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 and all that's left are memories

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(#) and all that's left are memories    Mer 3 Fév - 1:46



this is who I am this is my story
elaleh blythe
hum yourself a lullaby
NOM ET PRÉNOM: Blythe, Elaleh. Elle n’a aucun deuxième ou troisième prénom dont elle se souvienne. Blythe est le nom de la famille qui l’a adoptée et elle le porte fièrement. Elle ne souhaite pas retrouver ses origines iraniennes.  DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Elaleh est née dans un camp de réfugiés en Iran, de parents iraniens, en 1983. Comme on ne connaissait pas sa date de naissance exacte, les Blythe ont décidé de la fêter le 25 juillet. ÂGE: 37 ans HABITATION: Londres. Elle partage un grand et magnifique appartement  avec deux autres colocataires. PROFESSION: Journaliste d’investigation pour le prestigieux The Guardian STATUT CIVIL: Célibataire. Elle a eu quelques relations sérieuses empreintes de douceur, de respect et de sorties culturelles, mais aucun de ses prétendants  n’a pu surmonter ni son obsession à retrouver son sauveur ni son farouche besoin d’indépendance ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle ORGANISATION: Aucune, pour l’instant. Elaleh commence à peine à se familiariser avec cette nouvelle réalité... et de toute manière, elle est plutôt du genre à rester loin des affiliations de ce type. Elle préfère observer, analyser et critiquer.  GROUPE: si vis pacem para bellum AVATAR: Golshifteh Farahani CRÉDITS: hedgekey
[001] Malgré sa curiosité légendaire, Elaleh n’est jamais retournée en Iran et n’a jamais voulu se renseigner sur la guerre Irak-Iran qui a détruit sa famille. Elle en sait suffisamment sur les autres conflits pour se douter des cruels évènements qui sont survenus dans son pays d’origine et elle craint que des lectures et visionnements sur le sujet ne la replongent dans son traumatisme.  
[002] Elle a appris l'arabe (classique et qui ne sert pas à grand-chose autre que de vous traiter de touriste mais enfin), dans une sorte d’hommage à ses racines. En plus de l’anglais qu’elle a parfaitement maitrisé vers ses onze ans, elle peut s’exprimer en français et en mandarin. Elle n'a aucune intention de se mettre au persan.
[003] Il fut un temps à l’adolescence où son apparence était le seul aspect d’elle qu’elle contrôlait. Bien paraitre lui était primordial et lui permettait de cacher les horreurs qui se déroulaient dans sa tête, de faire croire aux autres que tout allait bien. Elle y a pris goût, jusqu'à en faire un partie de son identité.  Ainsi jamais vous ne verrez Elaleh dans un vêtement troué/taché/mal ajusté.  Toujours dans l’équilibre et la finesse, Elaleh s’habille d’un style chic-confortable-éthique-trèslondonienboho. Elle a aussi une impressionnante collection de bijoux, la plupart étant des cadeaux de la famille ou d’amis ne sachant quoi lui offrir d’autres.
[004] Comme deux psychiatres le lui ont recommandé durant son adolescence, Elaleh s’est lancée corps et âme dans divers passe-temps afin de canaliser son énergie et ses pensées. Beaucoup de loisirs ont été essayés puis abandonnés. Sont restées jusqu’à aujourd’hui la course à pied (on ne compte plus ses inscriptions aux marathons partout dans le monde) et la photographie (coucou instagram). Petit mot sur la course : il lui arrive souvent, lorsqu’elle sent le stress monter, de s’excuser aux gens présents et de courir quelque trente minutes. L’équipe du Guardian y est habituée et a vite compris pourquoi, malgré l’élégance reconnue de la journaliste, on ne la voyait jamais chaussée de talons hauts. Quant à la photographie, ce passe-temps s'est installé chez elle par son désir d’immortaliser le beau, de le dénicher, de l’affirmer. Il faut parfois creuser loin pour le trouver, mais une fois qu’on le tient, il ne faut pas l’échapper.
[005] Elle s’intéresse grandement à l’histoire et la culture dite classique… et il n’est pas anodin du tout que la première personne qui l’ait sensibilisée cela s’appelait Salim.
[006] Elle entretient une très belle relation avec ses parents adoptifs. Elle est passée par diverses étapes de noms: au début, ce fut maman/papa (5-9 ans) puis par leurs prénoms (10-14 ans) avant de retourner aux maman/papa. Ils se confient l’un à l’autre sans gêne et passent fréquemment des fins de semaine à la campagne ou au bord de l'océan, selon les invitations de leurs amis. Elaleh leur est très reconnaissante de l’avoir adoptée, aidée, éduquée, soutenue encore et encore, d’avoir enduré ses crises et ses éclats de colère contre eux. Elle voit leur santé faiblir avec tristesse.
[007] Elle se considère comme anglaise (et je dirais même londonienne) avant toute chose.
[008] Gentille ou douce ne sont généralement pas les premiers adjectifs qui nous viennent à l’esprit lorsqu’on veut décrire Elaleh : brillante, tête de mule, dédiée, éprise de justice, ça oui, par contre.
[009] Journaliste d’investigation depuis une dizaine d’années, elle s’intéresse à diverses causes. Pour n’en nommer que quelques-unes : le système de santé public (surtout ce qui touche à la santé mentale), les inégalités de richesse, le traitement des immigrants et des réfugiés et depuis quelques mois, ces fameux immortels…
[010] Dans sa recherche et son obsession de retrouver l’homme qui l’a sauvée lorsqu’elle avait cinq ans, Elaleh a brûlé de nombreuses amitiés et de nombreux amants  - tous épuisés de l’entendre parler de ce Salim, tous fatigués de la voir gaspiller son temps et son énergie sur ce fantôme qui n’a plus jamais donné signe de vie.
[011] Jusqu’à ses dix-sept ans, la vue de soldats déclenchait d’intenses crises chez Elaleh. Si les symptômes de son ESPT ont peu à peu disparu avec les années, les suivis psychologiques et la médication (qu’elle prend toujours), il lui arrive encore de cauchemarder une fois ou deux par année et d’être saisie d’effroi à l’entente d’un bruit rappelant les mitraillettes.
PSEUDO : c. PRÉNOM : c. ÂGE : suffisamment respectable. OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ? de partenaire en partenaire UN AVIS, UNE SUGGESTION ? J’adore le concept! Par contre, la typo est un peu petite  eyes  LE MOT DE LA FIN  calins pour tout le monde  love  
[1983-1987] Les parents d’Elaleh sont obligés de quitter leur village, complètement démoli par la guerre qui sévit depuis quelques années. Comme des centaines d’Iraniens qui ont tout perdu, ils s’installent dans un camp de réfugiés. La mère d’Elaleh est alors enceinte d’elle de six mois et elle accouchera deux mois plus tard; le stress vécu durant la grossesse sera transmis chez le bambin, comme tant d’autres enfants de réfugiés de guerre. L’arrivée d’Elaleh applique un baume temporaire, un vent d’espoir pour ses parents, qui décident de la nommer Elaleh, qui signifie déesse en persan. Déesse de leur cœur, de leur avenir, de leur futur bonheur. Elaleh, complètement inconsciente que sa situation est anormale, y vit de relativement belles années où les autres gamins du camp sont tous ses frères ou sœurs, où elle pose mille et une questions à ses parents qui trouvent toujours le moyen de dissimuler la triste réalité (une version moyen-orientale de La vita è bella, en somme).

[1988] Quelques travailleurs d’ONG humanitaires et journalistes passent parfois par là, mais ne restent jamais longtemps. Sauf un. Salim. Elaleh le suit partout, du haut de ses cinq ans, s’amuse à se cacher quand il se retourne vers elle, dévoile constamment sa position en rigolant. Il raconte les meilleures histoires (meilleures que celles de maman mais il ne faut pas lui dire), comme les contes, mais en mieux, il sort toutes sortes de prénoms qu’elle ne saisit pas, mais la gamine redemande encore et encore ses histoires des temps anciens et lorsqu’il lui dit qu’il faudrait écouter ses parents et aller se coucher, elle s’accroche à sa jambe et en réclame une dernière. Juste une dernière. Promis, après, dodo. Une dernière, s’il te plait, s’il te plaît, s’il te plait, Salim? Comment refuser à l’enfant aux yeux brillants et à l’esprit vif?

Bonheur précaire. Espoir vain d’un futur heureux.


Quelques heures alors que le soleil n’était même pas levé suffisent à détruire le peu qu’Elaleh avait : un groupe de mercenaires radicales décime le camp. Ses parents sont assassinés, de même que la majorité des réfugiés. Elaleh aurait dû mourir avec eux, mais Salim s’interpose entre son petit corps et la mitraillette qui la pointe. Elle étouffe sous le torse de Salim, mort, elle tremble sous le torse de Salim, mort, elle ne pleure même pas sous le torse de Salim, mort, elle n’a que cinq ans et le torse de Salim, mort, la protège. Et le torse de Salim s’anime de nouveau, se gonfle d’air, se relève. Et le visage de Salim lui sourit. Les miracles existent.

S’en suit un sauvetage digne de film par les Casques Bleus et une Elaleh qui s’accroche plus que jamais à Salim de l’Iran à l’Angleterre. Puis une séparation qu’elle ne comprend pas : on lui a dit qu’elle aurait une nouvelle famille très gentille, mais que ce ne serait pas Salim. Ses pourquoi incessants ne reçoivent pas de réponse satisfaisante. Elle promet au journaliste de guerre de garder le silence sur sa résurrection, en espérant secrètement qu’il revienne la chercher pour toujours et qu’il l’amène dans sa tente et qu’il lui raconte d’autres histoires et qu’il lui apprenne à lire parce qu’il parait que les autres enfants font ça et qu’il la prenne dans ses bras et qu’il lui chante des balades comme sa mère le faisait et qu’il lui sourit comme son père le faisait et qu’il -

Il ne reviendra jamais.

Un couple d’Anglais fortunés n’ayant jamais eu d’enfants et s’étant dédié à de multiples causes l’adopte. Les Blythe. Ils sont d’une douceur exemplaire, mais ils ne ressemblent pas à Salim.

[1990] Un an et demi après son adoption, les premiers symptômes d’ESPT apparaissent. Les Blythe avaient été avertis qu’Elaleh pouvait sembler bien s’adapter à sa nouvelle vie pendant les premiers mois, mais qu’il fallait être alerte comme elle pouvait tout aussi bien être engourdie (ou comme disent les Anglais, numb) - et leur pire crainte arriva. Elaleh cauchemarde de plus en plus souvent et ses parents adoptifs viennent la rassurer une nuit sur deux. Puis, sa professeure de la classe d’accueil  les avertit que la fillette incite ses camarades de classe à jouer aux réfugiés et aux mercenaires : les plus petits sont des réfugiés et doivent faire semblant de dormir; les plus grands ont le droit de marcher et doivent tuer les petits. Quelques jours plus tard, Elaleh rencontre sa première psychiatre, la première d’une longue lignée.

[1990-2000] Un mélange d’études scolaires agrémenté de suivis psychologiques et entrecoupé de séjours en maison de repos : l’adolescence d’Elaleh est loin d’être de tout repos. Vers 15 ans, ses symptômes s’intensifient : crises de colère envers ses parents adoptifs, envers elle-même, envers Salim, envers l’univers; crises de rage dans lesquelles elle a détruit plus d’un ordinateur portable. Ses parents l’envoient pour la première fois en maison de repos lorsqu’ils découvrent qu’elle se mutile et ce, même dans son sommeil. Inquiets et soucieux de leur fille, ils dénichent le meilleur endroit et ne réchignent pas sur les livres sterling à débourser. La culpabilité du survivant est tenace, mais Elaleh finit par la maitriser, peu à peu.

[2005] À 21 ans, son diplôme d’études secondaires enfin en poche, elle intègre l’université en histoire. Mieux outillée, bien appuyée par ses parents, Elaleh réussit somme toute assez bien.  Elle savoure sa vie de jeune adulte normale, comme elle le dit d’elle-même, qui reste ponctuée de moments de crise, de périodes angoissantes, de remises en question. Elle rencontre ceux qui restent encore ses meilleurs amis; Marine et Elias.

[2008-2010] Elaleh enfile les petits emplois dans les musées et centres culturels : visites guidée (qu’elle déteste), confection d’ateliers pour les enfants (que du bonheur) et rédaction (amusant mais peu stimulant). Elle s’ennuie un peu, comble le vide de toutes les façons possibles (sports, blind date, spectacles), avant de créer un blog culturel qui tend peu à peu vers la critique du milieu et de la société en général.

[2010] À la suite de la recommandation d’une amie, elle envoie son CV au journal The Guardian, qui l’embauche sur le champ, ravi de sa plume et de son esprit débrouillard. Elaleh débute dans la section culturelle, mais finit rapidement par se tailler une place dans l’investigation.

[2010-2019] Rien de significatif : sa vie se poursuit, les crises surviennent de temps à autre, des cœurs se brisent à son passage, les amitiés les plus fortes persistent. Et sa quête de Salim échoue un bon nombre de fois.

[2019] Elaleh prend connaissance de témoignages qui ressemblent étrangement à ce qu’elle a vu en Iran, avec Salim, et il n’en faut pas plus pour piquer sa curiosité légendaire. Son statut de journalisme lui sert beaucoup à s’incruster dans certains bâtiments et à interroger des gens qui ne lui auraient pas adressé la parole autrement. Elle mène l’enquête. Et ne sera pas en paix tant qu’elle n’aura ni élucidé ce mystère ni retrouvé son sauveur.


Dernière édition par Elaleh Blythe le Jeu 4 Fév - 1:52, édité 4 fois
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(#) Re: and all that's left are memories    Mer 3 Fév - 2:10

ce choix merveilleux de scénario eyes
j'ai trop hâte de vous stalker, salim et toi ohlala fall
bienvenue tinyheart
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(#) Re: and all that's left are memories    Mer 3 Fév - 9:56

Ma petite protégée adoréeeeeee !! brille Je te l'ai déjà dit mais je te le répète, mais je suis beaucoup trop heureux de te voir ici ma choupie ! tinyheart
J'adore déjà ce début et tout ces petis détails qui rendent Elaleh (ce prénoooom tinyheart) vivante comme jamais, j'ai beaucoup trop hâte de lire la suite, sache-le ! wow

Et en attendant je te couvre de bisous miel joy cutie coeur
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(#) Re: and all that's left are memories    Mer 3 Fév - 11:13

mais quel superbe choix de scénario keur keur
encore une fois, bienvenue excited et puis cet avatar, Golshifteh est si belle ohno bon courage pour la rédaction de ta fiche et si tu as des questions, n'hésite surtout pas tinyheart
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(#) Re: and all that's left are memories    Mer 3 Fév - 15:14

@Lazarus Fawkes  oui, ce scénario était irrésistible fall parait que nos persos se connaissent déjà en plus  sourcil  

@Salim Al-Amin mine sauveur ohno je suis tellement contente et soulagée que le début te plaise cutie cutie  hug

@Astra Ackerman merci tout plein encore brille oui, elle est siii belle fall dire que je ne la connais pas avant fall


Dernière édition par Elaleh Blythe le Jeu 4 Fév - 0:29, édité 1 fois
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(#) Re: and all that's left are memories    Mer 3 Fév - 19:00

Ce choix de scénario et d'avatar, ainsi que les mots qu'on peut déjà lire.. Tout semble déjà parfait fall fall bienvenue parmi nous, hâte d'en apprendre plus sur ce merveilleux personnage keur keur
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(#) Re: and all that's left are memories    Jeu 4 Fév - 1:48

@Alma Moreno wow, merci tout plein, ça va me droit au coeur hi wow
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(#) Re: and all that's left are memories    Jeu 4 Fév - 13:22

Je viens par ici pour confirmer que cette petite est parfaite et que Salim a super hâte de la retrouver ! joy

On peut valider tout ça angel :3
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(#) Re: and all that's left are memories    Jeu 4 Fév - 20:55



fiche validée
- félicitations ! -

Mais quel merveilleux personnage eyes J'ai vraiment adoré ta fiche, Elaleh est sublime bril keur J'ai hâte de voir les retrouvailles entre Salim et elle, ça promet des feels, comme on les aime lovely Je ne te fais pas attendre plus longtemps, je te valide avec plaisir tinyheart N'oublie pas d'aller recenser ta demoiselle bril Amuse-toi bien parmi nous tinyheart

Les petites choses à faire après sa validation :

Maintenant que votre personnage a été validé, il ne vous reste plus que quelques petites choses à faire avant de pouvoir vous lancer dans l'aventure en RP tinyheart Tout d'abord, n'oubliez pas de remplir tous les champs de votre profil (sauf ceux ne vous concernant pas, évidemment). Ensuite n'oubliez pas de créer votre fiche de liens, très importante pour que nous puissions vous demander de super liens et des RPs owi Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi créer un téléphone, pratique quand on veut communiquer avec quelqu'un qui ne se trouve pas sur le même continent hi Et, pour les immortels, rendez-vous ici pour proposer vos constellations cutie Et voilà, vous n'avez plus qu'à vous amuser, bon jeu sur Ad Vitam Aeternam wow
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(#) Re: and all that's left are memories   

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