intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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(#) In this, we will not be defied | ft. Gabriella    Lun 11 Jan - 12:52





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ft. @Dante Farinelli & @Gabriella Farinelli



Les jambes surélevées par l’accoudoir, l’homme se cale nonchalamment dans le fauteuil recouvert d’un velours pourpre. Cherchant une position confortable, un livre à la main, l’italien profite de ce moment simple pour respirer pleinement. Un regard jeté en biais à sa sœur non loin de là, il sourit doucement. Le retour au bercail a ce don d’apaiser automatiquement le Farinelli. Même ses pulsions les plus dévastatrices ne peuvent résister aux bienfaits de sa Rome adorée, et il jubile secrètement de ces breaks fièrement accumulés au fil des années. Bien entendu, il ne faut pas rêver : les jumeaux ne demeurent jamais trop longtemps dans leur ville natale, ni dans le même établissement. Pour l’occasion, les deux se sont d’ailleurs offerts une réservation dans une sorte d’appart-hôtel, histoire que leur confort soit entier et que personne ne daigne les déranger. La tranquillité est importante pour les immortels, tant leurs vies ne cessent de se mouvoir en dépit du temps qui passe bien trop lentement. Ils ont donc pour coutume de s’assurer que leurs voyages dans leur pays d’origine soient toujours proches de la perfection, ceci dans le but de profiter, de se ressourcer. Et souvent, de se retrouver, comme la famille qu’ils sont et ont toujours été. Soupirant d’aise, Dante entame donc la lecture d’un manuscrit obtenu récemment, cédant pour une fois à l’ère contemporaine et son don pour l’édition de multiples thrillers en tout genre. La matinée se profile ainsi calmement pour les jumeaux, chacun vaquant à ses occupations pour le début de la journée. Les jours ont beau être courts, les deux ont pour habitude d’entamer ces derniers comme bon vouloir. De si bon matin, après tout, il n’y a pas de quoi se précipiter. En plus, Rome n’a que très peu changé depuis leur dernière visite. Ils auront donc suffisamment de temps pour eux pour se dégourdir les jambes en pleine ville.

Cela ne fait pourtant que quelques minutes à peine que le blond s’est posé, quand des coups sont frappés à la porte de leur location. Un bruit secondaire accompagne les sourdes percussions, tel un grattement de papier porté par le vent. Dante fronce les sourcils et interroge sa sœur : « Tu attends de la visite ? » Il est persuadé que non, les Farinelli n’ont pas pour habitude de ramener dès le premier jour de leur pèlerinage sacré de sombres inconnus. Il demande toutefois par réflexe, avant de se relever, dépliant ses longues jambes pour se rapprocher de l’entrée. L’être ouvre primairement la porte, s’avançant de quelques centimètres pour regarder à gauche et à droite du seuil. Mais à sa surprise, personne n’est présent, ni même distancé dans les couloirs. Seul un silence d’or lui répond, l’obligeant à refermer la porte en un claquement agacé. Ses yeux se posent ensuite à ses pieds, et il fronce les sourcils, réalisant qu’il marche sur un mot glissé par la feinte sous la porte. « Qu’est-ce que ? » L’immortel se baisse prestement, ramassant une feuille pliée en deux garnie d’encre noire, qu’il lit rapidement. Un juron italien s’échappe alors d’entre ses lèvres, et il se rapproche rapidement de Gabriella en lui tendant le message reçu ce jour : ‘Dernier avertissement : obéissez, ou payez-en le prix. Retrouvez-moi au Colisée, à 21h. Prenez garde aux conséquences si vous décidez de m’ignorer une nouvelle fois, immortels.’ Dante secoue sa tête, les bras croisés sur sa poitrine qui se gonfle à rythme rapide. Le sang chaud en lui ne fait qu’un tour alors qu’il s’offusque très vite : « Encore ce padrino qui nous menace. Le vieux doit lui-même avoir 80 balais, de quel droit ose-t-il nous parler ainsi. » Le parrain en question ? Un énième bandit à deux-sous, aux yeux de Dante. A ceci près que celui-là gère une mafia depuis quelques décennies désormais. Et cela fait maintenant plusieurs mois que les Farinelli reçoivent ce type de messages de la part du chef de l’organisation criminelle. Ils ne savent comment, mais ils ont dû être sous les radars du parrain depuis un sacré moment, pour que celui-ci ait vent de leur secret. Et ce ne sont pas les politiciens de Rome qui prétendent que la mafia est inexistante qui convaincraient les autorités de se débarrasser de ces gangs avant qu’il ne soit trop tard. Mais bon, on n’est jamais mieux servi que par soi-même, depuis le temps, le binôme en sait quelque chose.  « Il est malin, à 21h, il n'y aura plus les touristes du coin au Colisée. Et l’endroit est parfait pour nous tendre un piège. » Il a une envie de cracher à la gueule du vieux qui le prend, Dante, mais il se retient. Ses traits se durcissent et son regard est froid, tandis qu’il prononce d’un ton glacial : « Il faut s’en débarrasser. Et vite. » Les deux le savent, après tout, leur secret ne peut être éventé. Les conséquences pourraient être désastreuses pour eux, et pour le reste de leur lignée. Leur constellation pourrait en payer un énorme prix. C’est d’ailleurs pour cela qu’il précise qu’il faut que ça reste entre eux. « Juste toi et moi, sorella. Comme au bon vieux temps. » ajoute t’il en souriant. Il y a de la malice qui prend le dessus sur l’énervement. Parce qu’ils ont de quoi se remémorer les missions accomplies ensembles, jadis, au début de leurs premières renaissances, et même de leur temps à l’Ordre de l’Hydre, quand ils étaient encore unis là-bas. « Ce Don a bien vécu, il est temps qu’il passe à autre chose maintenant. Et puis, je suis sûr qu’il y a une foule de mafieux galeux prêts à prendre sa relève derrière. » Le blond ricane, un tantinet sarcastique. Le mythe de l’Hydre ne touche pas que leur faction. La mafia n’a rien à envier pour ça, sitôt qu’une tête tombe, une autre s’apprête déjà à pousser.  

Toutefois, l’italien n’est pas dupe. Se débarrasser d’un baron criminel ne se fait pas en claquant des doigts. Même pour deux immortels habitués à faire couler le liquide carmin des veines de leurs rivaux les plus hostiles. « S’il sait ce que nous sommes, il a dû se parer à nos représailles, tu ne crois pas ? » Difficile de tuer un immortel, mais pas impossible. Personne ne sait quand sera sa dernière mort. Alors si le vieux a programmé son gang pour tirer sans sommation, ils ont le temps de mourir un nombre incalculable de fois avant de se rapprocher du parrain. Et le pire, c’est qu’il serait capable de tout filmer puis de filer les scènes aux médias. Et ça, c’est le scénario le plus atroce possible. Remarquant sa sœur aussi songeuse que lui, Dante s’adoucit et murmure : « A quoi tu penses, Gabriella ? » Y a t-il déjà un plan qui se fomente lentement ? L’attaque, après tout, est la meilleure défense.


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(#) Re: In this, we will not be defied | ft. Gabriella    Lun 1 Mar - 10:53





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Retour aux sources, dans ce pays qui avait été témoin de sa naissance, revenant fouler de ses pieds qu’une fois tous les ans. Pèlerinage, entrepris qu’avec son frère tant aimé, qui était simplement assis dans un fauteuil bouquin à la main, ramenant l’Italienne à un passé bien trop lointain. Moment de simplicité, redécouvrant cette complicité avec ce jumeau qui lui avait tant manqué. Un sourire échangé, dans ce moment de complicité sourde. Tous deux réunis, elle avait cette impression de retrouver une part d’elle-même dont on l’avait privé pendant trop longtemps, même si cela n’avait été quelques mois. Oui, encore maintenant Gabriella sentait toujours autant incomplète sans ce frère non loin d’elle, malgré leur différent. Alors, elle l’aime le retrouver dans une certaine tranquille, profitant l’un de l’autre autant qu’il le pouvait, faisant en sorte que ces vacances passées de tous les tracas d’une vie banale, soit tout simplement parfaite. Cela ne faisait aucun doute que toutes ses raisons étaient la cause de cette chambre appartement qu’ils s’étaient octroyé pour se retrouver dans cette ville natale. Terminant tranquillement son petit-déjeuner, lisant le journal, elle commençant simplement sa journée tout comme son frère qui se plongeait dans une lecture. Atmosphère apaisant qui se dégageait de cette scène, moment presque habituel qui se jouait dans cet appartement qu’ils avaient loué pour l’occasion.

Moment perturbé par des coups frappant contre la porte, mouvement tête de la part de la Farinelli en direction de ce bruit perturbateur, fronçant les sourcils. Répondant à son frère « Pas que je sache. » N’ayant rien dit aux rares personnes de son entourage, personne ne pouvait savoir qu’elle était dans ces lieux. Son frère se levant, prenant la direction de l’entrée, elle retourne à sa lecture et son petit-déjeuner, le laissant gérer cette affaire. Bien qu’elle ne pouvait se demander qui cela pouvait bien être. Elle entendit le juron de son frère, relevant encore une fois la tête « Qu’y a-t-il ? » Alors que son frère lui tendait un morceau de papier. Un regard posé quelques instants sur ce bout de papier, avant de le prendre doucement et de commencer à le lire dans un froncement de sourcils qui se faisait de plus en plus prononcer, laissant un soupir lasse s’échapper de ses lèvres. Posant la note sur la table, terminant avec tranquillité son petit-déjeuner. Un regard posé quelques instants sur ce bout de papier, avant de le prendre doucement et de commencer à le lire dans un froncement de sourcils qui se faisait de plus en plus prononcer, laissant un soupir lasse s’échapper de ses lèvres. . Posant la note sur la table, terminant avec tranquillité son petit déjeuner. « J’aurais pensé qu’il avait déjà passer l’armée à gauche… Mais bon faut croire qu’il est plus résistant que je le pensais. » Prenant une dernière gorger de son café. Elle écoutait les paroles de son frère, eux un sourire à celle-ci. « Comme toujours, Fratello »Dante, avait raison, bien qu’elle eu pensé qu’il se lasserait au vu de son âge avancé et qu’elle aurait espérer qu’il comprenne que tout ceci n’en valait nullement la peine, il semblait que le vieux chien ne voulût nullement lâcher l’os qu’il avait trouvé. Pour elle, il n’était qu’une mortelle insignifiant, qui avec le temps se saurait bien vite régler. C’était pour cela qu’elle n’avait rien voulu faire contre ce mortel. Et pourtant, le revoilà à la charge devenant de plus en plus ennuyante. Elle revenait sur les paroles de Dante, à propos du lieu de rendez-vous, reprenant le mot qui leur était adresse. « Ceci dit, s’il avait été malin. Il aurait dû choisir un endroit bondé. Car ça nous laisse plusieurs options. Et comme tu dis, ce Don a bien vécu. » Voilà déjà Gabriella, pensée à divers plans, cherchant une faille, laissant filtrée une de ses pensées. « Il serait donc temps de le remplace par quelqu’un d’autre, peut-être. » Un sourire sur le visage, le regard se levant vers son frère, dont elle est sûre qu’il avait compris un de ses plans.

Car, l’Italienne n’était pas du genre à se faire prendre au dépourvue, même si elle était convaincue comme son frère, que le vieux avait préparer de quoi les recevoir. Elle prenait encore quelque temps pour réfléchir aux actions qui leur étaient possibles, se levant de sa chaise, se laissant aller dans ses songes qui tissait petit à petit une idée qui se pourrait bien être risquée. « On a le choix, soit, on se laisse tuer et on se fait passer pour mort pendant quelque temps. » Une option qu’elle n’aimait guère, car cela voulait dire qu’ils devraient sans doute attendre la mort du vieux chef pour revenir ici. « Soit, on lance une guerre interne dans son groupe. Et on place indirectement quelqu’un à sa place. » Un sourire à son frère qui l’avait dit il y a quelques secondes « Après tout, comme tu l’as dit. Il a bien vécu. » Seulement il prenait le risque que le nouveau Don à son tour, essaye de les avoir également. Il fallait donc récupérer les preuves, s’il en avait. « Mais il y a surement un risque que pour son successeur trouve ce que il vecchio a sur nous et nous fasse le même coup. C’est donc à double tranchant. Et qu’on nous double aussi. » Et quel que soit le plan qu’il allait utiliser, il devait trouver avant tout ces preuves. « Du coup, je te propose qu’un de nous y aille, pendant que l’autre se cache quelques parts pour l’abattre.» Un regard vers son frère, lui demandant ce qu’il préférait dans les diverses options. Où s’il en avait un autre. «Qu’est-ce que tu en dit ? En tout cas, Pour notre réunions de famille on peut pas dire qu'on manque de distraction » Un rire léger de la jumelle qui terminait sa réponse

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(#) Re: In this, we will not be defied | ft. Gabriella    Jeu 7 Oct - 21:25





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Les bras croisés, le grand gaillard se poste à la fenêtre de l’appartement. De ses yeux vifs, il essaie de repérer les personnes sortant de leur hôtel, sans pour autant parvenir à remarquer un comportement déplaisant. Fronçant les sourcils, Dante consacre quelques minutes supplémentaires à son observation, plutôt sommaire, avant de s’en détourner pour recouvrer sa position près de son aînée. Ce n’est certainement pas de cette manière qu’il captera le fameux messager. Comme lui, Gabriella n’est d’ailleurs guère impressionnée par la note laissée au bas de leur porte. Néanmoins, la frustration se fait ressentir : être ennuyé par un bâtard au bord de l’agonie n’est certainement pas agréable pour les jumeaux, qui viennent à peine de se retrouver. « Cela devient fâcheux, de se taper des mortels avides de pouvoir. L’histoire ne leur a-t-elle donc rien n’appris ? »  Il râle pour la forme, Farinelli, car du haut de son demi-millénaire, il a pu en être témoin lui-même : l’humain en demande plus, et toujours plus, son pays natal étant loin d’échapper à ces tragiques ambitions. Les hommes politiques ne sont-ils pas le parfait exemple de la corruption ?

En soupirant, Dante repose sa grande carcasse dans le fauteuil qu’il occupait quelques minutes auparavant, laissant sa sœur en proie à ses réflexions. Lui-même calcule les actions qui s’imposent, quand la blonde fait part de deux solutions. L’homme l’écoute attentivement, plissant du front aux options proposées. Chacune a un intérêt, mais l’une le fait tiquer plus que d’autre. « Hmpf, je ne me vois pas rester mort pour les beaux yeux du Don. Vieux shnock qu’il est, il serait bien capable de nous le mettre dans l’os pendant les deux décennies suivantes. » Et Dante aime beaucoup trop Rome pour la quitter pendant autant de temps. Cela peut paraître ridicule, pour un immortel. Néanmoins, les années sont loin de passer aussi vite qu’un clin d’œil, même en étant voué à vivre plus que de raison. « Et puis, il connait notre secret. Ce n’est pas dit qu’il gobera à notre mort aussi facilement. Je n’ai pas trop envie de me faire mitrailler pendant des jours juste pour le contenter là-dessus. » C’est le problème avec les parrains : généralement, ils ne font pas trop confiance aux gens, et même pas vraiment à ce qu’ils voient réellement.

Jaugeant la seconde idée de Gabriella, l’homme amène une main sous son menton, ses yeux se perdant dans le vide. Placer un pion sur l’échiquier lui a traversé l’esprit aussi. Mais il ne faudrait pas faire monter en grade le mauvais joueur. Les adelphes sont loin d’être bêtes, et Dante se met à sourire doucement. « Une guerre interne, voilà qui serait amusant. Mais tu as raison, Sorella, nous ne pouvons ignorer les risques que cela pourrait faire peser sur nos épaules malgré tout. » L’homme se redresse, gobant les paroles de la plus âgée : « On pourrait ainsi acheter un successeur, le convaincre que nous sommes des gentillets bienfaiteurs. Cela pourrait demander un jeu plus penché sur le long terme, avec la nécessité de garder à l’œil celui ou celle que l’on placerait en tête d’affiche. » Rien de bien embêtant, pour des gens comme eux. « Bien sûr, ça n’enlève en rien le fait qu’il faut écarter le Don du tableau. Néanmoins, peut-être pourrait-on s’amuser avec lui. Plutôt que de s’en débarrasser ce soir, on pourrait déjà écouter ce qu’il à nous dire, et plutôt savoir ce qu’il nous veut. Le temps qu’on se renseigne sur son proche entourage qui nous serait utile, et le temps qu’on essaie de savoir où se trouve les preuves incriminantes à notre encontre pour les détruire, nous pouvons prétendre le craindre. Juste ce soir. Et demain, on s’attache à le faire tomber. » Une journée, après tout, c’est court pour non seulement supprimer un parrain mais en plus effacer les éléments prouvant l’existence des immortels dans ce monde. Et bien que cela énerve Dante plus qu’il n’est possible de l’imaginer, ils ont le temps de faire tomber le mafieux. Si ce dernier les suit depuis des années, il y a fort à parier qu’il s’est probablement préparé à une tentative d’assassinat de la part des jumeaux. Il faut bien dire que les Farinelli ne sont pas connus pour faire dans la dentelle. Ainsi, le coup le plus imprévisible ici, serait de jouer sagement. Laisser croire au vulgaire mortel qu’il tient en laisse deux êtres extraordinaires, qui n’attendent en vérité que le bon moment pour frapper. Il achève le fond de sa pensée : « Et puis, ce n’est pas tous les jours que nous avons l’occasion de démanteler un réseau de bandits comme celui-là. Ce serait dommage de devoir se séparer pour éliminer le Vieux. Je suis sûr qu’on pourrait s’amuser à diminuer ses troupes, histoire que le message passe bien pour son futur successeur. Ce serait marrant, non ? » Dante n’est pas un homme avide de sang et de pouvoir. Mais il n’en reste pas moins un combattant aguerri, qui a parfaitement conscience que les deux adelphes doivent montrer les dents : trancher une tête au risque qu’elle repousse n’est pas suffisant. Autant marquer le coup, puisque le parrain veut régner avec la peur, eux aussi peuvent semer la terreur.

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