intrigue en cours Entre les Enfants de Prométhée et l'Ordre de l'Hydre, la guerre semble à présent inévitable. Les uns comme les autres se préparent à l'affrontement. De son côté, le Conclave Écarlate peine à se faire à l'absence des Fawkes et au nouveau leadership des Ackerman. À moins que les laboratoires d'Amaranth Pharmaceuticals ne fassent de grandes découvertes dans peu de temps, ou que le Conclave ne mette la main sur un immortel, il se pourrait bien que ces tensions coûtent cher à l'organisation... Et après être longtemps resté dans l'ombre, un vieil ennemi s'apprête à refaire surface.
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 Ain't no god on my streets in the heart of the jungle (Marisol & Chandra)

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(#) Ain't no god on my streets in the heart of the jungle (Marisol & Chandra)     Sam 13 Nov - 12:15

WARNING :  ... Rien pour le moment[/color]
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@Marisol Maher


J'étais pas immortel moi. J'avais un temps défini sur cette foutue terre. Alors j'me devais d'en profiter. J'avais fais la rencontre de cette nouvelle amie lors d'un concert. C'est rare les gens qui prennent plaisir à nous écouter sans critiquer notre style. Le patron était sympa et appréciait notre flow.

Mais c'était pas le cas de tout le monde des "tapettes" étaient lancés à la cantonade dans notre dos, et un concert sur trois se finissait en bagarre général. J'y avais encore jamais laissé ma guitare, par chance, même si fracasser quelques crânes avec aurait pu être tentant. On s'connaissait pas, et on s'faisait juger sur notre look. Personnellement j'le trouvais très bien et j'emmerdais quiconque trouverait quoi que ce soit à dire. C'était mes miches qui entraient dans ce pantalon, et j'faisais comme je voulais, j'avais pas à demander l'heure ou des comptes à qui que ce soit.

Enfin... J'avais rencontré cette fille au cours d'un de nos concerts, elle avait l'air d'avoir apprécié ce moment, et nous avions passés la soirée ensemble, à parler. Lorsqu'elle m'avait avoué être nouvelle en ville, j'lui avais proposé une sortie en ville. J'l'attendais à notre lieu de rendez-vous. J'avais choisis d'attendre sur un banc de Camden, non loin de la sortie du métro. Clope au bec, j'étais vêtu de mon t shirt de Thor ainsi que d'un jean tellement slim qu'il aurait scandalisé une bonne partie de la bonne société Londonienne. J'portais une veste en cuir un peu trop grande pour moi sur les épaules, et des convers' vert pomme. J'l'attendais en tirant tranquillement quelques taffes sur ma clope, me laissant emporter par la musique qui se diffusait dans mes oreilles. J'voulais lui montrer le quartier de Camden, il avait bien des surprises, je l'aimais ce p'tit quartier crasseux. Dans l'imagerie populaire, on faisait pas trois pas sans croiser quelques vieux punks aux iroquoises XXL et multicolores. C'était pas tout à fait faux, mais y étaient pas désagréables. J'avais croisé les jambes et m'étais décidé finalement à répondre à un des SMS de ma mère, n'allons pas faire des cheveux blancs à cette pauvre femme. Ah... J'oubliais... Elle peut pas en avoir. Mais bon. J'voulais épargner son petit coeur. J'voulais vivre libre, mais la faire souffrir n'était pas vraiment dans mes projets.
J'avais finalement vu la silhouette de Marisol au loin, et m'étais approché d'elle avec un p'tit sourire et un p'tit coucou de la main.

"J'suis là ! T'inquiète pas, tu vas voir, c'est un des quartiers les plus sympas. J't'emmènerai faire un peu de shopping si tu veux. Je connais quelques adresses vraiment sympas."

Les friperies au poids étaient les meilleures dans ce coin là, on y trouvait des trucs de malades pour une bouchée de pain. J'devais dire que j'étais pas du style à rouler sur l'or, donc j'me contentais de peu. J'aurais pu avoir des thunes, après tout, les parents roulaient sur un bon gros tas d'or façon Smaug. Mais j'étais trop fier pour leur demander quoi que ce soit. J'étais un adulte maintenant. J'adressais un sourire mutin à Mari'.

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Marisol Maher
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(#) Re: Ain't no god on my streets in the heart of the jungle (Marisol & Chandra)     Mar 7 Déc - 15:29

WARNING :  ... Rien pour le moment
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@Chandra Ashford


Londres, c’est encore nouveau pour Marisol. Elle a beau avoir son petit studio depuis quelques semaines, elle est tellement débordée par le boulot et par les comptes à rendre à Gilles qu’elle ne prend pas le temps de visiter, du moins pas autant qu’elle le voudrait. Une capitale doit en valoir une autre, elle a naïvement pensé avant de traverser la Manche. C’est stupide. A Paris, elle vit du luxe donné par un mécène désireux de voir sa sœur réussir avant que sa maladie se déclare, un appartement au riche parquet et aux moulures au plafond, pas loin des Champs Elysées. Les voisins se connaissent : quand on a l’argent, on a le temps des politesses. Ici, ça n’a rien à voir. Elle n’est pas dans le centre touristique et les rues ne sont pas toujours bien éclairées. Elle n’est pas toujours super rassurée. Mais elle apprend, Marisol, et surtout, elle a cette délicieuse sensation de liberté. Loin de parents qui ne veillent que trop sur ses études après des années à la délaisser, loin de sa sœur et de tous ses rendez-vous médicaux. C’est juste elle et Tarzan.

Et les rencontres qu’elle fait au gré des hasards. Faut dire que se balader avec un chat sur les épaules, ça attire les curieux, qu’ils soient touristes ou habitués des rues londoniennes. Encore plus dans les bars. Au moins Tarzan lui aura valu quelques verres gratuits et Marisol a su le récompenser avec des gourmandises adaptés à son palais délicat. En voilà un qui mène une vraie vie de pacha même si, dans le fond, il souffre de tout ce temps qu’elle ne peut plus lui accorder. N’empêche que cette rencontre là, elle l’a fait sans lui, sachant ses petites oreilles de félin sensibles aux groupes musicaux débutants aux accords parfois hasardeux qui hantent les bars de petites renoms qu’elle se plait à découvrir les uns après les autres depuis son arrivée outre-manche. Une fois n’est pas coutume, la musique du soir est une découverte qui lui plait. La musique, les paroles, l’énergie et la mise en scène, tout est le bienvenu pour la secouer alors que les semaines ternes au boulot s’enchaînent loin de tout ce qui pourrait toucher au Conclave. Le droit et rien que ça. Et bien pas pour un soir, pas pour une bouffée d’oxygène qui la ravit et la ravive, qui ne s’excuse pas de faire chier son monde, qui prend la place comme si elle lui appartenait. Elle aime ce toupet autant qu’elle aime la discorde qui s’en suit dans le bar.

C’est sans surprise, donc, qu’elle a fini par papoter avec les membres du groupe. Elle n’a pas caché qu’elle est encore nouvelle en ville et, de fil en aiguille, Chandra lui avait proposé de se retrouver en ville à l’occasion pour qu’il puisse lui montrer des coins sympas. Comment refuser une telle offre ? Certes, Marisol est à Londres pour finir ses études de droit et pour devenir un meilleur atout pour le Conclave, mais elle est aussi une jeune femme en soif de découvertes et de nouveautés. C’est donc de sa démarche pressée de parisienne qu’elle rejoint leur point de rendez-vous, au chaud dans un collant et une robe pull surmontée d’un blouson bombardier et d’une généreuse écharpe à carreaux bruns. Des bottines à imprimé zèbre sont la seule touche d’excentricité, ainsi que le chat perché sur ses épaules. « J'suis là ! T'inquiète pas, tu vas voir, c'est un des quartiers les plus sympas. J't'emmènerai faire un peu de shopping si tu veux. Je connais quelques adresses vraiment sympas. » Visiblement Chandra est arrivé avant elle, ce qui ne l’étonne pas tant que ça au final : il connaît la ville et elle doit encore composer avec des transports en commun qui lui sont encore un casse-tête à eux tout seuls.

« J’espère que je ne t’ai pas trop fait attendre ! » Après tout, elle est polie, Marisol, elle a été élevée bien comme il faut (à ce qu’il parait). « Je fais confiance à tes talents de guide, donc pour l’instant je m’inquiète pas non. Sinon Tarzan est là pour sortir les griffes. » Comme si le matou avait l’air menaçant, museau en l’air pour humer l’air de la cité, prêt à réclamer des caresses à quiconque passerait la main près de sa tête. N’empêche qu’il a survécu un moment à la rue alors elle ne le prend pas pour une boule de poils innocente. « Autant j’aime bien faire les magasins et je suis tout pour élargir mon carnet de bonnes adresses, autant je sais pas si je peux trouver des tenues adéquates pour un cabinet d’avocats. T’en penses quoi ? » Elle ne voudrait pas juger hâtivement, n’empêche que ça ressemble pas trop au style vestimentaire de Chandra. « Pour l’instant, j’ai surtout faim. J’ai pas entendu le réveil, donc j’ai sauté le ptit déj », avoue-t-elle dans une grimace. « Tu as une bonne adresse pour ça aussi ? C’est moi qui invite, pour te remercier de me faire découvrir le coin. »

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(#) Re: Ain't no god on my streets in the heart of the jungle (Marisol & Chandra)     Mer 29 Déc - 17:03

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@Marisol Maher

Le groupe, c'était quand même un moyen formidable de rencontrer du monde, et des passionnés. J'm'étais souvent réfugié dans la musique et j'avais fini par créer mon p'tit cocon, mais j'empêchais pas les gens de venir à moi. On s'était rencontrés par hasard et le courant était bien passé. Elle s'était pointé avec son chat sur l'épaule. Fallait oser, j'aimais ça. J'regardais la bestiole.    P'tit citadin habitué à Londres, depuis le temps... Je lui trouvais une excentricité qu'on ne retrouvait pas vraiment dans les rues de Paris, endroit dont la jeune femme disait venir. Ici... Elle ne dénotait pas vraiment du quartier. Je chasse ses inquiétudes d'un geste de la main et lui adresse un clin d'oeil et un sourire.

"T'en fait pas. J'ai pas attendu trop longtemps."
Elle me présente alors son greffier, Tarzan. J'lui glisse une petite grattouille sous le menton après avoir laissé le chat renifler mes doigts. Fallait toujours faire ça avec une bestiole qu'on connaissait pas. "Je sens que va falloir que j'fasse gaffe avec toi mon grand... Mais j'aime le risque." Je pouffe de rire, c'est agréable... ça change de la solitude dans laquelle je vis depuis que mon meilleur ami est parti à l'autre bout du globe et que j'me plonge dans le boulot. Oh... Bien sûr on rencontre du monde. Mais j'ai pas vraiment la gueule du vendeur à qui on peut taper la causette. Je m'éloigne d'un pas et trace un cadre de mes pouces et index joins, et observe la jeune femme à travers.

"T'inquiète pas, dans mes coins, tu trouveras de tout. On pourra aussi trouver un super nœud pap' pour le greffier ! T'es à Camden Mari', on trouve de tout ici. Des trucs excentriques comme des trucs plus classiques. Ce sera mon challenge du jour !" Elle m'avoue finalement qu'elle a faim... Et j'sais direct où la traîner. Je hoche la tête, et prend la tête "Suis moi ! Et envoie moi ton chat à la trogne si j'vais trop vite, mais j'connais un endroit parfait pour notre petit repas."

Première étape ? Le Camden Lock. On s'arrête à l'entrée et j'lui montre tous les petits chalets qui regorgent de bouffes, c'est un tour du monde culinaire, les différentes fragrances se mélangent, et chaque chalet semble décoré sous le thème de son pays. De son style. J'me tourne vers elle avec une expression mutine. "Alors qu'est-ce que t'en dis ? J'te propose qu'on pioche un peu partout et qu'on s'pose au Hampstead Heath pour pouvoir manger tranquille, puis après on chassera dans les frip' pour te trouver un truc pour ton taff. J'saurais à qui je devrais faire appel la prochaine fois que j'casserai la gueule à un mec."

On finit par se faire un joli p'tit paquet de bouffes, un tour du monde culinaire. J'suis pas forcément gourmet, mais je dois avouer que j'ai toujours aimé tout ce choix. Toute cette richesse de cultures. Ce brassage. Moi qui ai passé toute ma jeunesse au fin fond de l'Ecosse, j'profite un peu chaque jours de ce renouvellement, de ce terrain de jeu immense. J'fais quelques commentaires, en route pour le parc, en montrant divers endroits.

"Quand j'suis arrivé ici, avant que j'ai ma boutique, ça arrivait que j'me mette ici pour jouer de la guitare toute la journée, ça rapporte pas trop, mais une fois on a voulu m'offrir un rat de compagnie. J'l'ai pas pris, j'ai la phobie des rats, ça me fais hurler comme une fillette, j'te jure c'est ridicule à voir."

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