intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
nous soutenir



pub rpg design
Nous manquons de mortels et de membres de l'Ordre de l'Hydre !
✷ Avant de créer votre constellation, n'oubliez pas de jeter un coup d’œil aux scénarios et aux pré-liens du forum !
✷ Pour vous faire une idée des personnages et des statistiques du forum, c'est par ici.
Le Deal du moment :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où ...
Voir le deal

 

 To strike a deal | Lova & Matheus

Aller en bas 
Chiranth Pasavan
Chiranth Pasavan
IMMORTAL — forever is not enough
pseudo : paigie
autres comptes : Marisol, Benjamin
crédits : leahn (avatar)
messages : 259
To strike a deal | Lova & Matheus 825d00a2baa83c2e3438177045f5581485cc160a

To strike a deal | Lova & Matheus Empty
(#) To strike a deal | Lova & Matheus    Sam 5 Mar - 13:29

To strike a deal

 
c/t. warnings : //
  participant.es : @Lova Pavlenko & @Matheus Morales

 


 
When you face 28 thousand doorways, or you laugh hoping for an escape, when you day is 24 hours of heartache,well show me the way you pray. You know that it’s not your fate, not today. When the wildfires leave you no way out, I’ll scream up to the sky with you. When the wildfires leave you no way out, my door is always open to you. Wildfires, Hudson Taylor.


 
(NEW YORK, FIN FEVRIER 2022) « Je dois juste déposer quelque chose à une amie. » Ce sont ces mots que Chiranth utilise pour s’éclipser quelques heures. Ce n’est pas comme si Adrian et lui sont attachés à la hanche, de toute façon, mais il est vrai qu’il aimerait passer plus de temps à New York, à profiter de sa présence apaisante, à s’en rassasier jusqu’à enfin en avoir assez, avoir besoin de respirer et de retrouver un espace rien qu’à lui. Comme n’importe quel couple. Trouver un équilibre, être sûr de retrouver l’autre homme en rentrant chez lui - chez eux si jamais un tel lieu pouvait jamais exister… Chiranth soupire en sortant de la bouche de métro. Avalé par la foule, visage anonyme dans l’air encore trop frais de février, il enfonce un peu plus ses mains dans les poches de son manteau. Il a pris différents métros, a changé de station à pieds, est entré dans quelques magasins pour de menus emplettes. Tout ce qu’il sait faire depuis si longtemps pour brouiller ses pistes. Le rendez-vous a lieu dans un petit salon de thé comme il y en a tant dans Manhattan, un lieu où les professionnels se pressent pour prendre un gobelet de liquide fumant à emporter, où les étudiants et les touristes s’installent avec plaisir pour faire une pause des trottoirs grouillants de trop de vie.

Chiranth a pris un café crème et un cupcake myrtille. Il a un livre à la main sur lequel il n’arrive pas à se concentrer. Trop de choses passent et repassent dans sa tête, trop de questions sans réponse, trop d’appréhension pour ceux à qui il tient et à comment tout cela pourrait foirer en beauté… Il n’a pas revu la conseillère depuis cette dernière mission au Canada. Les mois ont passé et il est proche de Rahim que jamais, mais le souvenir de ses jours compliqués laissent un arrière-goût désagréable dans sa bouche. Soit. Aujourd’hui elle est sa planche de salut et ce n’est pas la première fois qu’il a à ravaler sa fierté pour survivre. Quelle ironie, pour un immortel ! Il tourne une page dans le vide pour donner le change et jette un coup d'œil à sa montre. En retard. Voilà qui n’est pas si surprenant : Lova a une image à entretenir, peu importe qu’il soit question de trahisons, de deals et d’autres complots. Chiranth évite soigneusement de regarder la housse de trépied au sol. C’est presqu’avec soulagement qu’il fixe la femme qui prend enfin place en face de lui. Il referme son livre, le pose sur le côté, et prend une gorgée de café. Il est tiède, constate-t-il avec une légère grimace. « Bonjour, Lova. Bonne année à toi. » La légère animosité n’empêche pas la politesse, pas vrai ? « Je crois savoir que Bastian avait trouvé un accord avec toi. Comme je te l’ai dit dans mon message, je viens t’offrir autre chose. En échange du même prix, bien évidemment. » La lance, il est hors de question d’aller la trouver après ce que Bastian lui a raconté sur son dernier tête à tête avec Rosalyn. Le sabre, en revanche, ils l’ont depuis belle lurette et il ne leur apporte que des complications. Des complications oui, mais aussi une sécurité face aux tensions qui courent entre les factions qui s’arment toutes… Ils ont vraiment intérêt à trouver ce satané arc où ils seront des pions de plus dans la guerre qui menace, rien que de la chair à canon.

 

  fait par sovereign (css © ad vitam aeternam)
Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité

To strike a deal | Lova & Matheus Empty
(#) Re: To strike a deal | Lova & Matheus    Sam 2 Avr - 13:16

To strike a deal

 
c/t. warnings : //
  participant.es : @Chiranth Pasavan & @Matheus Morales

 


 
When you face 28 thousand doorways, or you laugh hoping for an escape, when you day is 24 hours of heartache,well show me the way you pray. You know that it’s not your fate, not today. When the wildfires leave you no way out, I’ll scream up to the sky with you. When the wildfires leave you no way out, my door is always open to you. Wildfires, Hudson Taylor.


 
(MEXICO, 18 FEVRIER 2022)
Déchirés, crevés, suant l'alcool, on finit par rentrer à la maison. Ca fait deux jours qu'on a décampé, alpagués dans des soirées diverses, profitant des chaleurs surprenantes, pour un mois de février. Des températures qui ont le mérite d'être tolérable, pour cet enfer que représente le Mexique l'été. Après nos quelques semaines passées dans le froid de Russie, j'ai vu Mathy revivre… Mon téléphone bip alors que je regagne mon lit. Bordel qui envoie des messages si tôt à… Aucune notion de l'heure qu'il peut être cela dit, j'allume l'écran et vois s'afficher 10h. Ouais. Bon. J'aperçois en même temps l'expéditeur et je râle d'avance. Ca pue le boulot à plein nez. Je me redresse péniblement, lis le message en marchant de travers, mes réflexes m'évitant de me prendre un mur ou de me taper le coin d'un meuble. Ca a beau ne pas me faire mal, c'est extrêmement agaçant. Mes yeux pas très en place dans leurs orbites, le cerveau bien embrumé, je dois m'y reprendre à plusieurs reprises pour comprendre le sens basic de ces pauvres quelques mots. Poussant sans gêne la porte de la chambre de Mathy, je m'affale sur son lit. Loin, très loin d'avoir la posture d'une sirène. Agitant mon téléphone en l'air à son attention, pour lui montrer le message, je précise. < Chiranth. New York. Завтра ? > … On n'est pas sur de la grande précision, mais dans ma tête, ca fait parfaitement sens. Je poursuis avec un peu plus de détails, toujours en russe. < C'est sûrement Wayak' qui se défile. Ou je lui ai fait peur. Mais j'y crois moins. Il envoie son larbin pour régler leurs affaires. C'est sûrement pour du blabla inutile, jamais ils ont pu dégoter un artefact en 3 mois. Ils vont me refiler un cadeau bidon pour Marius. > Je commence à me glisser sous sa couette, la flemme de me lever pour retourner dans ma chambre. Avec un bâillement, je lui demande d'un air angélique, < Tu peux me trouver un billet d'avion pour ce soir ? Et retour pour demain ? > Malgré tout, faut bien que j'aille écouter leurs jérémiades. Ce sera rapide, je compte pas m'éterniser là-bas. J'ai jamais aimé cette ville, elle pue le conclaviste.


(NEW YORK, 19 FEVRIER 2022)
Finalement, c'est à deux que nous débarquons dans la grosse pomme. Mathy insistant pour venir et moi n'opposant pas tellement de résistance. On pourrait presque parler d'abus de faiblesse… Pas tellement remis de la veille, on est arrivé tard, hier soir. Pile poil à l'heure où les bars s'animent, comme c'est étrange… Là encore, aucune résistance n'a été opposée à l'appel de la nuit. On a même fini la nuit dans un petit after sympathique en rooftop sur Manhattan. Ca tombe bien, c'est le quartier que Chiranth a choisi pour notre rendez-vous ! Après quelques heures de sommeil obtenues dans le lit de sombres inconnus, on s'est levé à la bourre, la tronche enfarinée. Heureusement Mathy a de quoi nous donner un peu d'énergie. Piquant des fringues plutôt distinguées (ca change) dans le dressing de nos hôtes, on s'est finalement rendu au salon de thé. Enfin, je. Ca détonne particulièrement des lieux qu'on a écumé. Ce type d'endroit, c'est pas trop notre tasse de thé… Mathy reste en retrait, à jouer au parfait petit espion, écoutant ce que perçoit le petit micro espion dissimulé sur moi. A l'entrée du salon, je repère rapidement le petit Chiranth assis avec son café. Je me glisse sur la chaise en face de lui, non sans remarquer la housse posée au sol. Mathy aurait-il eu raison de m'accompagner ? On va garder cette pensée pour soi hein. < Mais une bonne année à toi aussi, mon cher Chiranth. > Je lui réponds avec un sourire dans un anglais parfait, quelque peu railleuse. Voilà un moment que nous ne nous étions pas retrouvés. Entre l'épisode Rahim et sa disparition en compagnie de l'autre maya, on n'a pas tant eu l'occasion de se voir. En parlant de l'autre, justement. Chiranth sait attirer toute ma curiosité. Ce que j'apprécie au moins avec lui, c'est qu'il va droit au but. Pas de détours inutiles, d'échange de banalités pour gagner du temps. J'acquiesce doucement la tête à ses dires, indiquant d'un petite coup de pied la housse. < Si c'est une peinture d'une valeur inestimable, Marius en a déjà des tas. > Je déclare un peu sèche. Il n'y a pas grand-chose qui arrivera à contenter notre suprême leader et je doute que ce soit ici présent. < Il est où Wayak'? > J'ajoute, le regard faisant rapidement le tour du salon, quelque peu suspicieuse de ne pas le voir. Il serait bien du genre à être planqué comme Mathy, tiens. Est-ce que ces imbéciles m'auraient tendu un piège quelconque ?


Завтра (zaftra) : demain
 

  fait par sovereign (css © ad vitam aeternam)
Revenir en haut Aller en bas
 
To strike a deal | Lova & Matheus
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» (lova & matheus) let's kill tonight
» It's where my demons hides •• Matheus&Lova
» — matheus & lova (+1202-555-0498)
» Home is wherever I'm with you ❅ Matheus
» — matheus morales (+52 55 7699009)

AD VITAM AETERNAM :: new york
Sauter vers: