenue à toi coeur

Hâte d'en savoir plus sur ce personnage

Bon courage pour la suite blueheart
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Ven 2 Avr - 10:17

team z Arrow
j'adore le personnage de "salim" et j'aime beaucoup la nouvelle interprétation, sa philosophie de vie, quel gentleman. j'avais un lien avec l'ancien donc je viendrai aussi t'embêter (entre poètes hehe). bienvenue officiellement ! :3
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Dim 4 Avr - 20:19

@Phâm Luu Ly la plus belle tinyheart bril tant d'amour pour toi, tellement hâte de jouer avec toi hearteyes

@Nevada Koad ouiii on arrive à deux bril merci pour tes encouragements en espérant que ça te plaise pleading

@Alastair O'Connor Merci beaucoup cutie ça fait trop plaisir ce super accueil excited

@Astra Ackerman ebfbebbhfebeb cutie kisskiss keur coeur bril
c'est toi la plus douce, la plus tendre - et tu fais fondre Eirik coeur oh je suis tellement contente que le choix d'avatar t'aille coeur
tout cet amour que tu me donnes sur ma fiche, le personnage alors que c'est toi avec Eirik qui avait eu l'idée de ce pl qui est une telle perfection coeur j'espère que la fin de ma chrono t'ira tinyheart et merci merci, ça me fait tellement plaisir d'avoir rejoint cette constellation de l'amour teary

@Ada Lemay merci tinyheart j'espère qu'il te plaira kisskiss

@Mairead Belacqua oh merciii teary et ouiiiii, les lucie c'est les meilleures hearteyes on est trop fab héhéhé laugh

@Eirik Aaronson abbhehbh fall teary si tu savais comme tes commentaires me font plaisir bril j'ai trop hâte qu'on joue ensemble teary si tu as un peu de temps je veux bien que tu lises ma chrono pour me dire si ça te va aussi family et oui réserve-moi un rp sexy je te laisserai pas m'échapper de toute façon cutie

@Iván Milošević ooooh merci pour la douceur de tes commentaires teary family ça me fait trop trop plaisir et j'espère qu'on pourra avoir un super lien kisskiss

@Mérèben Nemeth merci fall teary j'espère que la suite te plaira keur

@Zyanya Sáenz oooh oui la team z coeur bril (une des meilleures team du forum keur )
oh je suis tellement contente que le perso te plaise et promis je viendrai te voir pour ce lien avec l'ancienne version. bril je suis sûre qu'on peut faire des belles choses ensemble. bril merci beaucoup hearteyes
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Dim 4 Avr - 21:31

Bienvenu avec ce super personnage ! J'ai hâte de le voir en action sur le fo' sourire
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Lun 5 Avr - 12:28

mais quel personnage interessant ! je connais pas le FC mais alors je trouve qu'il dégage un truc fort charismatique !
BIENVENU PARMIS NOUUUUUS !!! hâte de voir ce que tu vas en faire en jeu !
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Lun 5 Avr - 17:06

@Catrìona Winters oh merci brille c'est gentil pour le personnage brille

@Caïn Roseburn merci beaucoup pour tes compliments, ça me fait super plaisir excited pleading et j'espère que la suite et fin continuera à te plaire pleading
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(#) Re: soft hearted & strong minded ; ziya    Lun 5 Avr - 18:35



fiche validée
- félicitations ! -

Oh mais quelle fiche, quelle fiche pleading pleading Elle est tout simplement parfaite keur J'ai adoré te lire, ta plume est superbe wow Quel plaisir de voir Ziya arriver dans la constellation bril J'ai hâte de RP avec toi, donc je te dis à très vite keur Amuse-toi bien parmi nous wow

Les petites choses à faire après sa validation :

Maintenant que votre personnage a été validé, il ne vous reste plus que quelques petites choses à faire avant de pouvoir vous lancer dans l'aventure en RP tinyheart Tout d'abord, n'oubliez pas de remplir tous les champs de votre profil (sauf ceux ne vous concernant pas, évidemment). Ensuite n'oubliez pas de créer votre fiche de liens, très importante pour que nous puissions vous demander de super liens et des RPs owi Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi créer un téléphone, pratique quand on veut communiquer avec quelqu'un qui ne se trouve pas sur le même continent hi Et, pour les immortels, rendez-vous ici pour proposer vos constellations cutie Et voilà, vous n'avez plus qu'à vous amuser, bon jeu sur Ad Vitam Aeternam wow
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